(Serrqnus ùreolatyp, nob-. ; Perça are&lata, Forsk.) 1 „
M. Ç.eoflYoy; a fait ^pTÔs^àteT à la planche’ 20 du gràùd
Ouvrage sur l’Égypte une. très-belle pspèjae.dfefniérou, que
M. Ehrenberg, a aussi trpnyée dans la mej/x Bouge,. t ;
Elle a le museau phis-pointu que" le mérou; la mâchoire plus
a*aueéfe;iiq®alirei ou cinq fortes^ épines à l’angle du ppésqaqrcïule. La
' parue faoïïèictelaidQSEsale et-de l!atnale.eâsarrond,iër; mâis»ttA)'oaudale.
est coupée carrément .et même ûn peuVéehto.cEéetq,uanâ elle' n*est
pas très-étendue.
D. 11/18; A. 8/8; C. 1T; P. 1 ‘
Nous,;ep ,ay®a$fiun -indrvidurjlçÿûg-jije.,dix- huitip@h1^ § ÿ <-m’ais il
parait (fuSl y en a de' beaficdtlp plus 'grands. T out le^corps^jêst1
de nombreuses -tach.es npïrâtçes'x fcryphgm^sel’o’ : sur-' ïeur^
• .hwà jg d s taches -sretnt peu espacées-; et laissent, çntre^lW:de.petits'
traits gîâs.i Sùr des nageoires elles son.t peu regdjss* UnOtragîjUioir-
deséend obliquement :le;lh»g du^ feoÊd'ïSupérièûç du^KiapUlaire.^
H POPS danÉ
ce pols^m le -perça q reo latajj[e For^:3.' Ou^^que^^*’
hombref?‘S acCo&Jmit, l^llearakèrepre la é | h ^ ® 'e t Je S
dispôsiti8iis‘dès“faéhës contiennent parfaitemeÈdïà^îa^ (Ibsr*
crip’tïon du.hdturaliste danois:! Mi^Gh^fîr^-l’àvâîlÉ'T^iÇdë
comme le p erça tauvinià dê 'Forskal', bidnu<|ïié^fe' dernier
.dèir^piie'da'- '.îtiimdierfnéte q u ïl^ a ifr^ ^ re -
d’autrés différendes^ansdfe nombre dekrr'aÿon^fëie,*dahs''la
disposition dies^tâëHes. Dépuis, M. IÉ ®^ É 'l*Gë'ciffroy,” en
publiant la1 "'description .des'poissons rapportés par son
1. Perça tourna, Geôff-Saint-Hilaire, Egypt., pl._2% fig. x; h. Geoff, p, 201.
père, a reconnu' lenteur j mais il n’en a pas moins Conservé
le nom dé sèrrhn ' ïaùpin.
Fo’rskal dit que/l!és 1SAra^ea/dé -Djidd^h'omment cette
espe.ee & k , » q u i veîxt dire bras ou liyenë. '
(Sëfr’dhijs meWnfàrïfcj*^0b.î<B6'diffltâs metàMurtis ' G-eoffr.)1
' Urife’âëéonde espèce'de M i^ tf ’à.çhudalef^ùpée cafré-
mènt ,,uest due ëgalemeiîS.àux ^soîns du saVant professeur
qui hdüsf<a rapporté KmreAéaeme. ;.
Elle -se'’distingue de celles dont nousJ>Vfeiî®^s de parler, parce
• | s p l u ë Olëph fctfiMbUr 'dü*^®®|)ërcdle êt/d® l®fierq- ’
péreulé assez fortement: d'enfelé.’ Le bord montant dù^préOperéüle
es},.-.d;entelé>, et il y a trois "dents, fqrtesL k l’aMigîfe'<p sohveiit U’ùne
d’elles test, bifide. L’opercule a /tPhis-v;.for,£esliepiïie's ; mais il n’a
aucunes dentelures à#isoh;,M>rd .ihféjieuiv Ge-q^/isson ai’te^corps
trapu.
D. 1 1 /1 1 PA?t3/9#ic.. n ; P. 16 ; V ^ f^ i' 7f
Il parait être d’ùpé'jCl^eim/toeifprme. Sur la partie molle de la
doE&dov.ej^fe l’analé,. et sur la caudale, se .y oient dès'tajclies rondes
ferrugineuses.
(^I.,.£^ofFroyj avai^ fait graivnr^Ê.ett&.b ella, espèce,: gemm e
un bodian, biqu;^^^^|d,epjLe^ur^(m( Ips^iqrl^^ines
de. sQjn préopercmle l’éloignassent ti^ c e^genre.iM.d.sidore
GepffroyTa replacée. hyéciraisôn parmx^^Serràus ; mais
n’ayant ‘trouyé^dana les* papiery de/spdf père .aucune note
Ü pi^,ppt dojaner;fqft^ne simple des^
cription. Ce pqisson vient de^lusea ^
$gjh; Geoffij/'-p.iS^P Median tnêianùrVj GeofF. ^Ssgypii: //passif, figi.iv