rapport, on ei
on les prescrit
toute autre vai
sucre'e. C'est ]
des marraelad(
fort rcnonimc<
ont trouvé da
I laisse souven'
en tisanne. Da
inger de cuit(
:e cas , ou pi
;iProvence, on liii
ut la Rcinettc (ju'o
ifiturc.'
nu s h
.. Ce
I prépa
adde part
J extreme ni
s. Anssi, d;
riiatJs de Po
extraire du
Pommes si
i dans les va,
l u qu'il en
•cliipcl, les
s oraugcs k P
Dans quelque
vee des Pomi
le jour de Ii
lient KIcdonia ct qu'elles portent ce ji
neut de fleurs ct de rubans, et elles les
nent bientôt, elles regardent cela
onservcnt long-tems, c'cst pour clli
vroul long-tems ct (ju'ellcs se mar
liers donnant des fruils bonsiimani;ci
PLUS SOIU
et des C(
Les condseiu
: les Pommes u:
nom latin, mnlùpie. Cet acide, daii
de variétés, passe à la saveur suer
à trouver de vrai sucn
présent on n'est parve.
Dans les ilcs de l'A:
fait plus de cas que de
fdles Grecques font, a
ceinture qu'elles nomi
leur nom dessus, les oi
soin. Si ccs fruits se far
si au contraire ils se <
uue preuve qu'elles vi
La culture des Poinn
tempérée; elle s'est mè
fait naître plusieurs variétés nouvelles
tout ce que nous connaissons jusqu';
cet ouvrage aucune de ces variétés vraitncnt mon
dinaircmeat rares cn France. La cullure <lu Pomu
quoique depuis plusieurs années on commence
Provinces où il était autrefois presque incmuui
d'années, est rccommandable par ses exccllens ci
toire Français ne peul lui être comparée sous ce i
daus (pielques caritonsde l'Allemagne, de l'Anglet<
'panduc daus les Ét.-.ts-L
rquables p
.tdoplus
:i<lr(
h rla.
D'après les auteurs qui ont écrit sur fliistoit
que l'usage du cidre a passé, avec les Mai
c'cst chez les Espagnols que les Normands
faire le cidrc; mais cette assertion ne me
pour être admise sans contradiction. Pour
les Maures, <le l'Afrique en Espagne, il fa
est indigène de l'Afrique, et qu'il'a été Iransp
traire. M. DESFOXT.VIXES, dans sa Flore allantiqu
l'ancieuue Mauriunie, necite le Pommier t|tie
tandis que h
s aux malatles et aux convalcscens ,
•lèrc, généralement, la Reinette ii
ubïtitue la Couchine, qui est trcs-
I emploie pour l'aire des compotes,
:11c qu'on fait à Rouen une gelée
issi cn pâte sèche. Les chimistes
•ulier qu'ils ont appelé, de leur
Lurité de ces fruits et dans beaucoup
is ces derniers toms, a-t-on chciThé
nues los plus douces, mais jusqu'à
sirop.
ut des fruits fort rares, ct on cn
-unes de ces îles, lesjeunes
Saint-Jean , une espèce dc
ir-lh. Elles gravent
irdeiit eusuite avcc
un mauvais signe;
s uu heureux augure,
oront daus l'année,
s'étend il toute l'Europe
mérique, où le climat a
r grosseur et surpassant
.. Jc n'ai pu décrire dans
qui sont eucore cxtraorn'est
pas aussi répanilue,
r l ci
cot arhre dans plusieurs
mandie, depuis nombre
i N,»
rcs, aucune autre partie du terriipport.
On fabrique aussi du cidre
rre, dc lE-spagne ct des États-Liiis.
: du Pommier, il faudrait croire
1rs les plus anei.
THÉOPHRASTE et PI.i\E, parlent du Pe
forèls de l'Europe. Ceux tp.i font tr
p.ar les Maures, ne font pas daillcu
les Pommiers sont le plus répandus s(
pays dans lesquels les Maures n'ont jaii
aniais liii l,icn afli-rmie. Si
'eût l i e dans l'Andalousie, le
du cent
1res, de l'Afrique dans rE.spagne, et (pie
ont élé cliereher le Pommier et l'art de
parait pas appuj éc de preuves suffisanles
foire que l'usage dn eidre a pa.ssé, avec
udrait qu'il fût prouvé qne le Pomnder
en Espagne, el c'cst tout le conli
est il proprement parler celle do
1er qne comme arbre cnllivé dans les jardins,
IS qui ont écrit sur l'histoire des plantes,
iraicr commc d'uu arbre sauvage dans les
isportcr le Pommier (l'Afrique eu Espagne
Espagne
du midi
nord, qi
attention qt
Ht les Aslur
ais pénétré,
les 51ai
! les d'Espa»,
la Bi
dan
icnl ].laiué le I
lade et les autres p
lt la Ko
t janiai
oil ils o
subi ICI
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ojaunie
long-te,
n qni 1'
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de Groi
; lesquels le.
