njmus dracunculus. M Iinnéni Retzius iae leur donnent
de norn^Sùédofei « ; ; ’ '
beur chair assiégèrent de bon goûtj mais cbmmeMs
viventiëolés et ne sont nulle part bien communs, on nen
fait pas de pêches expresses, et l’on n’a que ceux q u y e
prennent par hasard aux filets ou aux hameçons.* |
Le calUonrmus tyra que représente Donoyan , avait
été priS avec des éperlans sur la côte ouest de 1 Angleterre.
Pennalit dit qûil se tierit d’ordisaire. à trente et quarante
basses, et qu’on le trouve' souvent daâs festorUac
de là
Muller à trouvé dans l’estomac de ce poisson des delk’is
duuisiiisVd’astéries et de creyettês/M, YaiéH y «joute des
vers, des mollusques et des> tes#ee|, qui sont J M »
entiers.
L e Callioxÿme guitare.
J ( èaîliortymus cithara,nob. fC a ll rrtaculatus., Rafin. P P
Cette iolie espèce est«*cefie dont le mâle a été décrit
dans la Méditerranée par Brünnich et par M.Risso Comme
si c’ïtâ it len ly r a deLinnéet dés autres naturalistes du
Kord. M. Rafinesqùé l’a reconnue le premier comme , dd-
S f iR E ce qu’elle est en effet sans aucun doute, mais nous
regrettons do ne pouvoir adopter l’épitfilfe, ftem a cu la fu s
qu’il lui avait -donnée, attendu*quil convien(Jr^ibegajér
ment bien à toutes îles autres espèces du
sous,1« nom de <7. cithara,
dlaprës notrè savait commun , dans lé Règne animal
r2.’e édit., t. m p M I note). - V ' • :
1. Duhamely serf.' Syip. 'd^ï — 2. Doftotan, ad taB. g; *—1 3. * K - « t * *
rooZ.-fé-DI-,
.q^ntUgjdfiî ççilliQnÿifyus dtmunculus
m m Ê m m ÉÉJfflWhe j son.museau ,est plus obtus; ses ypux
plys. grauds„,à proportion .que (bas, to^l^s autnes. ;Lesssous.-,orbitaires^
dépassant un peupla d ouble Iè.vrfe, forment.de Ithaque pâté
ùne petite’ proerBineficel*ËTepine du preofeÆlè’ sç PlfcpurBè, et
‘ a àrëft’pointes, cffrnme flans- lé ccîîïionybrie' lyra, maià beâuéoüp
plus petites ar propoîrtïou.
» Sa première jdorsafe a -quatre i&yons -fins eotnmè 'dés- cheveux,
dont .le premier* a plus de moitié de la*4ongu.euof dn,ei9rps; lestautrês
diminuent par- degrés, Xèux-.de la. Sjecon.de, au nombre»,-de neuf,
|jdqnt, qjl’nn sqiifLd© ,pa f iPjQiPêqpent quatre
fois plu,s [élevés, que lej30rps, du.rnqjas les tripière
nqnjbreïdf huit rjSontfle
ràqij^ Eçqin^Mg^maji^ plus, £gàux entjçe'eyx. Dans lune 'e#, l’autre
de ces nageoires le dernier rayon est double, ..
D. 4 — pjP Al' 8j*C, 13.
Le fond de la couleur, qui dan’s la liquçur se Change en gris,
est dans le frais d’un^ jaune verdâtre. Quelques petites taches nuageuses
noirâtres’«ont éparses Ça et là - mais le long du flanc régnent
deux rangées- de gouttelettes argent ées: e n ‘avant«U y* en a mênîè
. trois- rangées, un peuirré^diëres.: La joue, les venti*les et les^ec-
torales. ont au^si dq petites gouttes semblables. Ses dorsale?- sont
très-agréablement peintes fle séjdes de gouttelettes blanches .e t fa u te
s sçnsqs,.d’qcelb|iqu d;e taphesd.’pn.v.e(rt noirâtre, qui se croisent,
Cela est surtoüt très-remarquabb sur la deuxième? elle à huit lignes,
nresqu^ continués, forméesparfles,gouttes1b lan ch^
rapprochées; qui montent en^crOïsanr o Iniquement les ray ods, 'et
se dirigeant ün peu èn avânt ; et dans chacun des intervalles^e ces
mêmes rayodà^sont cinq ïofcétl'és grisâtres. Le Cfeî#tre>de ces eeelles
devient noîrâtEe ©u noir dans les. plus .voisines’ du dos, en sorte
.qu’jkt forment trois rangées longitudinales de tacites noires, régnant
sur la mo^ié inférieure de la nagegjirCj ej; erpisées obliquement par
les lignes de .gouttes blanches.
La. première dorsale.offre pioins de jçégularitéj cinq Qu six taches
noires et autant de gouttes blanches y sont, presque en quinconce.