3 1 0 LIV R& OISIÈM’Bï- PÊKG<M D E S.
L a D i2 ^ 2 r .,®e jS eba.
S e b c e , nob.) ■- ■
L ’ejgpà&e représentée le pkfô anciennement aveG^quelquêe
exactitude, et q&ënoks avons nommée d ia co p e de S e h a ,
d’après celui qui Ta faif^qnnaîwi^ln’a- point eteMfèn-
tîqnneé^ par 'lü^aui%ir's! méthoaiqttës 5' inàis RusscT g[|Hrfi-
proâuité (ïMspon ï î i s t o p t d ^ ^ i z â f a j à t a m ,
n.° 99,-sous le nom de botîavQO champ a h } quelle" porloR
dit-il, sur la c,o-te d’Oiixa. M. Lescbendull iu f f i l ’,! (■ nVpyj'ü.
de'Pondiëliéry, et^assuïe que les" p é c p ^ g aq^Ce lieu la
ndfenent/?mne/.Elle est commune à Java, douT^M. 'Ruhl
ét’ Y an Iïasseit en ont fait parvenir^fr^^coaip d’indtvmùs
au Cabinet de Leydey.et nous en avons^êW^eCTmrnent
un^de file de Wai^iou par MM. ïlesson^ét Garnot,*,n;îtuÉ
râïistes de 1 expédition de M. Dupëffeÿ,1 . -
Sa forme est peu alongéeet assezhaute a la nuque. Son pr.ofHf^
assez long et à .peu près rectiligneA descend vohH queutent Ion-*
gueur de"sa tête et la hauteur1 de son Æ ^ ^ f au droit ^ é l e c t o rales,
sont à peu près égales et'Comprises' cnapuné/seulenientT trois
fois dans la longueur totale.
Le crâne, le museau et les mâcHoires soht satis écaillesymais
il y en a sur la joue et sur les. pièces opercnlaires. Elles sont assez
grandes sur le corps, et il y en a de petites qui s’étendent suiiles
nageoires verticales, entre lès rayons. On observe que les deux premières
rangées d e là nuque sont plus grandes.que les suivantes et.
d’une forme rectangulaire particulière, ce qui>-se; retrouve plus ou
moins dans la plupart des diacopes et des mésoprions. Les dentelures
du préopercule sont très-petites et peu saillantes. Il y a deux
1. Seb. t. III, pl. 27, %. 2.
pnjWs plates, yj. <ç£qug$es à l’opercule. J U 6Sfc:den"
lelp,’in|^s1^iQp doir^J^Èk^i^L^gale ‘ ,a .OëzeJrappns
épineux et quinze nÿ>|lj^G:ëst elbre la sep tienne, el^la P-êuvième, épine
rqd’elléesWeîplu«. abaissée,’ rèfe%;loii(-a-fait au.sjgièpe et
jjin." sepjpèrpe^aypqj^Qii, q u i g'âgle sajüant^Iéanale
l&fene 1 aussi angle sadJunl, lit des ^p^Gtoyales son®, longuëf ' et
^SiptUes,, comme*, aux spares^^^^^fâ&s^gun péuéA.anc^ee‘ en
t f jjaf e r ‘teifi p 16; p. îfï; y .4 /|. g
, L'apparence pe poisson est ’a^peu* près -edle d’un
- sppîRe y mais dents râg&les, mêtqes^ qj|gj dans les sçqçage, I j y a,
^ wè^ el-.fond pâle-!, liois fn gN jbm d ts (tbstbroÆdom J1 première
v'm en(£Jy‘Üg nuque*îelr.aia^^^ddijjùgiiient jusqu au museau, en
eiuoui'arat fteil, la dæpmffle rquieu
de la (Vn^ile Yusmi’âùx terîïrtdeV, l i irmsieme, se^luige oWhque-
ment en' y ^ r e liaepnis‘ laf4|în ‘ d'élla d to rs ^ jffl^ a ’â f a f'ljastfJ' de 'fa'’
'?M|a$iîeéL'e 'b’oM dpK^dùrsalë d ^ ^ d ’âhalè, les poMèsrd'e ’la ;eàu-
^ llU g ^ le ^ ;vèriü^àles entiè’rfes||i|M®aussi d u n e Itérnte. ObSteuré.g’ ■
ütDans' le frais', selon M. Russe!’,' les bandes sipgrfun, fpæqge. de
et le f^ p ^ a u n e l M Lês< lirnauly fes 'dit n o i r ^ e ^ ^ F <un
' fopd'V^qg^j mâ^^spn®* des nuances .crûi' peùvent’#agier^sjlM fa
saison^U suivant <mç.le poisson, e^t décrit ..pins ou m ^ ^ ’promptement
api(stsa ptort'i t
~ jik liM ^ e ;de. S.e'tà a le lobe gàuebe d u 'ÿ o i^M g u lâ ire et|pro--
longe en une poinle rits ajgjlt ,jj1* < si £loj! 1 cui^s'ii-es-nmn< e la J(>Jie
"'droit dé moitié p lü s '^ ^ ^ ^ L a ' 'vésicule du et
grêle, et sevporte en* arrière, bien aO-delà dedÊeStfftHiàKs1, |e loag<.de
fintesdaii
■ L’oeiOffeage il^gèbk^ .d,se.pr'qd4^§e'êbk Sg.rptfpesant eji.,un
,{Sàc .çoniqjie, qui est l’estomac,' doqyles parois spn^.^àez ép ^ se s
et chargée? \eo dèdans ,de rid ls. irré.gtdièKÿs.,
La. branebe montante eçt de moitié p lu s t^ u n |M é e l’eston^c
lui-même. Elle est'très-r|tï-icje p^& ® p ÿ lo r e ,;1guf est muni l e
cinq, appendices cpecàlès ’juéo^uesr et assez' j^ b & Ê e s ? Lé duodénum
.SfstM ■pxesqftS eüssi large se Rétrécit