C’est un des plus .beaux poissons.,Il a le dos, le dessus de la tête
et le àaiÿ.dfes joues d’un bleu d.’ae|er bruni j le bas d^jigu^s^t.les
flancs de .couleur, dé posé, vif, avec^ reflets métalliques ; J,e ventre
; iTcouleur”d’argent|: sur le'toutrègnèbt sept qu huit bandes longitudi-
' nales d’une Belle êquïeur d’or, donii^oep.^ du dos sont un peu
ft§rrégulières et obliques. LaPwÉâ^à^ribs bandes jaunèsiür un fond
l’anale etbes ventrales sont d’un beau jaune jonquille; la caudale
d’un bel .ambre,'^âyëc un mince^ liséré -noirâtre ^'fe,pectorale
d’un aurore pâle; les lèvre^^se^ l’iris esj, d’argent.
Nou||IEvbbs>’feit le squelette deipstm'ésdprion'. 'Si?1 l’on excepte les
différences de'îajtête, déjàjippar-entes, au .dehors, il ressemble à celui
des serrans. C’est le même nombre de ,vèrtfeBrfisw>.,et ,lni;ci0ieft fflir
toyenne s’avance seulement un peu plus sur le crdïïfi. ;
-Leurs vi'sbèr’ek sÔüt aussi'très-semblables. '
r -' rfoS^jiiùs grands échantillons ont quatorze *pbuçes/ La plupart
n’en ont que Sx à sept.
Cette belle'e^pBc^ subit quelqûés ^rratioris ' daW’ses
coulauisîiï
À Saint-Domin^iiételle^pîôrte,' quand elle ^ ^ ^ ^ g io ü t e
sa beauté,-lq nom de sarde dorée « ^ lorsqu’eM^ ^ t. plus
petite, celui de sarde rouleuse^quand le rouge (PsKxai'S
est plus ou moins’ èffâcB^àïfe1 prend célui de sarde^ar^eMtéè^
Dan&/k.liqueur presque tout s^on éclat-disparajt, et il
ne‘ resté que d é te in te s grises et brunes. JK s t ;ainsl (Jue
M. DesmareSt l’a décrite dans sa première Décade â ^ '® ^
lexique et dans le Dictionnaire classique d’hi’stqrfe^ naturelle^
sous le ’nom de lutjanus A ubrieti.
" ^m S I l’avons reçue de"Saint-Domingue par MVj^ ^ rd,
du Brésil par M. Delalande, et j e la Martinique par
M.-Aqhard.
M. Plée ndus.-%jenVoy<e de la Martinique, sous le nom
d'Oualivacou, un poisson qui ne nous paraît différer de