et même aussi par la distribution des couleurs. On voit deux bandes
brunes longitudinaies de chaque esté-du cor]fe:'.une au-dessus de
la ligne latérale, une autre aufdessojis,'jUn large trait violet part de
la nuque, va entre les yeux, et se bifurque en. passant sur chaque
narine; un autoe, plus p etit, sur le^spus-orbitaire, se rend ail-bout
du museau,; et un,troisième, parallèle au^secoùd,également^sur le
sous-orbitaire, sé prolonge, sous l’oeil et le cerne; enfin, il y en a
un quatrième, plus court, sur lepréèpercule. H |
La partie épineuse du la' dorsale paraît avoir été bordée de violet
pâle. Sur la partie molle on voit deux séries parallèles de,,,points
violçts èar|es, encore très-apparens:. Quelques traits irréguliers violets
colorent Ja caudale, qui esi^faiblement éçhancrée.
Lés dentelures de l’angle du préopercülè sont forces et prolongées
.eln un petit faisceau : lë bord vertical descénd^triês-oblique-
ment d’avant en arrière. Les trois épines de l’angle de l’opercule
sont plus1 rapprochées que dans le S. cabriïla. Lejdessus du^crâne
' est un peu moins bombé, et l’oeil est plus grèfhd: Les nombres sont :
D. C. l l p t 16;;VU/5. : '
La taîüe A ; eètsté espèce varie de
Les trois especqs suivantes nops ont du
Brésil par M. Dclalande. Elles sont asse^ semblables entre
élMs "mmt serranus bivitïatus; et leurs formés pomme les
siennes rappellent celles du serranus cabriïla.
L e S e r r a i a p r éo p e r c u l e rayotoé,
(Serranus radia lis, nob.) 1
Là première â l’angle d e ‘son. préopercule élargi, arrondi et fortement
dentelé par huit pointés àcéfêës/qui endëpâssént lé bord
et qui sont les prolongemens d’autant de crêtes arrondies qui .sillonnent
le limbe. Le bord montant; est un,,peu incliné en arrière et
1. Serran, b oursin, Quoyet Gaymard, Vojage de l’Uranie ,p . 3i6.
6HAP. XI. SÈRRAN’S.
a ‘finement dentelé: iL é s f rid ^ ^ ^ ^w ^ d ^ 9^ p lus faibles que
wcellésîdu’iS. ^cabriUâ^m' ^ i . ,.
- •< Lat-cduleikr itpôxs^^Mong11™1'
^hialesideSosà^suâl’eàÿiAiàgeus'êé i^g ^ liè rc ^ fed o agfdm dos, et des
rgfi*fesl L lfe n toe ’n’o f f ^ â ^ u ^ ^ é f p à r t i t i | | ^ f ^ | l e ' l a dorsa
le 'p a iss e auprès* de I üne b an d f longtshwdmalé
riolettetf s&ftet m l i ^ $ | s a ‘> hauteur, et la dfesale molle a
- dés'' iÀchêsl-né^^^^^dejlaïVïnême^ cOT^eur. Jn^caoeb&u,, tres-peu
‘Z, édh^icafe’e | peinte d é d u i t s et de tra ils ^ o fe t^ ^ ig u lie rs . Les
individus, de' cette' espèbétatteï^iaéxft^à près de huit pouces de Ion-
gueur.
Ses nombres sont 2/
D. 10/12; A. 3 / 1 ® » ; P.
VLqs
clÉef out reliÆ^Vetl^ésp’èiMl Rio-Janérf^dls F(^t ƒ v:
crite dsLris1 là partieMôlbgiqüe du vdyàgeÿ qi ■ 3-f de
nom de serran boursin.
Suivant eux ,' le pôisson frais a' l e 'd t f brun, le ventre et les
nageoires inférieures, roqéê»; la dorsale et la ^ u d a le - tàchetées de
brun.
L e Serran ravoiB nt.
Hlffif Serranus irradians', nob. ) 1 '
* Notre s e p o p i l ^ s p R H
- ^ ’non-seulement les mêmes>fortes strièsidiéposées ett ràyonsrit «angle
du.pvéoperéule,' mais encôre pïusrileîhr moitié iriférikire d u limbe
est sillonnée par dé profondes stlies /d o n t les arêtes» dépassent le
I bord montant, e tÿ forment de&dentelures, dpirf les.pointes acerees
sont dirigées vers le h au t Les dentelures! de la moitié' supérieure
du bord montant sont fines et serrées.' Des bandes transversales
1. Quoy et Gaymard, Voy. de l’Uranie, part; zopl^p- 3i3, pl. 58, fig