L e Mésôfrion A ligne. I
(Mesoprtgn linea, n«b.')': ;
Parmi les poissons Poey nçus, a rapp,or]téss dék
Cuba’,japjferôuve unjvetit m^pprion encoire^^efflblable
a u fo cu j,
ÿet qui a sous l’oeilune ligne étroite copieur d’argent, lisérée, de
brun, allant depuis le milieu du,-maxillaire ^u'pïëopf icul’e et se^
divisant sur l’opercule en points séparjss. |1 -est d’un Brun olivâtre,
plus pâle sous le ventre^ et a sép to u Krmnândes yertrcalesM'pn
5 jàuûe plus clair. Ses nageoire^ sont olivâtres. Le bord de la pâme
épineuse de la dorsale estjaunâtre. Les ventrales .sent jaunes.
D. 1Q/1S; A.-3/8; C. i î j . f t
Nos individus sont longs de trois,à quatreponops.
^•!S^ëSi ^i^t3>nsd%n peù plus’grèidïEt à ligne plus interrompue,
appor tS a int -Domingue 11 p‘âr 51' RïcOrd. !
Il s’agira de savoir si îc^ne' sônî pas e*Lcqr|: des jeunes
individus de Pespèce du yocu. - -
' Jj^ bodm niis^ sciatiis (BL, Scfen.,ÿl. à t y appeléstria*
tus dans le textejp.- 33€)jæt Yalphestes sambra ( i b pi. 5 k
m p. 236, oà il est nommé .gembra), dont^atnsraucun
doute des mésop rions, fefe même l^ preimiér nous iparaît
reniter absolipnent 3|btn^ v^ ffip ié so p rio n linea , dpnt il
a les formes* .les nombres, les bandes et jusqu’il la ligne
de la joue. Je doute doncbeaueoup qu’il vienne;, comme
le veut Bloch, des Indes orientales.
Le-- M&sq PR‘i ON!>4Rts,.
( M e s Q p r i ' o n I g r i s è u s /riob.)1 *
< î;ÜNious d e v o n s - à R i c o r d 'u n m^â option que l’on nomme
è- Saint-Domingue, s a r d e .^ i à e y ^ q v d nüte'parait différent
| J sâU4te-iW/un pe.u,.pli|s âiguë. Il â ll^ a ç f fo i r e supérieure 'deux
*'’ fartes Va&‘^ls,' quelqnefôis'idbnblei/ et plusieurs dents'conïqhés
à' F inférieure lés^ canines dé déVaiit sontlpfus faibles
- que -ctelles 'd’en haut - s®iàis les dents latérales', an iîomBre de dix
-..pd douze, sont bien plus fartes5 querellés qui,leur'.répondent en
i Haut: elleSiSont, semblables à des canines, ÿ|qn$mp dans la -sarcle, a
\fLent,s;de-,chien; .mais moins fortes^t^a^coup.plus nombreuses."
Il n’y a- ». saillie X sonj imeropercule, ,et presque pas dkire
rentrant à soir pr^^rcéie v Ses jemtes 'SontJ grises, tirant au lilas
~^’y SCTs'le d "|0 ltf Sürfles Bords' de la do riale’ egg ^ p ^audale; ’çV‘bitr
aiffSie vêrs'îefoâF clés ‘flancs ’ et aux SvêmrlleS ; l’anale esl’ aüssi plus
■ 1 bü faquli* rosé on Hlas.
La ‘gehïge'; la poitrine ?et le venti^^ÏÏt^Blàkfes^®esf,écàillè^-'bftt
i V chacune |une tache jaunâtre ,’qui'foriyé'nfe' dtesî ligne!* longitudinales
un peu»>4oMiques, plus marquées sur, l^flknes, pWfandues, avec
le gris §upip;dqs.:
La caudale est taillée en croissant.
D. 10/14; 3/8., rtc.
,Nptre individu de S^int^Ij^Èaingue est long, çle dix puq<jte$. N*0118
, en avons up de la M^arjinique,jo n g dej^^-bfofe
ïutjarms a cu tiro s êr is , pu blié pa r M. Desoeaarest^Dée.
ich ty o l., pl. 2 , fig. .i|^pe"6 dans’ le Dictionnaire clàssique
1. Bodianus viçanet", Lacép. ; Sparus fetràcanthus, B1., ■ fSïhhï'a tetracanifia, Schn. ,
p, 338l*'fo