60 LIVRE TROISIÈME. PERQ1WDES,
dans ..l ’histoire dos .-p aissons de sa’[patrie*, a donné au bar
rayé :Son propre nam, et la ; appelé .perça Mitchïlli, ne :se
doutant - point apparemment qu’il avait déjà été publié
e tiWtéaiei .multiplié, comme iféijiiéms :dëjlle ; jdirel, par les
naturalistes;da,ee-cô:té-ci de l’Atlantiquèu'WoMS.en?faisons
la remarque, afin que le perça Mitchilli nec figure pas
incessamment dans . quelque.) catalogue de, moipenclâture
comme une' quatrième) esp$eei f/-
bar rayé.atteint jUsejïï!àdtrdis piec&' et < plus'^de' lotiguèür.
Il a ïa tête, un peu plus longue et le museau un peu plus liigu
r que doUie bar d ’Europe ÿJsesïdèntsj.auxyjmâcHoireks sqnfc un peu
rj iplpsk^ÿrtep',à p ^ p p ^ ^ c f ; les fanées que fprri^ênt- jçëllqs
palatins sont plus longues et plus_étroi,tes,;;sa langue n’a.Aasné^-
,rites que sur des^cQités Son opercule t a des mèipes deux pointes
^ que le bar; mais son préopepcüle.n’a.|p6irit,^i^mxnenans le ba’r,
d e^o é se s 'dents^obliques'à.son'nord* inferieur;'il'oet partout uen-
“-Ulé ‘fînernént;. Vers d'ângléqeâîMènt'elïïres devierinêbt^ii p^uiplùs
;êÈ;8»tâ0raoâs elles^^ffîëênt■ |piës|^|'T5^ ^ ^V fiit''i^ !'se
: ; dirigeant 'en arrière..Il me semblé <que s ^ a^eéyogjyeaticîsÉe^ g nt
aussi plu^ QOjdtfSiet -plus hautes ; 1’ 1 n ter vall e
.sales^egjjtôjifi aussi s ® p ^ i b i ^ d u ^ p , t
I p o in t, si«ne n’pstj les huit-op affllj brades noires.dp;cliaqUe'poifi.
hui caractérisentlé b a r raÿ'é. La q u à trf® e répond
1 ' raie; la nèixPSB|©‘ finit d’ordinaire Vers.I®^^plneiM^pi3ep|^îde
' Tanàie;%âïsdl y Si ,' à pm ;égkfd,-dé’s V â r il^ .’Ü W S n ^ a ^ ^ p o w
la tèirïts1, qui varie j sdo ri'le s!sâxs(inSy;dtt n’^ - à u brun roussâtre.
Le IbnddeÇl31' cdülëuv' esîfdbrjmâtrq^Sti® le dos, gris argenté sur
- :lés flancs, blan.crargenté'yso,usde ;yentre.ï Les';inageoi)Kesf\V^tiëàil!eSi
paraissent avoir été g ris^ o u ^ b ru n e s ; maigjllesf y^Eip;£||é?rîp@;Ej,rf
raient avoir, .été, jaunes. Je ne trouve pa$ r en s e ï g n e r nen s à ce
! sujet dàins les auteurs, et je né peux me' Msafder à indiquer liés
coulêûTs^H’après IètlÉSpR!^;
1. Trans. de la soc. de New-York, t. I, p. 4i5. -y-À
;CHAP. II. BA;R,S. 6 1
Jeitmuye aux nag^èijsésri%sànûmbtés 'suivans : première dorsale,
ù.'jjeuf rayons épineux, ;''s,èe,onde y un; 'épineux ,* douze m’o u s'; anale,
- - itiois1 répineux*,, onze;j|n^us |â@audfalei, dix-sept* mous ;> pectorales,
J quinzeim«4î|^^Î^A'ésVun^épiii^ux, cinq mo,us. Gë sont les mêmes
! q.u?auMbav;?3fiï
J.., *xÉ. ,9;r44$g -y^ip^Sl, t'T ; ;P. 15;
fa^rJfai* aussi^^®nip^tëfte^-ÿfd:^ètteg et les ' iritéstiiis ' du, bar ‘rayé à
- | ceux i dut'bar: i ordinaire^ saris! y.çtkouver de ‘ dijfieréflbes-. importantes
tiiqujjme ^-soient' déjàmnnpn'ô-éesrjàj.1eX*é|;fejri. ■ Lest.'Gèê^ÿtransveYçes
^ d c r i ’ê’teliput,y dorment seu&menp su^.jl,%oM|üt!é| un ‘triangle plus
ta ^yôrionçëâ,
t ^i^ab rà xù ^ ài^ iérù ^ ^ ^w ^ ^
f f l l . ]^espÊ)%|^i(iaptot but rappgmtéj de Yifpgious.uoe
nouvellelæspèfceadieiibaE, plusèèj^jærtè querda hoirie'^q^qui
cppl-au mlins la pmC-Éé' en hkufeü#w-en épai^l%r'pro-
p'(^Ê^^®n elles.
, Son‘m ùs^èatife^poi^^uy u n s o n ^ l
Kt^rraïJIdîV^’écailjtC sV .b sè ^^n jéq ^ ^^ ^E S ile 's \yeiix; niais" il n’ÿ
*en aVoint sur |ômmdseaW^^^^"(nié^ès, x^sw^rijèsji'fe sous-
, .orbitaire!riririuéuqef dp^clp^e-ymai«" il y en a ^ë^très-finesi au1 bord
‘knowtaniCdïi ^-préoperqule „ 'doi^iL’angle A ji^ J 1 té’-d’une épinéj^sez
. -ïcpeiàSon bord'inférieur test êlar’giHar'^ne ^ et^n’a ni
ui-dênts: ni dentelures. L opërcùlfe-^ol^ijix n’a qu^uêt^'sêèlé'pointe
«> presque eaôliée' âàBs sâ^mëm'Mraiîetî' Il 'ÿ5'^ '*cin'q <5ü six petites' den-
:uelTârësù^t4^S€*^rsLapulaire et d é u â ^ ^ ï’!ffi^^09é1îfhuméral. ^Des
ïy dènts’oen Velfiurs ^ràso’gamissentjjfes 'deux1 toâdti'ôiKé^^lè uhevron
du ïyffmen, lekpàlâtins. ét"untîpetit disque ovalë’'&• la 'baisé' de4 la
t langupVvî
■ ïlires déux dorsàlfesrsfe ibucteent, qu'ofeptié*'séparées j'ûsqu’iii^dop;
i Là) première! est triangulâàife ,tæa trôisi'ème epïné eSt la plus^bamë;
tiàoaoe^V^litsd^ts^sba idjsB&ièpe dorsale arrondie en arrière,