(1 dans les
i prompt,
P O M M I E R
nmier de la Riscayc ct de la Nava
M A L U S .
Quant îi la transmigration du Pc
farre e.spagnole
en Normandie, quoiqu'elle ne puisse pas être niée d'uni
cependant qu'elle peut très-raisonnablement être révot]'
mologie du mot cidre qu'on prétend dériver'du mot
espagnole, exprime h; uom du cidre et celui du Pom
dériver le mot cidrc du mot ct'rfra n'ont pas fait attention qu'autrefois, en N.
nanière si absolue, je crois
•e en doute, malgré l ' é t j -
idra, qui, dans la Navarre
i^r. Mais ceux qui ont fait
xrivait sidre, el que, d'après ccttc manière d'écrire ce nom, il pi
landie,
.t bien
plutôt
boisson fe
même d'ai
du cidre,
lo
- du lot laiin sicera <jui,
mice qui n't^Lait pas du -s
: cljmologic. Si les Ga
diez eux la culture du P,
curs forets n'avait I'ait en
diez les Romains, signifiait toute espèce de
ct que le mot espagnol cidm n'a i)as lui-
;êtrc
r e t d u P o h
1 progri
, igiior
;r qui c
lorsqu-
•L de l'ai
l nalurclil
dai iquis
par Jules César, comment supposer que les Romaius qui connaissaient la manière
d'extraire des Pommcsune sorte de vin (i) uc leur auront pas enseigné h h: retirer
des fruits d'arbres qui étaient spontanées, el que cc n'a clé que douze siècles plus
tard que des Normands ont rapporté d'Espagne les premiers Pommiers à cidrc ct
la manière d'en extraire cette liqueur.
Quoi qu'il en soit, on est dans l'usage, dans tout le nord dc l'Europe ct en
Amérique, de greffer les Pommiers à oidrc, tandis qu'en Espagne ou ue prend
point cette peine; on élève tout simplement ces arbres de graiues. Cet usage estil
dit a ce que le climat de l'Espagne est plus favorable au Pommier ou n'est-ce
qu'une habitude ? Il faudrait pouvoir comparer les cidres de ces différontes contrées
est préférable. On ne peul
n'ait une grande induenc^
•lans le nord de la France ti
•fond, élev.
e de
xpositic
I pr
quelqui
Olgll
m quai
ilcool.
d'ailleurs quo
la (lualité des
;c troia sorte.s de crûs.
• des vents de mer, lel
(tons dt!s environs d'As
pays , los Pommiers imt
oidVc fieauconp ])his fort
il faut, pour l'usage haou
ciuq ans, el il doune,
pour pigor quelle ma
la nature du sol ot dcidres.
On distingue C(
Lc premier est un terrain grai
que le pays d'Auge, lo Cotentin, le He,s!
lenoon, de Baveux, de Rouen, do Gournav. D;
le double avantage d'être très-féconds et de d<
que partout ailleurs. Ce cidre est d'uue couleu
bituoi, le mêler avec tie l'eau ; il ,sc g.arde bi<
parla dislillation, ime plus grande ipiaiilité d";
Le second comprend les pays tlont les terres sont forles, mai
de fonds, comme une parde du dcparte.mcut de l'Ule et 'Vili
l'Eure et d e l à Somme, les pays de Bray et dc Caux, le Rouniois, en except.m t
de ces cantons les parties trop près des bords de la mer. Le cidre de ce second
crû est moins coloré, U n'est pas susceptible de s'étendre dans une si grande quantité
d'eau, il ne se conserve pas plus dc deux a trois ans, ct il fournit moins
d'alcool à la distillation.
I.C troisième est celui def
déparu
des bo
Bocage, quelques cantons <
tague et tous les pays voisi
peu coloré, on peut le boire pur; il a
rarement plus d'un an , et il a hcancoi
obtienl que peu d'alcool par la distillai
aigres, pierreux, c
out de l'Eure, une
s de la mer. Le c
me saveur a.ssoz agi
q-) de tcndauoe à p
La saveur des Pommes a encore une grande iuflucnc
qu'on eu retire. On distingue trois saveurs différeules d:
Ces fruits sont aigres ou acidcs, doux ct amers. Les Po
ont pas autant
e, de ceux dc
du pays de
ie dc la Bre-
•ù est clair,
il se garde
:e. On n'en
sur la nature du
j les Pommes à
mes acides ne rc
(•) y mf.t, t? Pyris, M(!lorum(i:tc omnOiui geavrièiii. Pl. Iil). 14 cnp. iG.
y