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une, autre pelote, de -sorte qiueï les <oeufs partissent rapprochés
dans d*es c e llu l^ ^ a^ # i ^ ^ hexagortâïes.^'u
A Paris, les mâlesnsonfc: J^a.BfiQÆip moips nombreux.
©?es,t à .peiné, au dire jdes pèbbeurs psijïon en prend-ùn sur
cinquante, femeftes^f et peut-sbtier arrivent-ils ; de, ? que
heajicoup d ’.oeufs de^soht pas £é;e©ndpspree qui explèque-
râi-b pourquob-ùUne"{ espèces qui en 'produitetant, n’psi ipafe
plus multipliée;:-Maist; cette inégalité daûsvletkbmbre |dfes
individus de chaque slexe il a /pas- lieu 'partout. Il yiaÿtant
de - mâles dans le lac^de Harlem, qu’un certain^vdlagé^
nommé. L i s s e renomrûé par un me.ts qpe l’ôn p|sréparè‘
a vé<@fi desalaitâncès .d,e perche^ m
Les pêcheuv&û du Brandebourg prétepdè,nt; que >iles
troüp,es*yde p e r c h e ^ l^ tou^burs ün ■ cQndun|®3#?^iqùi tse
reconnaît à cérque&sesîOp<^ ides. SQnbdépouillés de leur
épiderme et transparais, dn-^qrte qjiic r.oii-j\,c>^ JestiionieS
au traders,«et .ils attribuent ; 4 ét:t^cp.hformafeip n â k f^ q u h
cet in d lfid u i^ t plus exposé,,que des« dilférens
cQtntaéts.
LaJpercbéest mieux armée que beaqcoup^|[’aut»c^, p,ofs'-
sons Éeau douaey.côntré les attaques de se&mrnemis. Pj^ur
peu qu’ellenit grandi déj^épines «doivent- effraÿebfesp.@isfi
sons voraoesg i aussidit-.om qu’âlors le brochet meule ne,
fattaqué pins, quoiqûeiés’ petites^p^erAef^l^f lun>d;gs
apfâtsfqui l’attirent ay^ letplas dedfafeqer. f
.Lesbiseaux d’eam, .comme plongeons, h arles„.et,.©a:nar||sÿ
la redoutent moins ’, et lui font une .chasse trè^-active.-iElfei
craint aussi le tonnerre =qt la , gelée,,; et; elle’ >à ses ennemis
intériéürgë 1^. RitdoIphi f c ompte ?jusqu’h f ébt jippèfees de
1. Enlozoorum synopsis, p . 777. Cucullanus dedans, ascaris truncatula, echiftwiriBt
« I . ;ÇERCHES PR O PR E M E ffT ‘D ï T E S. 2 1
vers intestins quiavivent ii *sesrdepens.'Mais d’ailleurs sa vie
ést’ dute :rPennant>B.ous dit querFoil peut la transporter
dahs dM la paille:sèche à*soixante milles,' et quelle survit
à' !ce$l oiûgfô$®î^a;ge .* V ; n!
On.'en apporte à Par-is^duqfônd du Bourbonnais, c’est-
à-dhe^deLpluS'xkeïsoixantpdieues, mais dans desJpateaux ï
réservoirs pleips id-’eau/et pibleo^anal die* 1 Briare,
Il asTi^dnnMeerÆaiiï^iÆïTÆohstances' que- de$ perches
pifennent une) sètrtorde*ïb©sset qu-it les PrendsiuSonstrUeuses.
Linnæusf eft, ifitè de telfes de>Fahluny on Süède^et Pen-
nant, ddlfc laèj du? ic’dmté dedMdriohleth, dan®' île pays d e
©allés.-fLe prdpÿléâ^féf^çfe;^ae lac, sinSWatkin William
Wynn, baronet, lord-lïéintènânt du comité;, & (bien‘voulu
nous çèu ehy«e r' ‘quelques. individus , que, mous5 avons
.plâ^és^au Cabinet (ht R o i; A-netic: déformation f près y. qui
estqÿsans g doutée ©ceasi©n*éjjmjgar 1 la gn a to e?d;eb£eaux-, ces
phrcJâs^ b ©SsÛeS^nbdrfïèreii t poinMdu reste d e Fespàée)
^La*dhanide la*pfe®ih.eiest bkalich^fèrnèé-, de bon goût
,etdaiilçɧbdigéveïbles petites.-perches se-‘mangénlHrites;
plus- grandes.©IMesi fai t cuire au.court bouillon ou grillée!
Les IloUanâaisdfe9&iment particulièrement cuites dans l’eau
avec d u . q i t s • qu’ils appelFenhlsôupe 'auq>orSs?6rié Les
Lapbili p r épar entrave g; la, peau; de |.â?p.erche unëoolle de
poissony que l ’on dittrès-dolidé cet eSèt,>ils la' fanqmacé^
rer:pQumlàidépouiller dèrsesv’écaiHes, '©fedâ Icuisént' jusqu’à
é l qu’élle %t pris la c€pisistanced’uke|gèlf^, après quoi ils
la.laissent refrbidifi On po-ùrijaiEsprobablement en fabriquer
db|yejmblable*;âveG la;pèau d’une'lnûnitéd'autres poissons.-
norhynchus angustatus, distoma tereticdtàr'i distoma nodulosum, distoma truncalum,
ligula jfimpiiÉÙüînia.
1. B rit. Zool. f t. D I , iij