p è d e lu i-m ém è , comraéROüS' le v e rro n s b i e n tô t , l’a d o n n é '
u n e â ë é o n d e fois so^sf uni , a u tre noxp. L e s colons'ftè^M-
g n o ls e t français l’o iit c om p a ré ta n tô t a u ,..fo à r,-ta n tô t a u
b ro c h e t.
* -^Sèiit museau aplati horizontalement et'la forme générale deïsbn
co.rps, lufcttejçnpnt, en efljet, quelque. chose de la physionomie du
■ brochet, auquel .d’aifleursÆqe ipssem'hlç, gn^quoi tque-i ee^spit,
.p a rle s.détails^ ~ça®s,- pour tqqs ,, c es^ï^â^^cIeM du. baron-jae la
. herche qu’il se rapproche. Sa plus grande-hauteur* qui qstÿyi$^à-vis
"dés1yqnJraleSp‘(est' a.-peu.pjrès m n q ïé is dans» sa longueur totale : la
longuehr" de isatfete_y est un' peu plus dé‘ tfms^ras^§t l ’é'paisseur
fâit^mbitïle* dé la hauteur ; là queue diminué èn hauteur et-’én1 épaisseur,'
etMw'ffcâudale' est' presque* aussi longue - que -la tête$- mais dès
■ autcesnageoir^s vpaàeales sont, co5ui$ës?et hautes. §a^;ïê^ejpàj'étrphtj
vuèîjdés qêté,, elle paraît p ropoi^onnellenient t ;g©jnt»e v ;.i£;Mtjq üt • ; à
cause de la proéminënce de la . mâchoireiànféçieuref q q to s ^ y en
avant, presque,pcomme dans la, sphyrèae,.: vu en'dessipl le museau
est déprimé euarrondi à -son extrémité j* ' « p eignes saillantes; au
" ,46' quàî^i, -différemment infléchies ,^Mmënfc unLdesèih
régulieîr, qui s’étend depuis'le; bout dh; mhseàù'jusquàétà nuque.
Pqù^pai^gs triangulaires sur lebrâne sont rje^é£ues.d’écailfe ^mais
leur intervalle, celui des yeux, le museau et ;k& déux,-rUa|dt0ii®s,.
(4sont nus j des écaifleSsgarnissent la jpu(*, X.oj^ieide et le«sfih^ÿ’r-
. , cule, mais il n’ÿ èn a "ni au limbe du ppéqperêulç," pi à l’intéjrbper-
Hfpiiiîe, ni*au'sOTS^Brbitaire. GêMXdi^meMtfpa's'Vràiînent•dâîtMé,
mais a seulement quelques légères1 éréheluF'ésï »Le?*pféopercüle, au
i"cOntrairdi'‘a BW fines dentelures à soit îbbrd montant, d’un peu plu s
. fortes 'à 'son. angle ^ :qùil est arrondi, et de plus^cpurtes, et qplus!
. «écartéps à ;son bord . inférieur, -Lej rebord en^y^nt de son limije,
est assez saillant et,a quelque dentelure peu,sensible vers faùgle.
La partie osseuse de l’operctde finit en s’arrondissant et sans aucune
épine.' Les “■d®ts sont^8hmïHe^k'lâ~pëTehé , seulement les bandes
palatines- en; SoîÜ plus ét^pitèï|.; Ia4angqe, iqui est fort libre. epassez
pointue, n’a ni dents: ni aucunecapretéÂiSous les branches de là
mâ^hoire.dnféïjeuFe se votent des lignes sîuHtfntesi'èütawae^sur le
crâneiihès^bÜM&son^bienfendtâ'es y et leur membrane a sept rayons.
LesKded®*,dorsales ^pCAriangolaires gt-, séparées p a r unipetit inter-
valle,îécailleûx<;da':pFemièFe^a-k>uiti ra S j^ ^ d b h tle premier et même
Xifsefâôndlssdhti&’rés^èonaîts; le# troisième'- ’est lte'pltfe4ong. et le jilus
fottt- eles-rauires rvonS« efiédimindaiït: Ltépinetix) dei la secoiïdétesj;
;fâible/et dfe moitié plusjcafebfifeque'.ès'ÿr'enaierimou»;'mais- le second
Æ'Mp.qyarle l’anale est lox^’ ^P|&ès‘-fbrt : lé premier,-lâu contraire,
estïtex'ti;êm®rnené ço|!^3i lëgimbisièmeéest-aussi’ l-ong que de second,
ébientqne beafacopipopliasimince'; 1’épineux-de- la veUtrâi'&’est aussi
,assez'fortStWtfe^aaà^eoire« sdrt sous le milieu de la pectorale, qui
vest faiblé'54a'Baudÿldæslîfeurchuë.,1t rOiGi! les nombres/d^ses rayons :
B. T; D. 8lh'l)l0 ; A.t^/6,|il?ll;'Pi.'’l^ V.'!ï/5; !
Les écailles .soptîpresque x o n ^ e ^ ^ ^ p e u i âpres*sur les bords,
peu^c^éjPj^éjes a^epr^bo^d radic'al*,Qù;voitfiSUç leur milieu, quand
elles sont, adhérentes,, un trait qui se'cpntinue ayep,celui- deà, écailles
I sAivanieSgi^et- fpBiUe ainshdp^digpcâ.s^tpTitesJi^lq^gu^n dus-poisson.
Lali&ndi^tïéMé! ne suit pàs*lipùhaVfâ^lï5,cpurbe du ;dqs ; elle prend
.dàns son milieu une lè^eréM couiÈBurg/cpji.tràire, -etvést marquée par
un petit luwndairge.pt cou-çt é^erch ! sous chjLqpe?pcai]le, et dont
la ! continuité’"forme une l i g n é ^ ^ ^ r9f
^ n g e y ü S p ^ a u Bput.de" la caudale. Les“ autres épadles qè.cette na-
‘ ^eoire’^hnt? petites ët peu, âensiblès;
: La;G'ôjiië4r d^cëXoisfeéîi est un argenté légèrement teint de b ru nâtre
ou*de vei-dâtre^eTS le dos, et rèlèvé par la' ligne brune assez
tilajîge' qu’y, forme la ligneilatérale, ,$es« ma'geoires' sont jaunâtres,
p o in tillé ^ de npirâtre vers leurs .bords la prepiière dorsale est
v jouÿe- pointillé!,de'.npir^tr^ sur umXpiîd{'grisVNCette description
prise d’ipdivMüs apportés,, de Saint-Domingue, ayge, toutes leurs
couleurs, par M. Ricord.
'L’estomac d^ceïceptrôpomeVest en» sad pointu,, a'P aW s fassez
épaisses“, ^s’étendant jusqu’à Woitïé;' de^lk^ distancfe (ïu pharynx a
l’anus. La branche pyloriquë sort.près du cardia l lb y a au pylore
.quatre appendices à peine plus longues que la branche de 1 estomac