2 1 2 LIVRÉ t-TRQMÏÈMte PER.COÏDES. -
feçu'de Néw^ork par M. Milbér-t, comparé a un mérou
Ip même taille fourni l^pgSKèi^Kdvaia^s^-.c.
1 iS’esiform«si’soïiwMsfsi ; trapues.-' Sa; -têtë est "plus“? grosse, .sâaîs être'
- ' pltisdon'güêîi La mâçkoireïiHféHelàje ü ’-aVaïieefpas autant au-devant
de lafeii^êrietireçî L’oëil-'est- plus 'petit etpjàeé'plus haut sur la
Les dentelures à ë ï l’angle du «préop^qule&sont plus notnhiéuses
et- plé^É^ftçs. Le^-bord*montant* n’offre aucune sinuosité.
* ALesidents dhllà'mâëhoîreûnf^ieiiire saTït plus-fontes ; les premiers
rayons* épineux-'de" la "dôWalè' sont p lu s lorigST-e6r l ^ deniers,- au
* * contraire £ sont plus-courts;; la -Gaiadâle1 est coupée en:un* croissant
i :peu'. profond ?: ■
Les nombres des nageoires sont : -
D. 11/1-1 ; A. 3/kf'Ci 11, etc.
Bien qu’un poisspn qui atteint un£ aussi, grande taille
doiyp être remarquable, noqs.ne trQpyim|pas dan?, M?jMït-
çhill la descriptijou^p ^ette. espèce*: au reste, ç lle^ ef^yvV
aussi'plus*'au Midi. M- RicobAinatis. l’a rappwtrébà# Saint-
Domingue ^feôu? elle porte le nom de ' r t è g M Suivant^ce
naturaliste, le pdissPn frais'présent'^ ;i
,de grandes; marbrures d’u n b ru n vineux plus pâ sur
un fond gris. La tetèjçst plus ro.pgeatfè.Tyextrémité*des maxillaires,
les mâchoires, inférieureset la membrane branchiojitège-. Sohtynn ges.
La partie épineuse de la dorsaleest plus foj^éëjque la portion-molle.
La caudale est hrtine^.l’anale est rouge-orangé, bqrdée de brun; les
pectorales orangées? et les ventrales tachetées de gros points rouges.
L e M ébüou a mu sea u Aig u .
[ S e r n a n u s , a c u t f p p s t r i s ^ nob.)
Nous avons reçq cette,espèce du Brésil par M. Delalançle.
Elle a le museau plus pointu que la plupart des espèces voisines.
:^ |g ;ttA |t XI.,. SERRANS. : ■ 2 1 3
La dentelure, du pgtoper;cule esf|,ï^%sdine. L’épine moyenne de
jlj’npfpfiuie .afetlÿ p ]^ -fo rte et la plus aigue j elle est aplatie. Les
écailles sow ip e tite ^ il en monte aussi Hur la’ base de la dorsale et
de l’ànale. La , caudale,est- coupée en croissant assez profond, et en
p^rtië ^ ^ onVe^^al^idles^ -
Les dêpts qui bordenftl% macho,ire supérieure spp; fortes et coniques^
-les,.autresj sont? ejÿ cardes-assez fines ; en bas, toutes les dents
sbpt en cardes, médiocreBptent grpssgjj^et seulement sur deux rangs.
'Le's ^câmhe’S ’sôht peu fortes.
D. 12/16 j P. 15; Y- 1/6‘; 'A. 3/ l l ; érM8.
/ Ce*déisé.dn|^»âràît tôud brun* sur l’empaillé. Les nageoires siont
la même couleur; I n b o rd s de »là.défsate’ et l’anale paraissent
plus fonces:
’ Les individus de cette espèce deviennent assez grands. Celui qui
a seifti a, notre description a près de deux pieds. La tète fait le
tiers de sa longueur totale.-
m L e Mérou écarlate.
fK & T û m w a p u a , nob.),i
Feu M. Delalande nous a aussi envoyé un mérou que
notis croyons avoir reconnu pour le p ira tia p ia de Mar-
§ | j É ' .
il ressemble plus au nègre qu’a notre mérou de la Méditerranée.
Les dents de sa mâchoire inférieure sont un peu plus fortes et sur
une bande plus étroite. Les dentelures de l’angle du préopercule
forment quatre pointes .aiguës« La caudale n est point ecbancree ;
mais elle est coupée trèpearrément,
Nos individus ont un pied environ.
Les nombres sont
. {I>. 11/11; A. 3/91 C. 15; P- 16; V /l/S ,'
1. Piratiapia, Maigr., p.: i58, lib. princ., t. I? p*3>5; Bodianus apua, ÇI.,
p. 220 ; Bodian apua, Lacép., t. IY, p, 200,