348 livretroisième. ?ERep$ABsv •
colléctioiifde Brotess©naet^ Parkinson «a a laissémn, âutrë
d e s s i n J e «nom de p erectvk ta ta .
Gette'diseope a été observée pcémtne: on fe®èi:j ?ba l5lsle-
dg-Franç^ «dans, la mer Rou£e et dans ielgrafldi'è’céan
Paciiiqne. Foirster dit que les ©haïtiens la nomment ta-ape,
et les naturalistes de 'l’expéditibn de M. Fhjperrey viennent)
de là rapporter en effet d’Qtaïti jsons? le nom peu
différent (îétaapé : lest Arabes de Djiddafappellent kas-
mù'i et ^rÂiQ^elon Forskal. Ajoutons • questÿpstfi fort probablement
le maraeA d’Azbbeane de Renardî^sSfefe^ttont
ce que nous pouvons dire de* son histoire.
L a DiaOOpê b ^ È t4 :vÀitfi.îi-,i-I
{pîmxopp q p t,q tq t lvioh.) ,
Le poisson que Russel représente*; dans ‘sIÇ P qWoiîs • de
Vizagapatam, n.0 98, 'spùs* le ù â ^ ^ 'â n i^& ^ d q rid i^ a h ,.
esr:.une .diacope qui-a aussi une1 tache noil ^ snr la ligne
latérale et plus prononcée que celle qui s’aperçoit, quelquefois
dans Voctolineata.
Se» formes; sont les mêmes. Son édhaDHErare ÆsoÈftt^ef’éülê Stttfi
pour le moins aussi marqués; mais ses dents sofl-t moins foitesi On
ne lui voit qu une pointe plate | à ‘l’opercule Sa eôtjleur. est un
' hrun-jauiie, avec des lignes longitudinales qn peu pïnsi dosées ,, et
tache noire sur la ligne latérale, vis-à-vis le milieu- de la partie
ïnolle de fa dorsale. Dans nos jndiyîdüs secs on voit, de chaque côté,
sut ou sept lignes übliqueis, noirâtres, trës-étêôitesfëf’pëü apparentes.
Di. 11/43=; A. 3/3;. G. $$$j P. 46* Y. 4/5. I |
1. Renard, t. I.er, pl. 20, fig. n o .
É É Â ^ ^ p i DiAeopEs. 319
' RîÉ'ssel ; donne- à&son an tica< * dondiawàh d es teintes
^l^s/jjooiamo&ns ïdiâÉ|fte$rsüpïè ^dos1 et aüx Mgbolresj mais il
a n n o q^>, ,couleurs varient selon l’âge et la saison.
Ôndiyidp, qu’il î jp j ^ ^ a a t e &àiü long de. q^e. p,ouççs».Les
Ootïiësjls'dnt plus pëlksFNous les ^aVqns de Commërsôri et
du véyàge de Peron.
; L a DfckcopE^HoeEB.
* ‘ Diaçope fu ïvijiam m a , 'nôK. ),
'* Cë poiSsbn utP|rmer noi^e, que Forskar(p. 4 3 . S M ®
à nWmmpscioena fulvifiam m ax esÆ fort yç^in du pçecment.
Aux caractères des diacopes il joint une teinte jaunâtre,'<les
lignésaocées, quelquefois peu-marquées; sur les flancs,
SH taché noire.au même endroit que les deux que nous venons de
iïidéGKifè. -!y
*- 4 Ses- nombres sont dans Forskal :
;p.;9/l.Ajtïi . 3/3; C, 15; P. 15^$. 1/5. *
- Mais- un individu, dessiné par M.; Ehrenberg," a, ;j
D.10/13 ou 14. * .'
■Son;:dosi est olivâtre; ses lignes; jaunes, au nombre de!3sîx ou
sept sur chaque flaçtÇjj^sa tache, noife et ronde est sur la. ligne
_Jatéralje,-àî ftn d ro it ou le premier trait jaune la rencontre. Ses
pectorales' sont orangéesainsi que le bord d | l’interopèrcule.
On nomme l’espèee : en arabe, S'elon. Forskal, àBou-
nocta (le père à la tache), et habar ou hoher. M. Ehrenberg
l’a entendu appëîer haalbiri a Lohaia. Ge nom
d’abou-nocta, est commun à plusieurs poissons de la famille;
4.es p erenes...
Cest le centropome hoher de M. de Lacépède (t. I.V,
p. a 5 5^.