Iii
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nployé
JUNIPERDS. GENEVRIER.
on , à garnir los murs dont on veut cacher la vue. Cet arbrisseau
é<lo Lc s chirurgiens font usage, il T c i t é r i c u r , de ses Ieuilles
dro, pour luutoyer les ulcères eL ronger les chairs fones,
prises l'inlérieur, en infusion et même appliquées
sèches et réduili
gueuses. Ces mê
sur le bas-ventre, passent pour u n bon v e r m i f u g e ; on cn jircpare aussi, surtout
en Angleterre , nue teinture aleo(di(pie. L'infusion aqueuse de la Sabine, el toutes
les autres préparations f[u'on cn peut faire, agissent avec énergie sur l'utérus,
et passent pour être de puissans enunénag(
peu forte, elles peuvent produire l'avorlesi
la manière dc les administrer. La
l i eu il ce disliqut
rapporte par ft
nicuin ;
S,vpi Thaïs folio
:)n dit même (prh une dose un
•,e *pii doit mettre en garde sur
ipriété de celte plante a donné
us son QuadripartUiun BotafoUoqui
ereuse prr
P,lL-LLt du
•ute dec,
L e même Simon P\i i.i.i fait, ;
c'est q u e , si elle se perdait dans
dans ceux des nu)ine.s cl des ri
pécher le .scandale qui pouvait i
même auteur c l L o n i i i . , se trouv
PAULLI cl LoBiiî, n'aimaient pa;
Les Baschkirs , peu]iles de la
se servent beaucoup de la Sabine <
Comme ils lui atlribuent une graii
d'en suspendre dc petites branches
maquignons allemands f o n t , dit-on
leur donner de l'ardeur.
Le u om de Cèdre
lui a été donné h ra.
u sujet (le celle planle, une
les jardins parlicidiers, oui;
ligi<'uses (2). Klle était sans douie 1.
é.snlter des effets de la Hoquette, qn
lit Loujour.s dan.s les j;
les moines,
l l n s s i e ,
le cn fu
d)servation plaisante,
retrouverait toujours
pn
lastcrc;
livnntl,:
. Siniim
habilcnl entre le Volga
ions ]5(jur les maladies
intre le.s .sortilèges, ils o
; des portes de leu
et l'Oural,
:lcs enfaïus,
t)nt bien soiu
niaisous. Los
prendre do la Sabine ii leurs chevaux.
pour
de
- porle
I boisd.
Au , le Genévrier dc Virginie,
l'inU-rieur est de c e l l e coulcur, quoique
rbre diminue ra])idement de grosseur
son aubier soit d'ailleurs trcs-blanc. (
de la base au sommet, cc qui fait que les ]:
charpente ne peuvent pas être d'ui
qui .se trouve entre la partie sup
l'arbre croiL beaucoup <'n largeur
•es qu'on cn relire pour faire de la
nde longueur. La di.sproportion dc grosseur
e dn tronc et l'inféj'ieure vient dc ce que
que souvent, surtout dans les pr
a n n é e s , plus i eur s b r anc h e s inh- r ieures sont aussi longue s q u e la tige p: ,1c.
Ces branches absorbant, pour leur nourriture, la plus grande parlie de la sève,
l'empêchent de se porter avcc assez dc vigueiu- et d'abondance dans I,i partie supérieure
de la lige, pour que celle-ci puisse prendre beaucoup d'accroisscmcnt.
E n donnant quehpies soins aux Cèdres rouges j)endant leur jeune.sse, il serait siiii,?
doute facile de remédi'-r ii cct inconvénient ; il ne faïulrait, pour accélérer lour élévation
ct forcer l e u r tronc h grossir à-peu-près cgalement p a r t o u t , <|ue retrancher
suecessivemcnl les branches inlérieures, en les coupant le plus près possible du
corps dc l'arbre.
L e bois de (Jèdre rouge est odorant, fori h'ger , d'nn grain lin ct serré ; il a
une excellente qualitt-, celle d'êire d'une longue durée , soit dans 1'
(0 ; appelle CUmaUS Uaphnoides piir qi
aliorum Inrtis,
s ubservaiirur. Sim. Pit
- <
îl^iiPS atlCK-iis Bolaiiisles,
iiiuin coenoHaUam ( credo )
X|)OSU
J T J M P F . R I J S .
