2 4 -ÎOISISIÈME..' P®3MJ)pftH3ES^ •
cissant. , tfe milieu,du palais estfEsse^ ainsi^que <(lpi langue,{.qm qst
grande, saillante, chatmie,‘,£t.Ji^&,çpQipte'obtuse,rptèlpue,par un
frein-vertical. Les pharyngiens^ supérieurs,- forment .de chaqm|poté
trois plaques Pw|es, ,sçt- 1^ ’inferieurs dp cj^que^ótó-ünê oblongue
pointue en arrière; toutes couvertes de dents en velours, Chaque
arc branchial est garni "fbunér double rangée d^pf#CtSrttu^)igrcules,
hérissés aussi' de* dents en; velours t;*k; .rangée antérieure du ^premier
arc s’alonge un peu. en fdrmeAde,dents de rateau, fi ;
Le premier-sojas-orbitaire .esl'a^)ep5^rès*liss5e|get fija q^Wgel^fues
dentefrôes;à peine visibles à son bord inférieur,qpjggs -Jlarrière^elles
disparaissent même tout-à-fait, dans ^quelques iiudividusj:
que l’intervalle .qui est en avant entre hoeih etd^ .njâ^dWJ©4v au-
dessus' de son bord frontalbsantefés deux-orffice^d&|ig^§»!dsie,
assez, rapprochés l ’un de l’autre, et,së®s son ian^Jft^ntérariiriSg' la
base du maxillaire, on .voit une p^d$e, fossettgya^eugley ’.eus arrière
il se oontinue avec q u e lle s - au^ès ;&s&eïej:s, qui e^înen%,l|q|bite.
Sur IfêetMS) lorsque la^peau commence à-LSé.-clpssé^érin'Qï^voit
dent; ©Élfres; dirradiafiOns saillantes et, imr§gpidères iqni dnj^ent
chacun un rayon plus large, et .ces deux' rayons desceadeji;^,parallèlement
dans l’intervalle des yeux..*La jp.ue*..riest..',pasi r.nirassèp,
mais revêtue de peritesjécailies. Le .préopercule est-,- rectangulaire,
et : a son angle- arrondi son limbe est saps, „écailles &S9SJtÿM,rd
montant est finement dentelé, £ ppès-pelites d.ents, qi%i3j(sn%â[ssen t
presque dans le haut; au bordjinferieur elles. s,ont*plustgfosîes,
et cdirigées en avant; l’on y en compte cinq, oü. six^a^^pllsij^ui
vont*,.en ^grossissant jusqu’à l’antérieure ;, i qui- -uest. la qilus.,.fôrte.
L’opéreule a des écailles danssà moitié- supérifiMe seulement.; te
surface i, offre de légères^stries en rayons à peine,visibles:?' surtput
lorsque l’animal est frais : il se termine en-spointe^gup^ouSilaquêlle
son bord a quelques dentelures,.-est, au-dessus de c,ette. pointe* est
un petit lobe obtps. La. pointe du» subopercule féo-pbrte plus en
arrière que celle de l-opercule, et est obtuse et très-paipce ;*j son
bord est finement dentelé à son tiers. inférieur, ainsi que presque
topt .celui de lmteroperculç ; mais dans l’animal, frais ,cesr:p.étites
dentelures, recouvertes par l ’épiderme, se voient difficilement.
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CHAP. I . PENCHES PR O PR EM E N T D IT E S . 2 5
Presque’ 'surface duf»subOpeî<«S»îîest 'écailleuse, mais l’in-
t5#bjdercule ' manque’'i|^6âil|ès'^ ainsi/que les nageoires, le sous-
■'llffitahe^é^tôdtdéédèssùs'fdé' laiflêtéid ’
- ïriÿe?é ;'h îh ï§ ^® t'b ie n .‘fen:d|ffl®;'tet jusque sous ,1e milieu de la
mâftëMSi^fr m'férieure, la membrane jdeÉH»g®®géï; iqufl eât disse! et
charrifte,r'éta»WriElsrinfcréC JgîÉ&t éffiétt*;Les déuxrhembranes des’ ouïes
s o îïr r iî^ à découvert; leurs’cisKréM^és'1 antérieuresW&1 croisent un
peu hune sur l ’aiftre*; rSy^dans*e^fchffie' Sep (fils’arqués et^rts*
• Sur ' l’adîgJêh^ü^fe'riéur dfe'#,?©teéfrîsepyô$ij^ dfe; hépaule,
oudè' kursc'apial’aiïë^l s ob^WrirnaÉT diuh^écaill&tplus. grande “’que! les
a u tre s'^ t dentelée en l'çm>;dils6^énd’, io,u#|t;è!eiapulaire^i également
dentelé, -êOndniiëlêfbordïpostérieur, de leur fente, jëqpbaMérat lè
*drahplèté^|M.forme,/au^dèssuside la'îpeci&jfâçtUmangle saillant en
arrière>,!.*ài.p»mte’ obthstetiet un." peu drisralffeic'r
On compté-o^lïron soixânteAÎix|éCax|les“'^u^.uiie ligne, depuis
dès* ouïès! jusqu’à la caudale, e t iLy en aitrènte du* dos au‘.ventre,
d ^ e n d ro it le: plùsi'kpgè.'Æ'O^sïSpnï’lisses,. pt~ ont Le\b@rd'visible
arrondi ébgarni de cilscoucts -, dns etiuh peu; rudes.' Leur -contour
est plus largev-’qhé' long, -èu quand "oncles' arrâohe'y; onffi>ppi>çà?que
leur» parti"fe cachée: s'élargit erii^CTimàVqdfeëivdbns sj^
:rayonssvdivergenK,, qui forment un '. é^enjadstrdsofeiterceptent 'au
bord postérieur cinq dentelures* obtuses: • •
La ligne latérale est *à- peu ipfcès. parallèle ai la. ligne du’,dos ^ dont
elle n ’est distante vers' le milieu du corps què du» quart de là hauteur
totale ;, à là* queue, elle*.eshà ped,,près%u milieu- dé Ik* hauteur.
Elle se marque sur« (SiaqueMïmJle par une petite élevure- et une
petite ïmpréssidn :obliqu'eKr^
La première dorsale commènc^sW'l^doe /.vrs-fe^is^de’da pointe
de Toperoidé; sa partie épineuse^occupe uniesM^è’,'qrûîest- le tiers
de la j longueur totale y’honhdompris la caudalri' Së^iray®BÉs,au
nombre d e quinze f'îfont-àO'fls* foïtriVtytpoimus^iCt peu diffénens.
en.hauteur, excepté les ddriiiersv'el;;;sûaRtôiitt’ï# quinzième,'qu’on
v o ^ à ,p e in e ," si on ne le cherché;, le plus élevé«qui .est le 'cinquième,
g§st. des deux cinquièmes^de' la hauteur dmjcêrps *au-
dess'ûus-dé lui. La membrane en èst médiocrement forte j sans
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