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attendre,
pendant de longue;
dont le nombre ai
plus de vingt ans,
toujours recherclie
toujours peu de Iruit i»
meilleures que lorsque
cultivateurs font eucore
cfc leur fécondité, à moins d'accide:
lécs; plusieurs générati
ntera chaque année, ta:
m Doucin cnv
Paradis,
i-Ia-fois ,
; les mèi
ne dilf<
rlc^ lalgré 1
•est qu'
sur sauvageon ; ils assurent que L
pas rare, dit-on, d'en voir, dans
de deux ti trois cents ans. Je ne c
franc e t l e Ponunier sauvage quanta lad
des arbres venus de graines, l'un dans un terr;
tanénicnt daus les bois, des semences des Po
particuliers, ne sera point tarie
nérations pourront jouir de leurs fruits ,
e, tandis qu'un Paradis ne durera guère
\ lo double de ce tems. Mais cc qui fera
cur peu dc durée et quoiqu'ils rapportent
ils donnent des Pommes plus grosses ct
tés sont greffées sur d'autres sujets. Lcs
•ence entre les Pommiers greffés sur franc ct ceux
: dernier vit plus long-tems que le premier. Il n'est
les pays de montagnes, qui passent pour être âgés
rois pas qu'il y ait beaucoup de différence entre le
la vigueur, tous les deux étant
nltivé, et l'autre étant né .spones
sauvages.
les Pommiers nains et cn que-
Louis XIV qu'on a commencé
sons ; plus anciennement
Ce n'est que sous le règne de Louis XV qi
nouille sont devenus à la mode ; sous celui di
à former des espaliers , des contre-espaliers ct des bi
on ne cultivait que des arbres 'a plein vent.
La greffe en éeusson, pratiquée le plus souvent snr le P;
peul anssi se faire sur franc et sur sauvageon, je crois mèn
d'accélérer le numient où ces derniers doivent doimcr des ft
grelVe conununéinenl les Pommiers francs destinés à former dc
l'àgc de six ou sept ans ; au lieu qu'en les greffant à trois ou
lerre, en éeusson et à oeil dormant, pendaiU l'été de leur troisii
les rabattant au printems suivant quand on est assuré de la rej
on a, dès la quatrième année , une assez belle tige dont on n'a pl
pour lui donner une forme quelconque, tandis qu«
aire dc former les arbres, la tige qu'on obtient à la quatr
grclTce que deux ou trois ans plus tard
rement perdu pour la récolte future. l e crois
; qu'il serait a
stituer dans toutes les pépinières cette manit
le greffer en
troisième année, lous les francs qui, pourl'èt:
1 fente, doive
trois à quatre ans. En subsdînant généralement celt
est aujourd'hui le plus ordinairement suivie, le<
beaucoup, cn cc qu'ils auraient a six ans des arbre;
pour être plantés à demeure, tandis tpic ceux qni
fente ne peuvent pas les livrer avant l'âge de huit
gagneraient aussi, cn ce que plus un arbre est jeune,
, plus facilement il.
nt, et plutôt les Po
jamais d'arrêter leu
parler plus cxactem
première taille qu
Lorsqu'on plante des arbres fruitiers en plein vci
les Poiriers que toute autre c.spèce, on ne manque
coupant l'extrémité de leur tige principale, ou, pou;
opération est toujours faite dans les pépinières à 1;
tdis ct sur le Doucin ,
que c'est un moyen
ils ; eu effet, on ne
hautes liges qu'à
quatre pouees de
?me année, ct en
prise de la greffe,
us à s'occuper que
nière la plus ordiaunée
ue doit être
;st un tems entièvantageux
dc subécusson,
dès la
nt attendre cncorc
de faire à cclle qui
istes y gagm
pou
e greffent I
u neuf ans.
subir aux arbres après la poi
fait dispense d'ailleurs le plus
ticale principale, parce qu'il (
entés, poussent, des deux ran
cipal qui fasse le prolongemci:
des branches latérales, et on ;
ou dc les y ramener, afin dc let
; let greffe. L;
ouvcnt (f'arrèter la tige en
Il fort rare que les sujets,
canx insérés pour la greffe
du tronc. Ils ne ])ous.scnt j
bien soin de 1.
mt vendre
irbres «pi'en
s acheteurs y
,t h
iprend.
nmiers et
• cime eu
lût, cettc
! l'on fait
Srefl'e se
)upaut la poi
déjà étêtés pi
En fente, un
esqtie t
dans cctti
>u)ours
dispo;
•mer ce qu'on appelle la lête. Aussi,
sur dix mille pieds d'arbres fniitiers, dc ceux qu'on est con
vents, il n'y en a pas un seul dont l'ensenible des brandi
plu.
