priment , au fur ct à mcsu
sur le (levant on sur le (h
linés à foruKï- révciiUiil s
(pi'avanlage au prcmici- co
les h(»urgcons, les gourm
jusqu'au numunit do la lailli
n omb r e des feui l les et pa r cunse'cj ut le t
r a c i n e s , et (ju'il ost jdus important, dans la pro
reprise des aibres et de los assurer sur leurs racinci;
la lète.
•e (Ju'ils croissenl, los bourgeons mal placés qui poussent
rrièrc dc l ' a r b r e , ct nc laissent croitre que ceux désir
le nnu-. QLU)i(juc cctle prali(jne paraisse avoir quelqj
d'oeil, il o.-,t pourtant préférable de laisser croître tous
uuls du sauvageon cxcej)Lés, ct de nc rien retrancher
parce qn'on diminuant los bourgeons on diminue le
ibie des bouches qui nourrissent les
iière année, dc consolider la
que dc chcrelier ii leur former
L e moment propre h
quelle époque de l'hiver
à noyau , les jifoniiers je
pied les doux branohc;
blenient jilaoéos, c'est-
C()tés dc l'arbre ot para
base à tout l'('<liljco. Ce
rameaux en los coupant
la t i g e , afin
jdaios. La Ion
m è r e s , doit ô
leur j>arLiculi
dessus du six
trième ; oiilin
manière (JUC 1.
en .sorliront s(
•c délermino
•0. Si l'arb,
mo U'il ; s'il n a jv
si la pcnisse est ciii
c()U])os soient faites
Lorsijue les dou
colle qui est la y.\ut
moyeu très-siiiqde :
de i'arbro. On iixe
doux mères br.incl;
tions it l'angk
entière h la pi
la tai
J)t; n'vu
e s t , pour ies arb
(pie lo toms soit di
du priiitoius ; c.e inonu
los plus saines, les plus
i-dire (jui soient en (qipo;
lèlonuTit au nnir. Cc so
:hoix arrête, ou sujqiiime
t iVi p é p i n s , n unporlc
n i x , et, pour les arbres à fruils
•ni \ e i u i , on choisit sin- cha(jue
vigoureuses ct les jdus favora-
;ilion l'une de l'aulre des deux
nt elles qui doivent servir de
sans dislinclioti tous les autres
-cc une serpette bien acérée, le pins près JM)ssible de
•l'ce jiuisse recouvrir sans peine ct promplemcnl ces petites
cha
i p(
une des deux brand,
v i g n o n r d e l'arbre q
issé vigouronsomenl
nssé (pr
r los yen:
. dans le
• qn
s consorvées, ou branches
i hvs a jn-odnitos, et par ia
on taille les branches au
modérément, on le raccourcit au quala
taille au second, mais toujours de
:ux laK-ranx, afni (jiie les bourgeons qui
l nalurcllonii
branches sont d'inc'galo;
^ig0!u•ous{•, ot ou raccoi
•tablit piomjitomont l'c'qi
ensuite, par des aLUtehc
:s, de manière à ce (ju'olh
iranle-ciiKj degrés. Après i
• pousse de l ' a r b r e d c p u i s <ju'il a ét^
is des branches mères.
: c s , on laisse plus dc longueur a
lavanlago collc qui l'est moins ; ce
0 de vigueur entre les doux parties
n r , soit au Ireillage , ces
cent prendre leurs direction,
<pu appartient toute
IS c u j d a c e , viennent, daus
, son
(unmc
- öp^-'
le toms convenable, l'ébourgconnage ot lo palissage.
I>'o'poque la plus favorable a l'ébourgeoinjcnK-nl dn ])lus grand nombre d'espèces
d'arbres est colle do la fin du la sève du jirinloins , inrsquo los bourgeons, ou plutôt
les jeunes rameaux qui on sont stnlis, i>arveiius au maxiiimm d(> leur grandeur,
s'arrêtent ct resloul on ropos jusijn'a la sève On supprime d'abord toutes
les jeunes pousses qui se Ironveul sur lo devant ou sur le derrière de l ' a r b r e , ensuite
celles qui sont torliteuses ot .lUoiîites do quohjue vice de conformation; enfin, silos
jeunes rameaux qui ont orii sur les côu^s do l'arbre sont trop rapproeliés les uns des
mient palis.sés, il faul en rolranolier un eiilre d e u x , et même
ipjiressions faites, il f.uit avoir atlonlion dc conserver les rail
l ' e x t r é m i i é dos d c u x n i è r e s branches, k moins (jue quchjuesouvont
an dessous lu; soient lieaucoup jdus vigoureux ol ne
lanière jdus favorable j>our la proniplc J'ormaliou de l'arbre ;
la braiH bc mère jus(ju'.ui dessus du rameau
i antres rainoanx conservés doivcnl l'être dan,
u c i s , arrêtes ni pincés, ct colle jiremière
aulres pour ("•Ire i'acil
deux dc suite. Ces si
meaux qui out pousst
uns de ceux qni sc li
se presentenl d'une i
dans ce oas, on rab.il
p l a c e , onsuile lous lo
guciir sans clre raceo
ui en jH-end la
oulc leur Ionnée
surlout on
doit chercher à donner à l'arbre la plus grande étendue do branches qu'il est possible,
et a i e garnir ii-peu-près également dans loulcs los parties ; c a r , si un des
deux côtés se trouvait plus faible quo l'autre, il faudrait, pour rétablir l'équilibre
ulrc les d e u s parties, laisser pins dc rameaux sur le côté faible (pi
vigoureux.
