348 LIVRE TROISrÉME.L.PERÊ©WH^i/
B a n n e auxem^p^éetires^L^i^e ou cinq petites bandes jaunes de
Chs^pè^c^té'-du, v,entre,.
É|ÿS|prin'É()^lemerj,t^à ,§aint -Thomas ^ jtpie e^v-oyageur
Fa observe^pfejl n^dti^ip.prènd qu’on Fy nomme sardey
qu’il yj'devient quelquefois'^loBl‘j f # ^ • et qu’on l’y estime
Il nofr^é%’l|t$ivenu1 en effet .avec ses 'eôlle^i$)!jiSj. .de cettp
îlq un indiyidu de- dix-huiit||teuces ; mais il en a aussi
en v e^ ^K , Pl^tbpd^icp, ç>,u (©n lui db|itoéCîejnom. dp^CÆ-
b riïïd . !É’à p à t "vu |pf une autre Ipdque, il dit qu’il [était
d’un beau ’rbuge^epses ban<Jes;£'t>.se^ n?ige obfes d’un 'beau
Tou}t nouvellement nous en avons reçu plusieurs. de
Saint-Domingue, par-M. Ricord, dans un;étattparfaitement
frais.s
,, Tousyppt rouge cramoisi ; mais dans quelqiMS-uns- ce^te^^ou-
leur passe(sur le do^pu^olft et au gri^^ârdQise^foedarg^
d’un jaune plus* t»*.jfaoin<l vif,7 t^ S d e p u iÆ m u s e a u rm ÿ ^
^ queue, et, s’élargi^ pour s’unir,à la[-gaj|ffin ^ jaune-,
I excepté un liséré rouge à ^ î> p â ^ ^ ^ e ||'eu r et inférieur. G^tune
est- quelquefois ,un peu verdâtre, ‘surtout à la eaud^e^. LéMsl»,
au- dessus]de cett^ bmde^estfsemé 'dje,
t Les flancs ont des lignes' j a u n ^ p ^ ^ l à ^ ^ ^ P ^ ^ V s e s - v qp_i
font le passage du du corps au blanc du veâtie/(DesY)oin?Ls
verts, coüÿrênt lÿ lfâne, le front et leurmseau: ?La àfôrMë- ét|’atiale
JJ..s.ont*jauri.es, javec>^du ^rouge^.e^u du rose a leur base , et.'les^autres
. nageoires blanchâtres ou rosçs. y ;
' On nomme,dans cétte île les individus à àosdpleu.,isarde
colas-, et ceux à dos rouge, sa rd e-eo la s a^qjueue. Les plus
grands que nous ayons'; re|üs sÔJÉf^Fôngs dp yingt poûéës.
Il est aisé de reconnaître ce même poisson à la forme