s u t des échantillons mal cQnserÀgéf , et dont il ignorait le
pl«&ào&ven;t l’origine prlifeitivepâët M. decLaeépècle lui â
accordé Trop de » confiance ,' lorsqu'il a inscrit ces trois
espèces prétendues dâ-ns son Histoire tdfes poissons.1 2
Il y a-une erreur encdrë plus forte dans la Zoogrâphie
de Eöllas, OÄdé noni de p erça la b ra x est donné;à. un
poisson idê la-nafer d’Azof que les Russes nomment sandre
de mer. Non pas que je veuille nier que l’espèce du labrax
n'existe -dans Ges- parages ; mais il est certain qofo Ce n'est
pas elle que Pallas aväit^SoUS -lescy’eux quand il a&écrit cet
article ;fl©n le voit'par ït| seule ‘'énumération d^Taycms
döfSltäfXf treizé'^ioeüx e td ouzte^fob&fe, et'pfâr’liKContinüité
des déux dorsales.9 -k
Le b àr; devient gran â psa longueur la plus ordinaire.1 est
dmpiplfd et demi, mais il y en &§&vent Me deux pieds
et l'on en yo it quelquefois de trois. On avait parte7»»
Duhamel de bars pesa-n't tf-enteS livres, qui i^üprehäient à
Noirmoutier; mais il soupçonne qu’on avait pris pour eux
•Äs maigres {scicena wmèra), qui, en’"effe t , le ur ressem-
Ment as^ez.'M. *dè' Martens noOs assure qu’à Venise on
prend quelquefois des bâts dü poids »de vingt livres; -
Le corps än. ' Bär esTün peu pES' comprimé et plus àlonge que
celui de là perche.
Son profil, depuis la dorsale jusqu’au bout du museau, est en
"... ligne légèrement- convexe ; il d,®vient un peu conpavé sortis,, l^i pré-,
mière dorsale, convexe soiis la séconde* et reprend de nouveau
1. Le scicena labrax y est devenu-le centropome loup (t. TV, p v . e t les deux
autres, la perscque diacanthe (t.TV, p. 4 i8 ), et la persïque pointillée|ï&t|. Mais il
faut remarquer que le .bar ayant touj ours l'opercule terminé par deux épines aiguës,
ne peut être uns centropome.
2. Pall. Zoogr. rossic.f t. III, p. a43 , perça labrax.
, une *©pmrbe un- p^u^oxit^ve jusqu’à la queue.. Le profil du Ventre,
depuis le bout du museau jusqufa;la fin de l’anale,,est une Mgne
r'é^lièBemfe|^t*'etniod'éîré¥1C&® «Qnvjex-e. La nuque,, le dos et le ventre
sont' .^ssj^t’grç-.ondis/Æcansversaleroent ; mais la queue est plus eom-
vprirnépd.ju
La plus- grande (hauteur dur^bîpS,. un _peui,après les ventrales,
est quatredbisjet un cinquième<de*^|s.dans la longueur totale; la
plus- grande ‘.est neuf fois.
La miâchoireàWerieure' dépasse tui.peu’Iafc^upéiieure,' etfil’ou-
verture ; dé Ie - tiers xdé'fc«Jonguétir, la
»Tête ,V‘qui iest à peu .prpsaAussiiïfeûgue ^ ip 4 P î^ rPs 'e®t haut. L’oeil
#êst,éUr.dçsgïis, de.'; fe içommisgure. La distance du: bout du museau
au bjOrd pçstéîieu^ -de 1>orbite., fait la moitié, de< la longueur de la
tête. 'Son; diamët;rè longitudinal fait à pèu prèsde ^sixième de .“‘cette
longueur,^ est un peu supérieur Ru*, diamètre1vertical.,
îi^yL’extrémité^du maxillaire s’élargit, .^t .est coupéecarrémen’t. Les
^èvpes*ysp^i[^!ishp]éb,ia§sêz char-nues. La mâchoire supérieur ei est
peu- protraétiles »ej glesj• branches de hûaférieüre, moitié ,moins
longues que la tête., sontuèrei^ées -de 'deux petites fossettes|longitudinales..
L’interpiaxillaire ne; dépasse pas par .sa pointé1 les deux tià's du
maxillaire. II. porte un,e ban.de,.de den ts-. en eardes 1 fortes ptuaiguës ,
qui. va,» en se rétrécissant, vers la commissure, Odjgfjjj en a aussi une
bande en:;ehevroù sup. le bout du .vomehj, et* une bande longitu-
dinale sur chaque palatin. Les palatins sont courts. On observe
un groupe de dents;, plus fines et en jSigfoursî • des chaque côtddfe
la langue ? et un autre 'groupe *eri écusson ovale et longitudinal
sur sa hase. La- pointe de la langue est rude auftSuefeer.«fc
Le voile membraneux, qui est derrière! les intermaxillaires, est
petit etu étroit
Le premier sous-orbitaire est grand, asse^.fisse, triangulaire,
et a~se& bords .entiers* Une suite d’autres petitsb QSïSejoignent à
lui .pour entourer l’orbite... Afo-dessus du bord .frontal de ce sous-
orbitaire sont les deux ouvertures de la narine, tondes, èpeu près
égales, situées sur une même ligne , et. rapprochées l’une de l’autre.