L'ébourgconnage convioiil non seulement anx arbres on cspa
des contre-espaliers ct dos paliss;fdes qui sonl formés en Y oiiver
rence qu'il y ait, c'est qu'il no faul pas aut;
les premiers, parce (pie ces arbres, éliuit h \
une jdus grande quantité de rainoaux quo
<,-oivcDt l'ait- (JUC d'un eôlé. J'ai d é j i i d i l d ';
^ , page 177 ) (jiie l'on pouvait se disjtoi
avec un instrument bien Irancliant, ot an
estime devoir elrc inutile ou qui serait m
à ce s u j e t , je saisis celte occasion pour rt
ne citant pas l'u
sous M.TIIOL'IN
q u i , depuis jd
zèle , une actis
Q u ' o n ail pr;
en quelque so
entre les di
différoiUes
f i la
Il ébc
illeurs
iMM- do
ssilôi q
al plac.
qui <
•onuor les doiv
; tous côtés, p(
onl on espalier
iliclo do l'Abrf(
Kl
lélliodc
MlcI Én.l,- lk;
s'acqiiiltc des tr.ivaiix , ont
• le côté
ni,ais à ceux
a sctilc diffédcrniei
s que
ivent nourrir
:-t (jiii ne rc-
)lior, volume
•goonneinonl en couj)ant
Ile, toul b(uirgoon (ju'on
•appelant 00 (JUC j'ai dit
ssion (juc j'avais faite en
ir l)U:iioi:TII:R, employé,
du .hirdin dosIManles, ct
il c.sl chargé avcc un
me iulellii: ; po
•aliqué rébourgootniage a la manière ordinaire , ou (ju'on ait prévenu
j r l e coltc o]>oration jiar lo proc(!dé du sieur l>t;MoiiTiKR, il faut,
. sèves, palisser les atbrcs. Le palissage s'opère de trois manières
on liant ies branchos ot les rameaux des arbres contre un treillage
avcc tlu j o n c , du spariho i
ligatures aux maiilos d'un grilla
,3". en altachaul les rameaux ii
lanière d'étoffe (jui onvclojipe cli
d'un clou. On apptdie celte m;
Kn palissant les rameaux par
u de menus brins d'osier ; on f.H,sant les mêmes
;c on (il dc f o r , qui a élé élabli contrc lo m u r;
iiiiédialonicnl sur le m u r , :m moyen d'uiu
ique brauclie, cl qu'on (ive au nnir jiar le
nière palissage à la loque.
llll des trois procédés ci-dessus
- trop bruiq-.iemcnt pour leur f.
les contourner ou do los coud,
position forcée ; il est aussi essentiel de nc pas placer les l
sur les fcuillcs ou sur les yeux des rameaux. Le palissage
la déj)Ouillc des arbres cl on donne un h'ger labour h. 1.
petite
il faut évit(
ire occuper
dc
pieds, afin dc diminuer l'effet du piélii
nécessaires pondant la seconde anné(' d
La seconde laille, «jui s'exécute an
ircs ou les loques
i , on enlève toute
e (jni entoure leurs
! qui a durci le .sol ; lois sont les travaux
a jdantalion.
ininonccmcnl de la troisième année d(;puis
levonir plus ooinplifjuéc f[ne la première ;
sulfira d'indiquer les différences. Par la
la plantation dos aibr(;s, commoncc i
mais les bases en éUinl les inétnes,
première taille , on s'est procuré los
X brai
venus autant dc rameaux qu'elles jio
ni d'y
tablir des branches moulantes ct descendante;
Si l'arbre a poussé très-vigoiircnscmont, el qu
dix aient poussé chacun u n rameau , il convient de
dépalissadés, et de coupor p i c s court (juo l'anno'o préco'donle , j>a
acquis de l'élendiic , on ayant toutefois égard h la position dos rnnioai
:s mères, dos(juelles sont pro-
; il s'agit dans la seconde d'é-
111 oe qu'on aj>pcllc membres.
; yeux réscrv(:s au nombre dc
tailler snr tons après los avoir
i l'arbre a
on dedans
i le;
ou en dehors dn V . f.os rameaux intérieurs dti Y , fju'ou ajipcllo branches montantes,
doivent être tailles au dessus dit cinquième coil, pendant que les extérieurs,
nommés branches descendantes, doivent l'être au troisième. Quant aux deux
rameaux qui ont poussé l'exlréniité des deux branches mères , comme lenr