Ainsi, après »avoir bien déterminé le^earactèresAgénéraux,
qui distin^uenjja famille entière deè
t ©iismes des; sciènes ^clessipaares^caraetèFes que n,o nsn’av eus.
trouvés que dans Les dents palatines, âpiçès en avoir séparé
les, tfcorpè^ssgles ëojÿes^titte& fcïP^'/eïj auxqi®els les pièces
osspus.es,gui- cuirassent leurs »joues, donnent u» |itreipo»i?
former une famille particulière; après».;a^air,iixé;lh§i
tères de quelques:^groupeSfqui s’écartent un .peu plus que
les antres du genre principal, tpls que fès 'mues, idc anse
de la position die leursvenfcplesles holocentres àfieausê
du nombre dies^rayops de -feins ventrales et de leurs
ouïes; nou^avons procédé;»« nos>suhdivisidp!|i tygéperche
commune a été notre premier type;, auquel sont iv§lp#i-
SÉSMKfctacbe* quelques perches ÆAniériqùef qui ne diffèrent
de la nôtre que par de<légersxjétadls .d e .J^ ^ ip ^ ^ g tejQn-
leur| ai^pisid’elles les vamolesîi\esvén<fyfo.ses}$^hwen-
tropomesjêmiaentles types de ^éoisj qutres^pfjtits groupies
distingués : le premier ^.pa^lunp détttqLure plus luaji^ée
au sbus-orbitaire; le second, par plus d’élévatiopl .verticale
du corps, et des nageoires; de troisième * ïpanium,tïnuseàu
plus déprimé*; et » par des 2 opercules dépoui’vu&^piiae^»
Parallèlement à leur série se placent le sandre» dogpt les
opercules manquent aussi d’épi nés,* du moins dansd’espèçjp;«
commune, mais qui retrouve» des ^mesirpuissantes-idans
les grandes dents eu cro che ts, mêlées parmi les dents e®
velours de ses macboires et de Ses palatins, et qui»,|L|w
le reste de sa conformation comme pour ses habitudes*
ressemble beaucoup à la perche; Xetelis, qpim’ardaiÉents
en crochets qu’autaurdes; mâbhoires; «fcjnon aux palatins,
et dont l’opercule a dë& épines et le .préopercule des
dentelures à peine sensibles, et Yapron, qui, à tous les
caracÉèrés#eslfaîfepérc’hq! Gbmmune, joint »un museau bombé
et fe^^o^iiEWèrneulx comme ceux» ides».sciènes., » » ;
'Aldfoîàs? oesiSbna^gemtes1 .sdnt scfean doucd^ou à*.peu près;
le b.ariSi,\qraei fomipeût placée'à leur suite, est marin : ses
formes S®rit oelles ;de la -perche, mais sa langue est âpre
Ut garnie-»^'© dents eri »Velours ras.
«-PedsDhttier je crois, c ’a hiésîwé ou n^hésitéÉa A ffaire » des
perfch'es de tous-jcéé»poiss0ns.f#isiportent;tous »deux nageoires
dorsales, ils» s.ettmssemblent< même sasséd pari tout
lerir éKtërieufn, pdur qu’une inspedd'^p| at'teib$jv©'Soit »uéces-
isaif-e»! à» d’obse&Mlitéua? \ quij veubiâpprendkre ';à » les distinguer.
Quélqnè^autnes poissonsaussi duuhis de» deux idbrsales^
:tesing^ala!lfiseIit, dfevÊtetagéipar i ’aspect'le^ispnr- quelq»0ies-»détails
lèappans dÉfe; b a a im u v e i i l f c , ait poiatiqriils
ont étér cdnsidénës par-phisieurk nà&uraKsîës comme étrangère
au; grand .genre des qaerehes r ils doivent formef-ià la
suite »dfes>précédées des» typés. mouvé aux pour un certain
nombieide?«p€tiifts gf oupést 3.
» Ainsi* ! ’«/?«#©»»« • un double rebord ÿ p in pré^pmfcule;
le chéUodiptère diffèrfe de Faphgbn par de grandes dents
poinéries^qui rappellent celike&îdu^mndiiee! q ii--rè plade à
côte. de ïapogon, connue leîsandrèÀîéètéïale.lla perche*;
l ’ajiogon tientidë^rèWà Yamhas$e$ le grwmméste «enfin
n’a» »que des épinesrsahs» dentelures^;; et; à'.so® préopercule
éfeiàs ïsotiuperculejpt \e savonnier et lui §®nt les 'i«eads
acanthopt-érygimïssqui riqieifc pas d’épâhés'visibles à l'anale.
Ici se tfermmreîfe série dsi®& perches à; deux d@#afès; niais
êéfeôte dencette séries^ éti paral-lèleinenÆ à elle, s’il est permis
de s ’exprimer; ainsi; la nature immsiAn offre une »utrepèfù
;la» «Sojréafc »est unique, mais Reproduisent presque
toutes les .autres cirt® ns tmiefesicarâGrèriftiques qui »ont» aidé