de petites écaiHés entre les bases de ses rayons» Les. nomhresvlés
rayons son* } j
B. -lj B. V, e t quelquefois 8.— A. 8/8,, «« quelquefois »’5 f t f f j
P. 15^V.
Les dents sont comme dans la perche ,' il n’y a point sur la
. iangae Lâpreté qui distingue : ft bar, mais sa sxmfeee est e|'
molle, comme dans la perche. Les éeailles sont légèrement rudes
sur leurs bords. Gn en compte environ soixante sur une ligne
longitudinale, et vingt-deux sur une ligne verticale à ïeniroit # É
corps le plus haut. La ligne latérale, à peu près parallèle ajiw^os,
dont elle est distante en avant du tiers de h? hauteur, % ‘marque
paj une tubulure longue et grêle sur chaque éeàffie» j ;
; ïout. le poisson est d’une couleur argentée un> peu teinte de
brun sur le dos.
Son squelette, indépendamment des différences que ]?on peut
déjà apercevoir à ïexjéâeur , diffiêrë cfe teefoi'djejIàprFche et de?
celui-du bar, parce que cinq?crêtes élevées et tranchantes lèchent
sur toute la longueur du crâne j parce que le-crâne Mimème5 est
plus comprimé, et parce que les interépineux, surtout lM’àïké*
rieurs, sont phislongs et plus forts, eepnne d éomveiïait que ©éla
fètpour_portér des épines dorsales
seul en avant qui ne porte poiin-dfépine, et il est fart court/Lç
nombre des vertèbres est de vingt-cinq, : le premier imterépâneuX
de l’anale est suspendu à Ja quatorzième» Je trouve onze* paires de
côtes
Les intestins ressemblent à ceux du bar, plus qu’à ceu?| de la
perche. Il y a cinq appendices coecales assez longues, et une vessie
natatoire grande, épaisse* et argentée.
L à Yà^Iolé'tdes Indes , nomrnéê Pèchë-NAîre par'les
Fram iu<de P&hdichérf, et pat lès Anglais
du, Bengale..
(Pe^^maxima,odnji.-} Lates fujidis, qob?) ^
"*/Xes * Indes5 dès poissons du âQnsgon
iv‘*d^v il noies ‘q ni egàfe il t le.'kes^dlir |>. ar la grandeur fet
pal.^s^co.Èact^res.^ Il ièn^^ un
■ -de Eondiçhew, - Portug^i^,
apjîJ^^^'^eÊlTe^naire 1 '’'j^L^poïsspn^âë prinbé.B^raE|o n -
neràt, a qui no!^^n^i\tinï. d u le premier individu, 1 avait
âesignë p a roe, non! de p erçu mtixiintt, dons Hn
aurioi^^ÉJ^erveM «si. hotçe^s^ibution mefiiodique nous
l’Jm t p^rin,is.i ,Ja r e s s e m b l a n c e est . e
que v s ans^Fel ( >'i g nom p n L >,e t jte défaut,
»^EsXeuv^quï^les nouTfissentpon ^ p t^ îe n lé 'd ’abord dé
leHHflnH ^o^^yarre^Js Turf de l’autre. Cependant a d examen
ou* prouve que
■_ le pècbe-naire a la tête un peu plus courte et le3 écailles un peu
plus grandes que le kesôhr; que le bprd inférieur de sonméoper-
cule, au lieu de rester borizontaL^^|e' obliquement en'sâ-nere,
en sorte we^som angle est oïnus^èt non droit c tM ^ d an s le keschr.
LestSmtelurès de son humeraîVom au§si un peu plus finéîs et léür
nombre va jusqu’à six, et dans qquëïc(ue*à ‘ îHÆviHtts jusqu’à dix'et
1. Les Français de Pondiohéiy ont adopté plûsioers entre antre?
celui de pëche\peùce), pôûf dite ÿôworfj aià&i ils Ake^t p^tM-bit{scOfnber lat-
tarius), pèche-bicout ( sitlago acut^p'pv. t t i i t f u t nudabaricd S c \ \ n . ) , p'eche-ma-
damf (sillago domina J etc. ). Pfçhe-naire vent dire qu^ c’eÿ , un poisson .dignç
d^ëàëm»kTin^^ y.raî
dé'àêttè^ti^lcé, ma® sèàléWënt îetsqtfeHè h’a jft)intf«ssé uiie certain» taille.