3 4 4 LIVRE 'TROESIÈME. ?EB#ÔÏDES.
par quatre-vingt-dix à céut bràsSëf de profondèpr, et qui
parvient au pj^É&s de quarante livres. Il est fofti^stimé. I
V Nous, avons déjà dit que ceS1 noms dè vivaneau et de
vivanet'Sont mu ont été appliqués paï nps^/colons à plu-
sieursEspèces de ce genre. Duhamel1 en çQmpte cinq à
la Guadeloupe : le franc, qui est rouge sur;le, dps, -plus
clair vers, le ..ventre,' presque blanc -aux .cotés de' la t e te ,
avec des lignes brillantes suivant la "courbe dm dos , ‘et qui
prend des;KgnesûjntiELes sur lés côtés deilfééîlant ;>fo
rnonbin, qui-^pt d’un rouge plus" fonce et a la 'tête plus
a r r o n d ie^ variolé, "dont les 'e^HeSjSQruA à fi e ^ de di-
^érJes r couleurs ; le gris , dont les lignes latérales sont
jaunes5 et le vivaneau ar oreilles noires.
L e Mésoprion oreillk^noire.
(Mesopriort huceanella, nob.)
Cette d emièrorespèce, nommée, ^^çore atAjo^gdliliiî à.
la Martinique oreille noire, et". quî y^q)€^é,aussi le nojm
àe ïhoucanellefrwooà. a etéen v oÿtée par ■ M. Plée -aÉëS la,
précédente.
C’eèt aussi un très-beau poisson, de couleur^rëuge,1 a v e c^ lâ t
métallique, et chaque écaille bordée d’argent. Sa câüdal'eiet. s'oir
anale paraissent avoir été jaunes .et,les autres nageoires ..plui^ ém
moins rongés.
Il n’y a point de tache sur le côté; mais on en vojt une très-noire,
en forme de croissant, sur la base ,de sa pectorale ; é t^ ^ t pe qui
a valu à cette espèce soit nom étoreille noire. Ses dents latérales d’en
bas sont fortes et écartées.
J)...1R/14; A.-3/8j.G. 17} P. 15} ,Y. 1/8:
CHAR. XIV. MËSOPRÏONS. I 3 4 5
*■ Qést, dans .le so^genre actuel, If espèce qui approche
pëpt-être le pli^'fdë s* diacop és‘ i p a r la tubérosité de son
interopercule ; mais^Spp mépperculp-hayant pas d’echan-
crareBn a dû la plalpî|)armi lesAph^apriops. Son squelette
eUse^pis^ moins qufe, ceux
die r u n in j q t^ t o s é à c e p » d ^ s ^ a p s ^ r v
moisson pèsv|-vj^isqu|à qmâii^ëet!#rua.gt livres^ et est
a^sfeavr.tjrnrniiTi; mais^o/unë le ÆÆ@qv^j*cqnmie,1e yiyan çau ,
.qupfp^r quatre-jyingl-dix, à‘|çcnt4brÿteJsî<4l§^®Î!}|
•dàns^iës téojîlectianàr^ps^ par M. iPlée /àfeSaaht-Thomas.
-Les Anglais^dfeycéÇedlë feçû©mmeot n o p e r..^
Onivtjil^dlms’llâ^eintuéé'^d^ubrief-/ faites £ur les dessins
de Plumiej, un pois^on 'fouge ,l(avèc une taè||> noire"
*%la-pectorale;, mais, dont fa fête-|.|st plus ;gran^èce|||ii le
sfombre deiiépte?S' dorsales ne (s’accorde pas., Il ^vcstmQmm#
vrfrijfarinus \primus,]jeu\‘ mdjoffîîWMfrlgOïbouQanegve apud
.j^merfoïÿûll^^ist-iprobablement un - dessin imparfàitp'cLe
notre^èspèpe; mâîs ce «qui ^eraitràË^rô^àblje| <si ^L©^|bii-r
même .nede .disait-pas», ~è’es,t qûe cpèst f le ’ce.de.ssin qu’il
a .fait la ^ ife d'%sarplanpl^4'du p a g e l ou sparus; e ry th ri-
n u s , L . ,;n.° J$U lalféranf poUr le .fairec^dreyayeç( les
càr^çjLJ^^îdQhnés au p a g e l par^eeux, qui §|%vaient>obsoï$éy
.eh en y. .ajoutant à j^ôtéfune figure des mâçjipir.e%,p,r pbat-
ifilement.prÿe 'dei notre dorade à petites^ dents, r&n-i^orte
que cetfo plancha ne pourrait qu’induire' enx^ejfrî ceux
qui. 1& .‘Consulteraient^ 'elle y5^nâ}ù.M:àit, ^xiçqir^ ftm fôitrant
crôirê que le vrai p a g e l existe en Amerique^ice ; qui qst
faux*: o:... j