' ^M'àMis&tde&sms, qui appartenaient toi^aussi claireûient
lieu à éV-ëtablir deux 'âk#ês :
le ‘ prekiier, faiSfaii1 ^raybn'1 [êfMsèzi éckiedï^&na'is 1 ôuJles
epailles [fi||jjgopt'pas ii id iq ^ ^ ^ i t ; fntituli- asprQ /vulgo
p lâ tre fa ra u d , le farettjf h est^dëyenu Yholpcèritre g rfn -
raojeï^l^cégj., t. IY , p»;36qj|mt% III, pl.pçs, l’autre,
qui est probablement fait d’après la peau ..gëohf^ e s t^ la
phÉÉè»et enluminé, (^eja^gir >et jle jaune. «Joes nombres des
ra^%s'ny^ént^âs*rendus};exatteBi'ênt, ‘et les dentelures
dW^fëoplifctile^fLiy sont pas marquées. Il a produit le
^odikp gfp sfeJ j^ ^ [ t. I I I ,* . A u fâ î pl- 2o~,.u.^W B
le %*ïIsle-de-Frmce-que1 ^ 'm m ^ ^ n Ka ! i^ e ^ v ^ ^ t e
W n« . eUe y^^'rtsCrtye :nom v^mire, de 4 ps
jau n e, Il poug- apprend quelle vit de^^ab^s ide petits
p o is s ^ s s ; qu’ePet|àyale Ten entie]|ipp.1feli.air f§sfj rqgtimée^ret
nés]|pQkjt .nuisible.
L e >MERÔ g^ ^ Son! eVi t . J
'Sèr^anits W ettnerdèti^ n ^ .|p * p |
Sonnèrat'noiiâVra^porte^Se PoM'iclër^^ë'sefLanpet
quelque1 templïMâpirës M." Ueschenault nous "a mis à metae’
de le mieux connaître p ar fcfê^ndividus 'In m^lîëuî%tat,
é^âFcompagnés de ’ndtés dnstfuctivëV. ‘
ss* -.fbf est^arrondi il n’y a que quelquestcyénelu*!es yers
son bord. Les trois- épihes'<|è l'opercule sont très-cartes, paris ^le
ne parait être/que ( T u n e m a i s 1
mon 'M. ‘ËêscnenatiitqürTà' W frais, il est d’uri rritigë ti^ës-éif, et
a sur la tête des lignes «’bleues qui' forment üri ‘Flsëàu à mailles
1 . m n ^ m p  Lescbèmùlt,
. , c h a p . ^îi" fs®RRABrs%! ; : 2 2 3
,®<s^ondel'.^Cesdigne'^J)v^%issent3*©ïtpqfe ün 'peuisupîlçsipoissons ‘què ce
« -^y^gA^jaorijSraprfflj^i^és.^I^iWag^qiF^M^t.arrondies.
Wicilesrâldml)rt sad^Ieur> i
^^qsdndivvid'iis^dkl pàsrjntùs d’un>pip||;- mais’®!. Lésche-
nfaxxlt’k'èüs dit^qtfi^p en?«a de dmiâfptéds'. On prend cette
iJ^ffee petifi’lnt 'to’utedWriëe dans fair^de-' de* Pondichéry,
où ljsü&êehe urs la Mommenlrsih parmi. Ellë^fe’st'Iho^TO à
f i ü ® .l)ussuim^ Tjoi^ ou^a r aÆ ^ ^ â è u x individus de
Çeÿlan ,'®tou le çorps^S^égafement d’un, b e ®u, rouge ; mais
|pu.îefr@eau bleu fautarmsur les joues. Leurs
» r i j i r e s verticales ont lisi^psMe noir.
L e M érou bordé. -
* ( Serranu s m arginalis } npb. ) 1
Une espèce frès-voisine est ©elle que Bloch a représentée
pl. 3 à$jjfig. î j, Sous le nom d'epinephelus marginalis. Déjà
Séba eh avait figuré un très-jeune individu à lau lan d^ 27,
n.'’ ]3,> du-tQjti ^ III. Commerson en a rapporté d ^ àndi-
vidus'w^séeKës ‘ jtriS â l’Isle-d e-Fr aÙÊqPèt éh a laissé un
d e s s in * 'la it ® 'fe*frais’ que M.' de Lacëpkd^^ fairgraver,
t. IY , pl. 7, fig. a 0%9us 'le nbmS d'holocentrè m sm are,
voulant par cette épithète fixer l’attention- sur lès- deux
dent^'canines de la mâchoire supérieure. Mais dans notre
méthoide^seécstract^é' est deteùû g^oed^ùè“ppifr nos serrans:
-Il n’a pas d’ailleurs reconnu ridentîtér,dmce dessin de
Commerson jdæfija, figure de ïepinephelus marginalis de
1. Holocentre w7n0r*; Eacéj>. yt. IV, pl. 7,;%. 2 ; Hokcmtriu ijlarginatus ,_ejusd.