arbres grefl'f
dire plus haï
hauteur et qui sers
usitée aujourd'hui
du Jardin des Pl;
il ne leur manqu<
des choses, la for
un espace très-circ
une tête arrondie,
cidturc, serait noi
crois qu'elle sei
celui des récoltes qi
arrondie, les brandi
ct de la lumière ; les branches ;
l'un ou de l'autre ; déplus, ces
leurs branches; par conséquent
nuit aux plantes qui sont au de.ssc
branches supérieures, étant louj
un libre accès pour les rayons d
plus grande liberté. L'essor que
pas à leu
pour <iu.
du tronc
loins arrondie. Au contraire, cn ménageant convc
:n ecusson et
on formerait de;
craienl d'un bien pl
iiii. Tous les Pomm
; pouss
ïrbio..
.nt qu'un seul jet,
qui s'élèverai
beau port que ceux de la forme gént-ralei
•s et les Poiriers de l'école des arbres fruitiers
ent (;trc cités pour preuve de cc que j'avance ;
:itcs de Paris pe
qne d'être dans un terr;
lie pyramidale (ju'on Ici
n.scrit, deux fois plus q
pyramidale,
Cetle fc
i-seulement d'
pect b
it plus avantage
pourra
iférieur
mu d'appeler pleins-
; ne forme une tète
ibicnient la cime des
, ainsi que je viens de le
en pyramide à une grande
de la forme géntTalemcnt
' . moins resserré, ct, dans l'état actuel
a donnée a permis d'en planter , dans
pn n'(rfit pu faire si on leur eîit donné
donner aux arbres fruitiers de grande
ucoup jilus agréable, mais encore je
q>port des produits de l'arbre ct sous
sous le
It faire an dessous. Dans les arbres fruitiers à tête
es re<;oivcnt peu les influences bienfaisantes de l'air
supérieures les privent Kmjours plus ou moins de
arbres, qui ne pcnvent s'élever, étalent d;n
raison de
ombrage
auciuie b
juMjue là
récolte si
Is donnent beaucoup d'ombr
s. Dans les arbres en pyramide,
trs les plus courtes, laissent à t
soleil, et permettent à l'air de
s niêmés arbres prennent cn été
branches latérales de s'étendre beaucoup ; il faudrait nn
es plus forts rameaux s'étendissent h six ou huit pied;
et l'ombre qu'ils pourraient porter serait ccrtai
ille projetée par les. gros arbres à tête arrondi
loitié plus de terrain. Rien entendu qn'il ne
nche à ces arbres, qu'à la hauteur de sept
:lira-t-o
i trenti
m tage
imbrc
c, les
et cettc c
ules les surlàc
circuler avcc
tronc devrait être mi. Mais,
irbrcs dont la cime s'élèvera
:ellc ha
it, par
llespui.
nation ne permet
très-grand arbre
i de chaque côté
nent làible en coinpaqui
couvrent de leur
nuirait laisser pousser
huit pieds , et que .
peut-être, coiinncnt /àitx
quarante pied;
la
ur? Plus facilement, je pense, qu'on ne le fait o
; taille bien entendue, que donner aux branches une
itservir d'échelons pour monter au sommet de l'arbre,
e très-aisée à faire ; et comme les rameaux n'auront
la cueillelte des fruits, au lien de se faire avec plus
teffe di.sposition qu'elf
cc (jui, je crois, est
toujours que peu dc h
de difficidté, sera plus commode qu'elle
échelles, il sera facile dc cueillir presqr
les branches à coups de gaule, ce qui es
dc bourgeons que ccla détruit, et par
empèclte dc se garder.
Lorsqu'on a semé des pépins dc Poi
variétés, il faut apporter encore plus
en sont nés, que pour les simj)lcs su
doit, dès la fin dc l.t seconde année, les
la forme qu'on désire leur dom
qui poussent presque toujours aà
plein vent, soit en pyramide
lUJO rd'hu c J)0 \ se làir
tout a la main sans avoir besoin de frapper
una mclhode tres-nuisiblc, par la quantite
e que la chute quc h^s fruits eprouvent les
dc soin
ijctS (JU
IS le dessein
t I'educadon
11 destine à (!
lête arrondie I que c'est à prt
(i.
ais la plus av
grande vigm
e je viens de
. p l u ,
<loI)l.
des jeuiies
re grelTés ,
le ligourei
„se pour d.
it nouvelles
> arbres qui
un jour. On
jse, suivant
tels arbres
i.sscr venir
ordinaire. Comme ces arbr
m y