il'dit qu’il se trouve dahs 1« nombre des canines aiguës, il
nous ramène à la famille actuelle.
Le perça miniata, nommé à Djidda zoriura et à Lohaia ataui
ou burdi, ressemble pour les détails1 au bohar, si ce n’est que
sà dorsale et son anale s’arrondissent en arrière, et que sa caudale
aussi est ronde.
Sa couleur est rouge, avec 'des points- bleus. Ses ventrales ont
le bord externe bleu.
Sur le yertex sont deux lignes qui forment un V.
B. 1; D. 9/15; A. 3/9; C. 15; P. 11 : V. 1/6.'
Ce. poisson est long d’un pied j et habite parmi les madrépores,
si nombreux dans la mer Rouge.
L a D ia c o p e d e B outtoin.
ÇDiacope boftonensü., nob.); gj
U a spro ca p itè ven treq u e ru b icu n âis } eïn./uula p erch e
du d étro it de B o u tto ri, très-bien décrite par Commersdn,
et dont M. de Lacépède, |t. iy ,,p i ,3 3 1 et’ 0674 d Fait son
holo centre bouttori y est encore une diacqpe ,tijès-sem-
blable à celles qui précèdent, ou.peut-être identique avec
quelqu’une d’elles.
Ses formes et les nombres de ses rayons sont les mêmes. Com-
merson décrit expressément l’échancrure‘de son préopercule et la
tubérosité-que Cette échancrure reçoit Elle a le dos brun-clair, les
flancs dores , et la téje, la poitrine et le ventre roqgeatresj sa dorsale
est transparente et bordée de jaunâtre oü rbugeatré, et il y a une
petite tache noirâtre dans l’aisselle dé’b f pectorale.
. 1. Il j. a dans Forskal une faute• d’impression opercula anteriora integerrima,
porte modice SERRATJ; pour .SINUATA, qui a fait supposer à- M. de Lacépède'que. le
préojpercule est dentelé; cequi, joinjà l’expression des dents flexibles, l’a déterminé'à'en
faire un pomacentre. .
L a DlAcdpEiïJ^&VE. 1
*d4 {iBüicope -fulva',*■ nobt)*
Ce ne peut pas non ^plus être une -espèce «tæèsr-diffé-
rente de toutes. cehes-làïïqMela diacope d’O taïti, dont
Foràtèda laiss^m dessin ■ et! Une^.eSppiptioncâôafs > le nom
I I I p e r ç a fu lv a , et dont Schneider, (p. d | 8 ) a fait sori Jio lo -
c en tru s fu lv u s ; mais il yluâ donné dèsmombres^dlqnay oins
de ndffepe première ‘esnèëé* D. Seboe.
D. f 1716; A.'3/91; <5. 22 (en comptant les'pétiMiSe la ^S fe ^PM 6 ; ^ î/5-.1 '
Lechahfcfure de* s'on
' sale é^'aiseyégal^fsl% uéfâl#ën'f||0 * i ^ , <ave^ 'd ^ ^ ^ P | ^ A tu s .
’ àk éôiÜ&îrèst fauve sur l;e3dd»î etQçoiàg|atç^p>.u^le* y entré.
sale est rqugeâtre; sa caudale, de même cduley.îvf^l^|)or.d blanc.
L’an<d’e.i£st .d’un jaune.rqugeâtÈeï Les nageoires paires sçjüîj jaunes.
Onne parlé point de“tâche sur le'cme ^ y
L a Diagopes)de BorIabora.
h ^D iacope 'Bdrènsis% nob.) *
Nous trOuvons erioerë une d ep |s 1®iac0f)es rbügè^ïms
Ignés longitudinales. et Baffes?tache latérale, parut? ld^des-
sifes de M> Lésion, lpn drfnatüràlistes qui ont accoin-
pagné le capitaine' Dupèpey", et elle nous' paraît différer
düeelles que ,nous venons^dg, d âp j|| nqusmêmës,
soit d’après les autres. Elle est abondanté'à(^o^a-
b o ra ,.l’une d ^ îles, de 1 a ,S ®m t
: ;Sa nuquei estCrès-haute. L,échanfcm®erde\sbnpreo^Cül#;et le
tubercule qui lui répond sont très-prononcés. Toute sa couleur
a. ¥