*' Lé fôi’e de ce plectrop'amèfest petit.- SeVfebës se ti'értfiinent en jointe
- ’1 aigiïë". large ; il Sèfiîontinufe en un’ sac étroit et
v pointu. Cet estbmac à'fdfes p'âFÔis'"ép'aissès et- très-cha'rr£ue5.!À' l’intérieur
On voit cinq k six gros plis longitudinaux. Là branche ; montante
naît sous ll^tômaq, dans la fourche des lobes dtëfoië 1 elle
est courte éÜ étçoîte. Il y a huit appendices coecales, gfêles w ^Ssez
longues. L’intestin est tfès.-éfêbit'et se replie aiAifoîns' sept fois sur
lui-même avant dé se'rendre à l’anüs, de manière qu’il a heaucôup
de longueur .J La vessie hàtatbire n’ôëcupe que" les’deux‘'tiers anté-
n^UÿS''de la longueur de la cajqXé^abdominale.,,Elle est très-grosse,
arrondie en avant, pointue -en. 'arrière. Ses paroîs^ont mittces et
transparentes. Les i reins, sent -rejetés (a l’arriéré :;djër#âlîd<aparen^, et
bientôt réunis en ;un'jseul,lobe très-gros,'qui verse l’urine, presque
immédiatement^ tant les_uretères doivent. jcqùrfs. , .j
L e PLEGTRQsBa|Æ® DU JAPOW. pjg
' yffiectropom a siisuki. )
Parmi les poissons rapportés du Japon par M. Latigs-
dorf, nous,avons trouve un plectrapame qui n’a quune
seule épine au-bord horizontal du ç c iilç ,
lié bord montant est finement déDt’èle.^LWgl^ait uné^lé'gère
saillie et a quatre dentelures plus fortes qiië lèS autres; -’’ •'
Les dents sOiit en fortes cardes et presque égales. Les écailles
sont petites j les ’bàgêbïres arrdiidïës.
Les nombres sont :
D. 11/14; A. 3/S 5 C. 17 ; P. IS î T / t / f ^ 1'1
La couleur est, grise, tirant un peu sur le brun verdâtre. Huit
à neuf bandes brunes traversent le, corps. Les nageoires caudale,
anale1 et ventrale sont brunes; les pectorales et la dorsale sont plus
claires. Ce poisson est long d’un pied.
Suivant M. Langsdorfy les Japonais le nomment susuhi.
î' ' Les/,éspèbes| suivantes, ' outré- lës dentelures fines du
bdéfi* méritant dt$btféopercule, en orit au bord inférieur
de nombreuses ^presque aussi fines-* mais dirigées en avant,
comme dans tout ce genre. Leurs canines sont plus courtes
et en général toutes leurs defitjS ,plus fines que dans les
précédons,, c.è qui les rapproche un pelades centropristes.
Leur||trps, est; eourt étL comp^imép et lé.urs* épines dorsales
„sp.pt ap| nombre de dix.
L e P ede^ opome b em o -l s e l l e . .
( P l è à t r o p o m a ' p u e l l a , rio b ^ ’î .
N'I®-,ep%<ps$yo ns à M. Achard.une jolie^espeGe,; .connue
à la Martinique sous le ,nom de demoiselle blanche.
La hauteur de sort, corps- n’.est, qiïe deux fois-et demie dans sa
J * longueur, et sUni épaisseur est a peine du tiers déjsS hauteur. Les
' dentelures :<îu bord montant sont excessivement fines; celles de
•Finférïéur Te* sont un peu moins.
IX 10/16; A. 3/1; C. 17; P. 13;.V. l/5.
Ce ipli poisson:-est d’une belle couleur, olive, traversée par six
bandes d’un noir violet. La première est large et descend, de,l’orbite
au bord inférieur du préopercule a la seconde, plus effacée, passe
■ '^~§uj^épaule; la troisième, 'trèsJarge, très-foncée,'est--sir le milieu
d u co rp s; la cinquième; descend' de la fin de la dorsale à* la fin de
^'JiFatiale ; la sixième borde la caudale : ces dernières sont pâles.
■ XJn trait bleu entoure l’orbite et descend ensuite’ le long du bord
antérieur dé la première bandé brune. Trois autres-, traits, un peu
, sinueux, traversent 1’opercule et (descendent sur k poitrine, :au-
dess,ous de la pectorale; un dernàeK petit trait bleu.lqitgitudmal est
sur le front, entre Ies*.yeux; le sous-orbitaire est ponctué de bleu.
Les nageoires impaires, sont d’un olive plus jaune que le corps.
La partie épineuse de là dorsale est rembrunie par le. prolongement