à l'air. VABTSNNS DE FENILLES
n e t i c u l , que, lors de l'origi
bâties en j;
le;
>utrcs de bois dc Cè
IU bout d'un siècle,
gratlant, <pie la pourriture n'
;pic le reste du bois (^tait pnr
•st d'une longue d
. compté o
pouce;
ipporte, snr le t(M
de la Colonie,
•dre rouge ,
leur Rurfac
'avait ]K.néi
KXÉVUIKU. 55
;nage d'un habitant dc Cnnaisons
furent jiresque toutes
Il laissa exposées à l'air sans- aucun
men
dont le bois
ment; K.VLVI
n'avait que li
dix-huit pouc«
chez lui <1.
de circonf
l'observatii
est toujoui
s. Ce
ninur
On
Unis,
Dans
les ct,
eaux.
UU II
;ncc,
<lc K
infini
in.s-raj-
le
; ayant paru alti
•é que de l'épaisseï
, i „ . ( : , „ „ „ » ,„,•»,|i
•névrier dc Virgini
it couches
Icux ccal
urs <
le G.
I quatre-vingt-hu
:1c diamètre, et"
VARI'INM S T)!: F'T-:
ais terrain , depuis ving
peut pas être regardé
, p a r c e q u e , commc il
Ujiloie '
Il il cnti
uent .le gros.
LUCOU]) d e bt:
(pie le .
. Cèdre
t (l'un il
s, avait à sa ba^
unie étant eu <
é dil plus haul,
de la lige qui
le;
on trouva, en
.le deux lignes,
tous les arbre.s
•roit très-lcntonnuellcs
sur un tronc qui
•piaiite sur un autre de
rbres q u i , planté
c vingt-un pouces
lontradiclion avec
la base dc l'arbre
, eu s'élevant, ditans
la cor I dc;
les •
l-:taLsel
le;
On 1 fab
les pr
• (iii
cl les aulres
charpente, di
agréahl.-, éloi
r a r e , le bois
bagine ; eiini
cercueils ])our
Depuis plus
. II est excellent pou
le jiclils ouvrages de
i sont fori joli,->, parcc •ouges ei blanches , les mi
en fail cncorc dcs
;s meubles donl I'.i
Cl d e p u i s q u e l e Gc
•ginic scrL ii fai
.les Etats-Unis,
e l'aubier. On
boiseries, d
lie les inscetes:
le celui de Vi.
dans le midi
meure les m
dc cinquante
les jardins <fagi
t , et 01
'aillés e
npos
: I'arbr
! la
, le.-
lc Cèdn
, quadnp, J
uge dans tons
leaux, pour la ehar|)ente supérieure.
iix el dcs pali.ssades dont on encl(")t
re des conduits souterrains pour les
lisselerie très-proprement trav
que
les douves dont on les c
unes étant lir('es dn c(eur dc
canots d'une seule j>ièce ,
leur péiiélrante, mais p<
névrier di-s Bermudes est c
•e les enveloppes des crayons de plo
oil cet arbi^e est plus conuuun .
ilcmcnl faits avcc son bois,
•ouge est naturalisé, en France, dans
rd'hui d'assez b e a u x , ([ui produisent
abondamment du fruit chaque année. Ces arbr(;s font un bel effet par la verdure
perpétuelle cL la dc-licatesse de leur feuillage; au p r i n l e i n s , dans le monunit de
la lleuraiàon, les pieds mâles paraissent tout jaunes à cau.se de la grande abondance
de lleurs donl ils sont couverts , ct des nuages de poussière lécoudantc qui s'en
échappent; iicndanl l'hiver, les jiieds femelles ont un aspcct blcuâlre fort agn^able ,
parce ([u'ils sont alors chargés d'une (puiulité innombrable dc fruils d'une jolie
couleur bleue, qui se conservent ainsi sur les arbres jus([u'au retour de la belle
saison. Ci-tte espèce se jilail (i'aillcurs dans lous les l(UTains ([ui ne sont ni humides,
ni marécageux ; elle peut devenir trè.s-utile pour fertiliser des sables arides et incultes
, oil peu (fautres arbres pourraient venir aussi bien ; mais, (pu)ir|u'elle supportebieii
les hivers les plus rigoureux du nord dc la France , M. Mir!iAi;x, qui l'a
irès-bien observée dans son pays natal , ainsi (pie tons lus autres arbres de l'Amérique
;iiAUX, di,s-je, croit qu'elle réussirait encore mieux, el ([ue sa
q)ide dans les déparlemens du MU\Ï et près des bmds de la mer.
;r des Bermudes est léger, tendre, «l'un !)run clair ou roufin
et prend un beau'poli. MII.LEK .ht qu'il élail autrefois
septentrionale, M. ^Iit
végétation serait plus r.
L e buis du (ienévric
geàtre ; il a le gr; '
en Angleterre, pour faire des boiseries et des meubles ; mais son odenr
:ranle , ne jilaisanl pas à tout le monde, l'a fait négliger, ct ou en a presque
:lonné l'usage. C'était aussi avec lui seul qu'ou faisait les enveloppes des crayons
peu.
abai