II en a'été envoyé une de New-York, par M. Milbèrt,
qu’il faut examiner de bietf ptr^â paur ne pas la confondre
avëc1 la nôtre. M. Richardson l’a aussi trouvée dans le lac
HuronT ^
Sa tête est un peu plus longue, son mUseau un peu plus pointu,
son- crâne-un peu /plus. laMe, ,,les , dentelures inférieures siéra/ son
préopercule un. peu plus fines, et la tache, noire de .sa, première
dorsale plus étendue et moins nette : toutes différences, comme
on voit, bien légères , mais .ses bandes Mëj nombre de ses-rirons,
'''ses/couleurs et tous ses autres détails sont les fmeïnésl , *
: ÎT; A. 2/&; P. Y.
Nos individus sdnt loiigs de sept pouéesr ^
Nous ne pouvons douter que eene soit la perche ja u n e
ou bodianus flavescen s, de-M. Mitehill. ’D’après une expérience
faite pftir à e naturaliste, ->êe poisSoà serait atSssi
facile et aussi avantageux à tralasfîbrter que notre; pèféhe
d’Europe. "
L a P e r ç u e a o p e r c u l e s b R É iv u s ^ ■
(Perca, serrato^gr.anulatd, nob.)
Une autre espèce de Nevt-York, ' envoyée également
par M. Milbert, s’éloigne un peu davantage de la notre
bien quelle ait aussi ses formes et;sesrcouleurs.
- Ella est plus ré p a re ; 'son crâne, est”plus Ia rg ^ ’et a des stries
rayonnées-et- grenues; Fopereule est aussi granulé, en rayons,'et
fortement dentelé à son bord inférieur, son lobe supérieur est
comme effacé, mais sa pointe est fort aiguë. Dans quelques individus
, le préopèFéule, sms dents sur les deux tiers de sa hauteur,
ft’e» a que- vers l’angle, dans d’autres-il-a des- dentelures-partout.
Celles de son bo-rd inférieur sont constamment plu» fines et plus
rA®n^euses<qu’ç | ,'ef®jèpe di Europe. ifSsuboperouie est dentelé sur
•ljgs^dëux |i|^s^Je|s©n .,
D. 1 4—r 2 |i3 1/44., A-$ $ f f ü "13,. P . 1 3 , V . 1/&.
„ C'yn.ç le^Jépaillçs^ ,pep |p>|^sh^çs.,« se? couleurs sont
qn'cnjre mÀ ^ ^ r e n f e s de^plMlæl-’é ^ tr§ |n ç |c h p _ , .une teinte verdâtre
changèant enJpSâ tfrext én'blanC ^ sept larges
band^'-'vpraGales ‘ff^'xrâliçes,' qui sajSeyHeiii; ve|s>;le ventre, des
fjgLlralés’rouges^, mfe ®na|^yauii^pæ^: le'jKj’ir de là prefinère dor-
WlW^lOT’u 'â ^ ix 'e t peu pronénce.'4'
individüs^Snt' preS’ d’d h pied.
L a PERCHE M g g S GRENUE.
. ( M'ftÆÉwkhnUlbta .IroAs .\t
I l u é n s / e s t yemù d u par' MM. M ilb e r t e t
L e s u e u r , /u n qÆ q is ièm e e s ^ g f e , d p n t lê£ c ^ r a c jè r ç s s o n t
p lu s ■ niaéqtrés^,
À la vérité J/par s'es déMéuïs/- 'par^^^hahdes, par léiotége dé ses
nageoires inférieures,«elle ressemble encore extrêmement à b r notre,
' ’‘'’ttaâïs ses dents d u vômen;sorrt plus fortes, les d’entehires de^oiïj
x; 'pr.ë'opercul'e' sorit plus fines, surtout au b o rd iriférièûf ■ écailles
ont des bord»bxp ë^p rè s:,Kæes'i;'éfs^on cijiâhe est surtout rendu plus
Tnëgaf parades’ grains gaillans d&poàés «eff râyxyks stfr ses pariétaux.
, Son;' oper-cide^p faiblement strié et nî,a que peu <dè ' dentelures.
'/ b , . 15 ; P.*16p»tjJgL>
Nos individus ont; un pied e v |||i s ‘ de
Ce& tro is, pptchesTn’o n t s i ^ i q u ’u n pvîû rç u n iq u e . E I l e |
se r'à iené i |^ f a i n è m e n t ^ c ^ ï b n d T l i ^ |1| f f i la u ô im r b a ^ ip i
V c î f ^ u r q u i lês o b s é |f P |î ü ! chaou'de. î |p l é m e n t ''ë ï f i5àns
p o u v -llR . en> - faire. I t e m m e n o u s , u n r|^ |)^O td iem ë n t e t
u n e c om p a ra iso n immédiate*. G’e st p r o b a b lem e n t d ’a p rè s