•même, et'nous apprend quelle vieîfrt d'e la mer dès Indesj
mais il'ne feit pas remarquer-sfe^-rapports avec •oeHé,’de
Seba.
C’est bien sûrement aussi Faspro niger, lineis albis lon-
gitudinalker pictus, de Commersonj dont,M. de Éa^pède
a fat%^^emne rajrée'^Sci(Èna vittata1). Un léger repli de
la!-peau ferme souâfde meàtôn l’apparenice! d’un btuèjsApetit
barbillon ,- qiïei Commerson .a;1pris pourbunlfe’arbillon véritable
: d’aiiléürs,r tout l^^èstè de isaïdescription l|*i&4 o®de
très-bieri;; .{
Toütrnijina p r o u v e q u e , e ? f e s t l’un desfindifriduïMiè
cette meme espîèfee encore neâdstàns; au cabinet,, qui ai été
dëdrït-parM. ^de Laeépède (tome IY,’pp3^8îet,*432'4î%fespuS
le nom àe pers'èque triacanthe; Seulement il luiponneispr
la langue * des •dents qui ne^ënt qu’au pharynx. '
-C ft individu vèmait^ePan»enneiie^eotû^dp ^adh'QuI
dnnfKoi^l^^vfàns d’autres qui ;ont ^Süâppé!Étfis,pai.^eu
Térpo. :
Tous sciure petits, a peine de cinq-ôu six pouè^^e'lon^ueur.
L’ensemble de leurs jfplportions nedifïère pas ^Mufeoup cIc laipp^ lik
commune. Tant q&è la'peau* n’ëstf p^tàtég^éhëe, on-»la-^^a$t jk £
lontiers sans écailles, et l’onV|fiVIvoit en quelque s,ope Jejiip des
points disposés en quincontæ et réguliers *<Mmme une, espèce de
tricot Les dents jpnt en finveldpjcsj la tête éstSassez hàpte ; le
maxillaire Jarge; le êüiïs-brbiïaire petit ;_la gueule fendue rfu Jque
sous l’oeil ; la mâchoire inférieure avance •plus que l’autre ;-4a langue
est lisse et très^libre j 'les,ouïes’ bien,fendues ét.à■ sept>rayons jde
préopercule etpï opercule ont chacun- trois pointés. Il y a? sept
... épines assez fortes a la première dorsale, dont la'seconde et la
. troisième sont les plus hautes; la sixième jet, la septième gercent
1. T.iy, p.3a3;
péine la peau. Le premier-|aj,OTr|de,1la deuiifêjaig dorsale est simplè,
„ ’mais„si 'flexible gLu’à,peine' peutr tM^lef^arb épineux. Le reste de
jlpeiifr.nageoire a irei/ep^vens àpeu près,e^.ii^çji’anale'a huit payons,
Fypjhis mous, et's’il s y broûye^^des épines", ce-sont tout- au plus de
très-petits vestige® càll'Mesispus la peau; et si'ffél'es.qq&le doigt même
néspiut les sentir.1 xe'ciioims cependant q^Ü y a réellement trois de
t^fs^gtïgéâ. 'Ea- caudalV est arrondie ; lés^.nageoiiês' paires n’ont rien
•dëEr èmarquaElè.
D. 1 ^ 1 / 1 3 ; A.(:3/8 ;|C. 17 ;P .
, ‘•Ce petit poissefn est d’un brun noir, ^mâ^qué’ deïlignes longitu-
t'dinales blanches f^'l'e plus souvent aû -hopibrerde sept de chaque
Y^çoté^ayec une impaire’ l^Pqng,-fdu, dos^epune autre le long de la
g*SPge, qùi, arrivée Aux ventrales, se* bifurque et demeure double
jus qu! a*f anal e E t s nagoehcs'sonljaunatn's La base-de|l‘a pectorale
y^et celle^âè/éhaque ventrale om un peu du blanc des^ïes qui y
_ 'aboutissent Arrivées à la tête, quelques-unes de ces lignes se détournent'
de leur direction, et forment un réseau sur la jQue,,
Mais il’ y a des'individus où lës nombres des,lignes dif-
f è r e n ® ^ ^ pour que des naturalistes habiles eù’aient'fait
delfesp^^ÿâTtiliiÎLpres. Ils n’ont que six raies dë chaque
jlfttS^s'ans J^ïupter les1 impaires. Tel était celui qu’a décrit
Thunbèrg à l’endroit ëlté.
No.usk en ayons même vu un pu l’on n’observe dïe-phaque
-opté que quatre.çaiesmais qui d’ailleurs ressenfble.en tout
à l’espèce - ordinaire.
Ce grammiste à quatre raies est la perseque pentacanthe,
de M. de Laeépède^ tome IY, p. 3 9 8 " et 42 4 )j qui'h’y a
c'dmpté quë cinq épines à la première dorsale1, trompé par
l’extrême petitesse‘de la première et de la dernière.
Le boclian à six raiès de M. de Laeépède .(.tome IV,
p. si85 et 3 o,2 -)',est encore,une-variété de ce grammiste
où le nombrë des lignes est réduit à.trois de chaque côté
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