2 3 0 TROISIEME. P.ERG9ÏBJES.
rapporter àf-cette espèce, Un -poissba-J^e trouvé l%iiquë
dans cèt' auteur k)tié ' be nom iïiftan "bmiar^ mate1* &4?n
juger par la figuré f?ée' dbit'‘être, parmi les nbm^feïlses
u e-^*re^es (Julis) que nor^pouriior^iï retrouver.
L e Mér^p .,pai;l^e'Ie|^ q^eiI'É?'
(Serran us ph aeton, nobé) -
Nous ne pouvons découvrir dans les auteursTaucuriîirrdièe
de cette e sp è ce saris contredit la plW remaTquable du
que norisiavonsj trouvée au Cabinet du B,oi sans
oiigiue. Çest ici que^npus t e f i k J a
placer, à cause de la faiblesse de ^;dents[palatiii^s„q|ui
■ H B B K P S g lS H W l a n g ^BSRRHH h
distingue de fous res.jpôissons fConnuf^squa présent,
£ e s deux rayons du milieu de la caudale, qui est-fourchue; se
prolongent.chacun en un filamentpré^uê aussi long quede'feOTps
et sont retenus ensemble par une membrane qui leursert dteffjtfr-
reauj î ^ autres rayooe de la candie mm forts et comprimés ; %
dentelures du préopercuje, sont extrêmement fifies. Les .épines <§
3 opercule sept faibles • l’inférieure est à peine visible. Il y a deux
canines fortes, mais courtes, à la madaqi^e supérieure, et les“-dents
palatines et voinériennes, spnt fines, très-pe.u sensibles. Les peçto-
raies sont drrondies; elles paraissent ndires/La dorsale’ est üfi peu
mutilée. Nous ne pouvons rien dire sur l a id e u r de ce poisson,
dont le Cabinet du Moi ne possède qu’un seul individu, sec et tout
décolore. On ignore > sa patrie.
Voici ses nombres ;
D. 9/11? A. 3/9; q. 14; P, 1T; ,V.; 1/&.
Longueur , six jmuces, sans le^tet-^e la queue.,
Ici finissent lesserrans analogues au mérou dont le corps
est d’une couleur uniforme, ou marbrée et nuageuse.