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Il est heureux qu’il n’aât' pas faitf vîne troisi‘èmévespl::ée
de la figure‘^ra've'e'iipepuis long-temps dans Seba-’(t. III,
pl. 27, 6g. Oh), "qui estî^apséilfort exàcte.^
M. dans la n*oté qui accompagnait le premier individu
qu’il a adressé! au Cabinet du Bièiéph® qu’ônnommf
resp^oe ^iez7/#àIâ Martinique, et dans celles qu’il&feribf&â
sur les. individus de'«Porto-IUco'îtil ajoute quelle porte
dans cet te ' de r nière/ile, lorsqu’elle n’est passés-grande, le
nom‘ .de c a b rilla , qu!i e’st le mom esp^gnbl du serran le
plùs>cé35MàuîÈi de la Méditerranée-;niais elle^àtleint', dit-il,
le poids deÿ'sôixante à quatre-vingts bvrtés^ètn#eit'làlors
quelle se nomme tierno (ou plutôt c h e r n o Sa chairiwt
molle ; j nrais; agréable: £jj ;
M.-.- Poey nous apprend que «c’est um des poissons les
plus'dfendans à: la Havane, et qu’il y -p ^ é '^ ou t un lrtn
mangbr^imais il- réduit son poids ^à^trenteViOu quarante
livres.*^
M. llicord ivi'ent de nous les rapporter aussi-de Stfint-
Domingne, où on-le eonfiondi, aveùfle neghe que nous
avons' dêcfitsplus haut. On Bestimeife^ Port-au-prinde, et
il y atteint jusqu’à trois pieds- de longueur.
L e M é r o u d é M en t z e l .
(1Serranus Mentzelii, nôbî)
Nous avons encore un très-grand mérou du Brésil c
reconnaissable à la grosseur de sa tête', a ’sdn museau eourt et
obtù's/ et dont le chanfrein se-relevé un peu au-dessus] des yeux. Les
raÿéfts épineux de sa dorsale sont cachés dans une peau épaisse,
ce qui fait paraître la nageoire un peu plus basse’ qu’elle n’est
réellement. Le corps de cé poisson, conservé dans la liqueur,
pa-raîtt b ru n . ayjeci^el^randes marbi|TsKe^[nnageuse^. sur :lebfesiet
^„ouetqu'es I j r le.atcnne, .ui-fl-f f^jyglougqrp-hnfqjae- vers la
’SÜ h:auaslym,i<)sent .es, peptpral^„(le,grandeur
mo vernie, ^onfv^routîies,. bla n ( herses à’leur base et noirâtres
f^aTaùLrê exireniiftrsLa .< àùdâle- esM-bunee iffircéincnTHet noirâtre.
"1 Lés ’’nâgeoiTe^Mlrsaré et anale soM bprdfes'denoi^oe^
1 ' Lés n t S E Q •
D. 11/16; A. 3/8; C. 17, etc.
À l’Ættifr«i^,:lexfoiïd' de :lâ cquleur eSto n<^®Èf^^^^,de grandes
m a i^% |d:i|te jau pe; Æqb ferrugineux.„■ L’in ^ lpir'jp ^ lajxnÿ&dhfe
I
Bj[. Delalande. nous, a rapporté un individu/quLe^tlongvde deux
pieds n u itj^ ^ ^ e s ^ ir
Margrave * n a ^pas ; parlééde cette » quoique- nous
„croyions pouvoir affirmer qu’il fuyait qbâerpéei pendant
son? yoyigei Nous ^qps *trou||e|dans le .ye^qiîl'iide figurés
-dp prinej^Maurice mis«eus ord-rejpar le doëteurfMenl/.el|<'
un gran;d^déssiii(faiL à la pierre%n'oire et atjkp^lfej^qui nom|
pjaira,i||t^»^jf%^^l’j|sp|rGej<qu&.nousffl^^ra6)ns^^ést pourquoi
no^-Sîlui avons donné le nam.de Mentzel. 1
L e M é ro u a a il e s b ic o lo r e s . w
( Serranu s dichropterus, nobü/^ott
Bloch a figuré à sa planche 2 34 ,isqûs le nom âhoiacen-
fims dngus, un sevran qu’il diè^etre originaiie^du Japon et
appeler ikan-ongoe, |||c’èst de ce nom d’ongoe qu’il
a tire son épithète sp^fc^feéi ,]fm^ d ’bMMypi^|'‘remarquer
dépendant que Jre mot -ü bsxp à s^
adjectif de la langue malaise, que l’on t^q.uye^fi^#^uvent
1. Holocentrus ongus, Bl. , p.^ 234 > Lac* ? t.jjW-, p
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