CHAP. IV. BATlSACHOÏDBS. 377
la membrane branchiale ; celle qui se'rendait sur le-'péopercule,
et celles qui contournaient les pectorales.
D’ailleurs la-forme de l^tête, du corps, sont semblables;; mais
les dents palatines s|3«7pl^>"égalesr plus nombreuses et. beaucoup
moins longues que celles dt^précédent.
\ D. 2 — % \ 8 0 , efe a<
La couleur est fauve, rembrunie et^parbrée de noirâtre sur le
dost Cette teinte devient plus clairëtsp’ les’ cp t^ d'e la queue; le
dessous est blanc. jaune et tachetée de brun. La peo-
' torale est noiré avec quelques taches r<|aS&es à la baser
M. d’Orbigny ndugi a envoyé cetti§p|p^e de Yalparaiso.
Depuis, M. ; Gay a * r a p j j d e ^iombr^u^ individus
d u même^ndroit^er npjLS % apyis %uê ié-popson^est
connu sous le nom' de peurvagre, êfc.quiL^it toutç iaane'e
sur les-fonds sablonneux'ou ftarmi le§ pierres. Sa^nourri-
ture Consiste eO^saMine^ "et?, ajoute M^Gay^en fueif|fc.§
qui n^tis paraît- extraordinaire , àeaqse de la cgnforïnation
des dents. Ils se tifmneift fsoj^s OUréuni#eri petit nombre.
On ne les mange qu après leur avoir ôtê la peau qui est
trop baveuse. Ils nagent si lentement qu’on peut, pour
ainsi dire, les prendre^ la^main. La piqûre de l’aiguillon
de l’opercule fait beaucoup souffrir les personnes qui en
sont atteintes.
FIN DU TOME DOUZIÈME.
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