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niers rayons épineux et .des premierstayons ^®m8i<feïfefdors.de!ï;
r, tet>dpf^nd jusqu’au Vêntrc, q ^ |^ |e embi-asse quelquefois ; mais elfe
pas| tçgjpW* lPWte,Jk |ja,utpur du poisson, et il,,arjiyç
! I f a ’i K laissefduÿblanc au-dessus et;ajukfossQp$ d’elle:ia cmqmeme
. part des derniers râlons mous-de la dorsale, et descend, en se
rétrécissant, Vers îe'milieu de l’anale; "quelquefois elle se;te*rmine
avant d’y a tte in d re ,^ l’anale nia alors que-qu^lqpaeç petitèS^tacne's
p i g . d ’amr^s Jjisjijellp s’^taljs^aur toute la.h$s£,,dj| c0j.e;nageoire.
^es^&^i^^jiïiérje§ handes montent plus, OU, moins surl laJiase de'
la dorsale^et quelquefois même elles s’y qnisjsepbda p^nigne-Lcn
teindre en noir jtoute la base. Le reste de cette nage^içe, ainsique
toufes-^g autrçs^.est jd’ùn jaune citron. On voit qjuelqqes points
noire sur'la base de, la caq^Ialei
' :M.(Ddtlimer5on aSStite qttè ce poisson atteint! quinze
dix-huit poudës de longueur, et gùe"so^ poiïïs^ w^âefocx
ii^es. Il fa observe à
annm ,renseignement sur ses^habitnd^,
On peut suppléer» # quelques égards, à son silence, au
moyen des auteursiroUandais^Cette espèce est représentée
d’une maniéré reconnaissable et avecise® vraies eontenrs;
dans Vlaming, n.°ü3; 8ous le nôm de dowaso.
Renard en donne une copiéeJ[part. I, pî. 22, fig. i2rf},
dont le fond est enlumine de bleuâtre. Il l’intitule :
or ange üay.
Yalentyn en donne une autre , n.° 497? €t l’appelle
tioôrder princes ; mais il l’enlumine à l’inversé de Renard :
le fond noir êt les bandes vertes.
Selon lui^ pe poisson atteindrait une longueur de quatre
pieds , aurait la chair grasse et ferme, et serait du goût le
plus délicat.
CH;AP.'XM» PÆiECrROPOJifES. 2 9 $
X e ; P EEGTB O P O M® : EÉo¥ ART) .
wÈf Flectroporha. Impart^inus, uob. ; Holoceritrus leopardus,
ïg ïlÿi m.tv&pleçtropQtne> de la mer des Indes* a.été'déorijt
par M. de Laoépèdev(t. IV, p. ,3^2 et 337}? d’après, un
individu dgsséçhé du C a b in e t» sousle nom d h o lo ew tr e
léopard.
Il resSeniblé 'au précédent par la taille, par l’absence deydéiite-
lures au-pré operculé, par la< petitesse dés écailfer p^r la nudité
et du museau, nar-ies .nombres .des rayon's*et par toutes
r&sesVfôrme'Sf Ses ventrales se prolongent un peu en. pointe. La pointe
r mitoyenne de. son opercule estyplus .forte à prppprlion Jdès deux
autre«, qui sont presque effacées, et il y a quatre dents aigues au
„ . bord inférieur de spn préopercule. Dans scm état Actuel de,dessé-
chement, il paraît jaune ou fauve, et a tout le corps, la tete §t même
la dorsale e t la caudale semés de points bruns.
^ 0 ^ / 1 1 ■ A.„|® ; jq’. 45; P, l t ; V. 1/5.
Le dernier çayon de s«ss ventiiales. est plus tpais et plus profondément
divisé que les autres, ce qui,.Fa fait compter pour deux
à M. de Lacépè.de. .
- L a figure d e l ’k p lço ep tru s a u ra tu s (jBlock, p L ^3@),
-re p ré s e n te ra it e x a c tem e n t;. ce p p isso n p o u r la fo rm e e t
p o u r le s c o u le u r s , e t m ém o o n y a aussi d e s sin é le sn v e n -
tra le s c om m e si celles a v a ie n t six Bayons m o n s^ mais la
d o rsa le y a n e u f ép in e s etî.quinxe ray o n s mous., e t le .préop
e r c u le -n e njonfcre q p è d e s d e n te lu re s fin e s, sa n s grosses
p o in te s. O r, q u e lq u e h a b itu é s q u e n o o s so y o n s aux iriexae-
titild e s d e B lo c h e t R e se s -d e ssin a to u rs, mest -à p e in e s i
n o u s p o u v o n s c ro ire q u ’ils Les n ie n t p o rté e s si lo in .