sont dentelés dans leur partie.au-dessus <îe la peçtdfïïfe^-Iiès os
de l ’avaiàtvbras âe forment qu’une. seule' table. Les .‘coracoidïens
descendent verticalement• le supérieur est ovale, l’inférieur pointue
Les deux os-du bassin forment ensemble uri*triahgle isocèle tüi peu
concave enn dessous, dont*‘lés bords externes sont-'doubles, étTle
bord postérieur renflé,-portaiit une pointé-en avant' et une' autre
en arrière, entre les deux nageoires.
L’épine du dos a quarante-deux vertébrés , dotât vittgt-tüi’e sur
la cavité abdominale, et les vingt-une1 autres‘à* la .queue; la dfer- '
nière est dilatée verticalement, pour- p o rte rll^ irs^ tp # ’ de l-a- Caudale.
Il ^ 'a vingt paires de cotes, quit-SGOmMSéncent?dès rspr^mjere
vertèbre.: Les-deux .dernières vertèbres,’ ‘Sur« Eabdomèxf,' que
des; apophyses transversès descendantes et ‘Lés ’Sfeûi ' premières
eôtès sont simples; le svdouze suivantes^*®®»'fouTëhutes,
«^èitsisÉ|fe «qarelles oüt Chacune'unë petite côte ou une arête,
adhérente vers le tiers ou le-quart süpéri'éïïr de -IbUT fàc&'“exterhe ;
les six oü sept premières' cotes Rattachent Càu *cd'rps'‘ d e lâ^èrlèbre.
Petit à petit les ‘ apophysés^' trânsv^'ses- Raldmgent,' wfîlès^ix; -"’ou
huit dernières côtes ne tiennent qu’à'-leur extrémité. Les^pbphy^sfes
transyerses de la dernière vertèbre de. l’abdomen: sjeosondeht- en
ù n é seule plaque, qui portef-les^pîûmièr'interépin’efe;.' de l’anale.
Il y-a sur-toutes les vertèbres des apophyses épineu^ès^- pointues,
dirigées ün peu obliquement èn> ar-rié're.''-,Éês‘vertèbres déda’ queue
én Ont de semblables âaï^dess1oûs.'JiLe“rcOfps di WlfflnjjhrHWi tffBi i
a son milieu plus mince que sesuy&tfcemjtésj et le vidé*- qui1 ! en
' x é s é ife e n dessous .occupé par deux-arêtes longitudinales^ en
.avant de l’interépineux qui porte lé «premier rayon de hé première
et même de la seconde dorsale, en est um qui n’en pbrte point.
Des Poisson}' ‘étranger}* Tes plus rapprochés de la
Perché? dommune.
L a P e r c h e _&4m s . b a n d e s , d ’I t a l i e ^. -
1 ÇPèrâa italica, nobo) 1’’
L ’Italie ^||f§fduit en certains*'5 captons uh'es perche qui
p ne pas’êlre -uyé’1 simple' v&iét^ de ® nôtre.
Elle n’a point; de*bande^ noirâtres ; s^têjejsst un peu plus grande
à proportion; les dentelures du^bord^inférieur de son préoper-
Cule! sont plus fortes; plus aiguës et moins nombreuses, et sa
' deuxième dorsale est plus haute à proportion que dans ht perche
- „commune-: sa-hauteur,'éga|ï| longueur;, dans la commune elle
,iL’en fy.t|q-ue les^dèjix tiers. D’ajlleurs^Gq, poisson ressemble, entièrement,,
par l’ensemble eu l^ d é ta ils,, à la, perche commune. Les
individus que nous avons* observés senv Iwhg^vde neuf pouces.
M. Savigny, à qui nous dev^^^^tè' perche, assure que
c’est lafRIule que sAWu voie, en .certaines- saisons sur les
marchés^de Bologne.
En- attendant qu’il soit constate si ses caractères "sont
eonstahs^e^si elle differe ou non par l’espèce de la perche
à bandes, nous la nommerons p erça italica.
L a P e r c h e j a u n â t r e d ’A m é r i q u e .
(Perça Jlavescens y.nob.’) 1 ,
Cest surtout l’Amérique septentrioqale^qui, est riche en
perches fort voisines:, de. celle ,de nos rivières.1.. j
1. Bodianusflaçescens, M itch ., Trans. d e là soc. d eN ew -Y o rk ,1.1 .“ , p .^ 2j, n ,° 7.
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