LIVRE- TROISIÈME.! PERCOÏDES.
pièée§f'ibpereùlaiE'es^mme les boldéëntres^iiièS^aoifhias^
l I l e s ' lutj ans ; les c é p M t o m m e les'bo-
-dians.'Mais^ quand du",en vient à l’examen ^|Pe^,^s]^îcW|^)n
trouve que applique'^’faussement,
et que n\ëme quelqi^ups.netaient pas suscepdbïes^dab-
plicatiqps exactes?! Ainsi,, le principal d,es .anthias, notrè
barbier $^est bienÀoin d’avoir desiJ|pereuJes sans., épiïiq§4
au contraire^seS' opercules'se ’.terminent par t-Bois^épinfe"
11 §|jn faut de bè&àcoup que tôus^lësd)Odÿa*ns^ient
le p^é(m#cule‘ entier, et méitfê îl^ ^ ^ p e 'ù t-ë t'rë%dedans
aucune deé; ^spefQ^gjue Bîocli range dans Je^ gSnTe^ nÿais
les^entéïprès de cette p i|l|llb deÿiennen^leulement de ’
pjus .en plus m e n r^ ^ e t s ^ cacSent par cS i^^LLs Ia peau.
Il enestj^^niême .des écaillés-du b ouf du irîtÊs’eau : § ||e s
passent par degrés insensibfeÿ^pi fd ^ ^ S ^ T e s .iu J b a r b
ie r à la petitesse de celles du mrét€|k^s.an'Sj q u eL ^ , p$|§se
fixer une ümite facile à saisir.
Ces motifs, joints à la ressemblât êe Jgënèfateiqu’off&ntr
d’ailleurs (o us [ces poissons, nous onl obligélde' laijgeM*sfekè
tion- de^êes- petite^efeMllés du
plus ou moin§ 'fortes du pçeopercule j comfn’ê
generiqües-, et d e reunir ^jfutes les- 'espètjlij, qùipoiitlîles^
caractères des^ mérous, c’ést-à-dire deAdëîÂts en •erdcbéfé,',
un opercule épineux, et de très-petites écailles sur la-ittâ-r
choire inférieure.
"Hcùis en formeront cependant des groupes pOui1 faciliter
ïêj travail de ceux qui voudront les reconnaître ; mais eù
ayant plus d’égards à leurs rapports d’ëüsëmble, et même
àla distribution générale de lëurs co’ùleurs, qu’à des détails
trop variables pour secoiider en quoi que ce soit leur première
étude.
w < mmeué'ê$ôTiïSi:pa t celles qui ressemblent le plus
au mérou de nosfcëôtes,r rèunissaht, ydbmme lu i , à des
de ntelulfpl a sVM p |^ i/ a fl a'iigle du p ré o p e rc îlM ^ ls teintes
plus midms^m ifcrmqs <gur |§yÇ,9îBs’ L a plupart dqyiem-
neut M ®p,mme^ui, asaaa ,graa^ley..>vy-
Les^cô|es;méridionale4;4fS!^ ^ ÉM ^ e r ran ^ |!^ u f;ppurrissentj
d g r ^ c s p è l^ É ’p^.^é^®11 a queîq p p y^ utres)sur les cotes
américaiidë'sf dp lajnijer Atlautiqqè.^^;
L e M éro q J d|A lexais; d r i e .
, ' (SeTtranus •Aleæ^ndrim.us^^ nobs)4 ,
I i t r . e m j e W espèct^l e ^ jr a p p p r té ^ p e l’É g yp te par
M:'’^S -ffro ^ y .,E lle est tellemen trsemblable, au,’m ér o u , que
n ô u À ^ ^ f ^ i y o u s distinguée qu’ap rè s'un examép minutie
u x !é t à étaillé f mais .fict e xam é ü , fait efitre mq iv idu s de
mlnxe y a ille , mous 'a óffert lés d i^ ê r ë q b é s :^
L’oeil du'méroû uAlexaîidrië est7 plus grand j Jg & ^m è t r e fait
le cinquième de la lQti|me^|' d'^ïa tête, tandis1T p il n’en esFcpie^le
Vsiv â fe ' d‘a u s notre mérou. Le Bord duméopef çule'est plus arrondi,
móitó'jëÖ^KöSr vérs -Eangle^-ïds dentelùreè“du bt>fd montant sont
mcfins profondes • celles de 1’angle-forment seulement deux ön trois
épines1'assez forlisf' ââïiples ét' non aplaties. -
Le maxillaire est un peu plus large, |||les; écailles qui en recouvrent
ùne‘ paraé^otît Beaucoup plusAisibles. ■'
Le bord1 membrâheux d é f operculé'fôrme un angle moins,ouvert,
n parce1 qù’ibfes.tj{droit OU'.même un. pem'ep'^al'éï supérieurement,
tandis que dans le mérou il estyrès-manifestemept convexe.1
. La partie molle de laidqrsale (est plus; basse j les épines 4e l’anale
sopt un peu plus .longues.
D’ailleurs ses nombres de^Aÿ.bns sont les même’s.
! 1. Cëttt es'pèce -ii’est pas décrite dans lé grand ouvrage sur l’Egypte.
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