ce -nom de1 c h é ilo d ip tè re indiquerait desNlabre&v à deux
do rsd e ii^ « ïi4 .se iile iB en t il -esü mal com p té ,fan a is i l piéfs
sente une idéfhfaussé. Ges^poissons n’ont pas*: d e flè v re s
épaisses?*, la manière dont le&dfe&sân rend les lè v re s,
!|pfu p lu tô t »les machoi-reStde notre pcj^ssqpV qui a pu eon-
duire à c e tte erreur. Au* re s te , la plupart d is .cb-^ilpdiptè
re s r é p ,o n d e n ||J® |i p^u ;que-,eelai-ci à l’idée qu’ejn pour?
ra it /s’en faire d’apres^gette compar?aW©,p '■ V h eptacanth e est
mn tem n o d o n ; le c k ry s& p tè re y u n e p e rc h e .; le cya n o p tèn e
m & iïom brin e c om m u n e; Y a éo u p a , xm e o r b , e t le m a u ric e ,
lé- m a c ro lép id o te éè le t a c h é # , de& é le o t r is , etc. I l r|e
restera donc guère que notre espèce ac tu e lle , qui Rentre
pas dans d ’autres .genres', et ç j^ m e qui nous a déterminé
à lui* laisser nobn " d e c h éilodaÿtire.~ ?
Le centropome macrodon, Lacép., t. IV, p. $e}ip
q^è J.é meme poisgpn, pris ç|^ la description .Tais^^%ar
Commersop. d$ps se» manuscrits; d^.rtf ‘t t S S & e
n’avait pas reconnu la Cjarrespondancc aye!(^Ie;dè|sih.; [Lè
caractèare même, donné par Commerson 1 ^.annonee leur
identité, êt?:-la lecture de sa description phts»défeurMée
ne permet pas d’en douter. On exactement -les
iiiêmés nombire^Tle rayou$ et de dents; et tous les atdfes
•détails.
Cette description laite sur le frais nous apprend que l’iris était
grand ét argenté ; ta langue obtuse et lisse; que la première dorsale
était presque: toute noire et les autres nageoires rouges-qpe le pé-
moine est très-argenté.,
L ’espèce a été observée par Cotamerson sur les côtes de
ii ÏÀspro 3oho âipteiyÿo dtnlibus raris ai longis et exertis, corpore ioeniis fuscis
oholetis octo circiter utrinque limât».
l’ïsle- d e-Franc.^ an mois de Janvier ; sa chair n’est pas
maîiv^sê. - E ï l l ^ s ê , dit-il,l(^seè'«r%re, et, en effet, aucun
voya§èur rie'noms la rapporte^’ depuis.
L e Ch é iL'Od i ptËre arabique.
i^fi^CheilâdipÈerks' etrabicus , nob.)
Une* espèoeitqui doit ressembler beaucoup à la précé-
i€è|HtÇet quimîjtndant est diffé^kte, est le perça lineata
dé F o r s k a l (pérc« arabica, Gmeî.'; centropome arabiquet
Lacép.1. ce1 qu’en d it | | voyhgéur ‘danois|ôn pouque
P ^ p i s f â les rnêpaes^^i^|?le s*m A e s
: tombant facilement, les
mêmes ntffipij™fetde 1 rayons, les naemeSj cc^uleurs ^ P®h
■ M H aux cqtés^de ,1a queue, niais
a é |ÿ un éclat doïé;les seulesydifférençes importantes qui
r4ésultaièr|t ' de -^description, c’est que les lignes noires
des dix-jsèpt ;de!| chaque ^cqt^é, et
que Ik 'S cp id e épine anale sè prolonge en filàmehjpNous
’ H de1 vérifier ces ressemblances g S B différenfeês sur
un%c%antilloii' que M. Iprenberg a bien voulu nous com-
muniquerpiët sur un dessin que cet habile c^^e^yàteur a
fait sur les lieux et d’après le frais.
Forskal-ÿvu cé pôisson d'ans la mer Rou|e,' près de
Jidda ; on l’y homme en arabe d jesau vi; M. Ehpenberg
l’a aussi entendu appeler tabah par'les Arabes de Lohaia.
ILe des est teint de verdâtre. Le nombre dos lignes noirâtres dé
chaque côté va de quatorze a seize ou dix-sept. Le fond argente est
teint de rdse dans plusieurs de leurs intervalles; elles s arrêtent au
milieu de l’espace qui >4$« entre là dorsale ét l’anale d'une part , et la
caudale de l’autre. Sur la base de la caudale est une large baâde