Toute ça partie supérieure -gt -ses* cjtés . ont 3,es Jagues-dorées
argentéèS'âm, couleur d’api^er plus ou moins longitudinales, mais un
peu irrégulières. La partie inférieure de ses flancs a les intervalles
des lignes dorées d’un rouge rq'sè.' Un trait argenté ‘ entoure son
orbitf en ‘dessous.’ Ses ventrales, la plus grande partie de son anale
etles bords de sa caudale sont’ rose vif; la dorsale est-bleuâtre,
avec un lisérêVose'et une large bande jaune sur sa base et sur toute
sa partie molle. Un'trait noirâtre traverse la base de sape cto raie.
Son interopercple n’a point de tubérosité. On voit- sur son cotps
des intervalles verticaux, alternativement gfeé*® die- pins fonce et
de plus clair ; lès plus foncés sont au nombre de dix à douze et
rapprochés, par paires.
d. 10/14, mv-
„ L e s Haïtiens l’appellent sarde haut-dos.
W^sÿndividus- ont cinq pouqes - de$Jongf||| lés bandqs
^eiitîSleSi nous font penser qu’ils sont l e i f e fe i jeunes?. -?
M. Hesmatest avait un de'*ges„ po issons, niais entièrement
b run i pa r la liqueur, parmi c eux qu’il nommait lut-
jan u s A u brieti..
L e Mésopri&h so b r e . "
( Mesoprion yoô>Æy.nôJb/),- ],'
On nommè^hoère à la Martinique, un mésopftoh txès-
semblable à funinotatusj jqtqui a de même imp tachg
noire sur le côté, mais oü fcai compte quatorze rayons
mous a la dorsale.
Le tubercule de son interopercule eist; assez saiflani j ‘m ^ réh
ne lui, voit pas d’échancrure â son préopercule. Scs dents latérales
sont coniques, coprtqsvet bien plus grosses .à proportion qu’à l'uni-
notatus. On n’en compte guère que quinze oqtseize de chaque côté.
Il nous en est venu des individus secs de quinze et
de seize pouces dans les collections de feu M. Piée ; et
M. Achard ri a envoyé un dans la liqueur, qui est
aruivé” pssez frais pour croire que notre description des
couleurs est conforme qu’offrirait le’ poisson vivant.
Il a le' corps d’un jaùhe^fcflîve doré ou trè?s-lBHllant, rayé lorigî-
. todirialemëiat déHpéize à quatorze traits-bfeiiÿ, dont quelques-uns
ise divisent en1 deux-sua' le dos. Le'’bout; du1 museau en dessus est
violet ; (çurfeMij oiapq1 hy.a'troisjraiéSf bley.es, et une raie argentée ou
' plombée règne sous, l’orbite et dépend sur le,,sous-orbitaire. Le bas
des i.qaÆéçvèst. d’un hi.<?au rouge, orangé, et .le milieu du ventre est
blanc. La dorsale es^ qhve. tacheteé d’e, bleuâtre ; la c^iadal'e ;olivç,
lavée de rouge ; fah.ale .eSt, d’û n beau rouge, un peu, miag^e d’olive
"sur les derniers' rayons mous; les ventrales ,sqhf rouges; les pectorales
rose.
La tache des flancs'est,d’un violet {ÿè^fôhcél'
D. 10/14 ; A. 3/8yC. 17;’ P. 16; t . 1/6.
L e M ésoprion vivane auLA'1
(Æfesoprion’ vivUnus, nob.)
,l Unecespèce ,.qui porte plus particulièrement aujourd’hui
à lârMârdnique!'#âén M. Plée', le nom d^Avivaneau, ressemble
encore beaucoup à toutes les* préc^e^i^s,;surtout
à funinotatusj..
'mais* son profil"* descend* moins rapideéaexit, et ses denté latérales
d’en* has soit un peu*plus longues.
Sa couleur est un aurorë dof é^ *stit lèquel on aperçoit, des lignes
brunes peu marquées;" obliques sur le ldt>’s, fôngittramâlés sur les
flânes, et une 'taché pèu'foâ(^è) à l’endroitod 'Uôhti les préGédens.
Le’ bord extrême de la qaûdal6*fe un liséré noir tfèS^marqué.
D. 10/13-; A. 3/8) ' 0.’Tl ; P. 1 6 ^ '
G’est, Selon M. Plée, un poisspn que 1-on ne1 pêche que