à subdiviser. lest perches à deux dorsales : aitisiles serrans
ont, comme nos perches ^communes, le préopercule dentelé
et l’opercule é p in e u x , i l s leur ressemblent,si fort,
jusque dans la distribution de leurs couleurs, que le peuple
même les a nommés perches de mer$ cependant ils ont
quelques dents longues et aiguës}comme les sandres, et
c’est plutôt aux sandres qu’aux perches proprement dites
qu’on aurait pu les comparer, si cesdentsaigoës rfavaient
pas été placées un peu autrement; Quelques poiâsltnf >
auxquels nous avons donné le tnom de çentropristes',
rappellent plutôt les perches "communes, pareéi qu’ils joignent
à leur opercule épineux et à leur préopercüle .dentelé
des dents en velours et égales comme lesdeùrsç; aussi
ont-ils été nommés/?erc&e«y de memjusque Mans les coloMiies
anglaises d’Amérique. Ces dents , tantôt en simplejvglbiws^
tantôt mêîéés dé crochets aigus,- donnentdieugdêc subdiviser
les perches à dorsale uniqée comme;»celles qui
ont deux dorsales, en deux séries parallèles : les mnes^
par leurs crochets, vont à la suite des serrans^les--àéffees,
par leurs dents égales, à la suite des centropristes.
Parmi les premières^ nous^ comptons les plectropomes,
qui ont de grosses dentelures obliques^-au bas die leur
préopercule ; les mésoprions, qui ont lejpféopercule dentelé^
mais l’opercule sans, épine, comme • lés cëntropomes-;
les diacopes, où l’interopercule: s’articule par une -tubérosité
dans une échancrure du ptéopercule.
Parmi les autres perches à dorsale unique , celleséùl les
dents sont toutes en velours, nous plaçons;à la suite des
centropristes les gristès, qui ont le préopercule sans dentelures
et l’opercule seul épineux j les polyprians j dont
toutes les pièces osseuses à la tête et à l’épaule ont des
crêtes- denteléesj-des pentacérôs, dont les os du crâne et
de l’épauleront des tubericuÿesiqui représentent des espèces
•de Goraësples' savonniers, qui ontlpimmé les grammistes
de* l’autre divisiom^dej^épines' au préopercule et à l’oper-
cuèff point de denCeluJ^ùlj^s'ïécailles petites et douces,
et dont L’analW n’a que^-desi rayons mous^ét« enfin les
gqemülef ^p/hi^swafi*sgefnfe> deï?ü,%së patox douces JLdont
la-tête'ést4jaue;,’*éâiveRneuse en. quelques?partiesi^et armée!,
00mhie dans des; grammâs|es| et ifes^fsa»v,onniers'!, d^épines
au spréoipercule. ètuàvl’opéri^?e>’?|Elles 1 unissent lés perches
* k doifealgsunique avec des, seiènes. du, même ‘scaralét'ète', à
pourprés comrn&^lBs^àpRohsy unissent!. leStijMrches • et les
sciènes; afddeux- dorsalèsimë,us,.'d’autresi rapportspdes gré-
milles lieiit l§s^perches^ ordinkirÉfe^auisflaeanthoptérygiens
à jou.e cuiras séë-^et particûkè'rement .au^scorp’èUels et aux
ténianôtesytantûluéstvrai que dans aqcuaaéjbranche', dans
aucunn' tribu de^nègnes îépfgan-iquës il .n es<fe. possible de
disposer. >les*êtres\sur. dés lignes simples etecoiîtinuês^ s
; 1 IN Oius s t^EOjLJrvons de nouvelles, preuves ,dé^oe,tte vérité',
avant de sartir^de;*ei|t§!é famille. A$ë©|évdeç tous les petits
-groupes dont- jo vietls dé^pplter, fetl qui ©ut g toùs sept
rayons membrane djesd ouïpgî .et cinq , raÿ^Us! mous
aux ventralte, il s’en- trpu^f^ui font un rgytm branchiàl
deàmoinss,* et parmi lésqueè) se* reproduiséntf une -partie
.des,o caractères - dev.dentshe-‘feViie, piècéscpperculaifes - que
mous' venons-de«.dénombrer, et»djau^eiloù il rijjj^a 'au 'contraire
un rayon branchial d$egplus,,et dont les ventrales, ce
qui. est encore bien pluSïremarqùablëy.oflf^lsept et justpi’à
neuf ou dix , rayons?.imoùs., . ;
- Dans,la .première^ dppGSS. deux séries accessoires il en
est5 q u i. ont dents en .'.crochets, .et dont dés pecta-
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