■ PEB.COÏBES A UNE SEULE DORSALE. A OO
une »vessie- urinaire .assez :grande , cylindrique , »et .qui se '.porte
d’àbord en; arriéré, puis- se replie ppur venir déhoqGlter derrière
le rectum. *
Le squelette du grammiste oriental ressep^ble, à celui des serrans;,
mai# je ne lm trotiire'que/^rei^.vertèbres a la queue. r,
DES PERCOÏDES A ONE iSfeU-LE DORSALE. f-
La^éumfe' diyis&n dos poissons analogues, à la p erohe,
celle onia partie opineufce de la dorsaie est assek urfie à sa
partie nasalle pour ne former ensemble qu’une nageoirei,
est infiniment plpsnombreuseque .celle :des peropïdes à
diéuse dorsales distinctes,: etelkm a éçë obligé , pour y mettre
quelque ordré ,kfd&l recourir des -caractères assez (minutieux.
•
Bloch-a tiré‘Mà''^Q®7de^M:en#|u^®s du preôpéfeüle et
d'esk4|>'i^ës deiptopefCule j mais i|^à.a~souveiA4^iez mal
âWfe^txéSj' et l’on tditk'-âà^'Sà distnb-u|ion,,4>d'4§!;pl3is,sons
'|Ëîlaiamillë<d^s,labFès.ex»dte^èll’e dèsVôiè^S^Venir se placer
au »milieu des ]ÿ|oeheèc > ^
' Le même ' défadf^e* rencontre plus ou moins dans les
trop a-
(^^%rabtèrës'extérieurs, ils n dnt'fjas’établi leurs premières
divisions sur des différeâolf^plus! essentielles.
g,4Là précaution que nous avons prise ‘d’écaytëÉ'Rabord
tous les poissons qui n’ont pas des dents aux ïnëmes parties
de labouche que Ldp e r c h e communek|nous a fait ëÿiter
plusieurs de Ces enibarràs.
NéaniMin-s il nous resté encore ’un nombre si considé