pome mulet, un ' poisson comimun à g l’emboiuelgure de la
Seiafe depuisdêisolstice d^é-jusqu ait ;c©mDéachlLomèiIt de
l’automrife ^ ^ u i, d'après -.tous ^lès>*carg.ctès®.es i quetfkon en
rapporte, est maniffsteraent un bar/, dont/liésipiquans
des opèreules*nfauront pas^pté remarqués, p:arce (£n’i%Jsé
voient mal! sùr- lè^pèàssQîâ: frai,s., -,G^s- deux' observa télfirs,,
qui avaient peu de notions sur l’histoire naturelle scieur
tifiqu%, ont occasion é plusieurs .erreurs«semblable^,, et
même dans >cette occasion je craing: qu’ils n’aiénti joint
l’hiàtdite du #Èii mulet, c’e^fc-à-dire'çlî1 muge^à la dpsr
jfipptîon du bmv> iSèlon eux1,. d^Ge^^ôpofnes'tmuletst'dêîila
Seine ont des mouvemensi vijs.;daurs ^antsdes' ainnonoent
aux pêcheurs?: on en»prends qnelquéfek^j.Tisqu’àKéin^(|eints
d’un coup de filet toutes-chose,S’ qui- .semhilejitvbien , se
rapporter à- ûn muge, plutôt'qu’à un ba r.,
.Les Anglais nomment leibâri^«^, éfelè^Gallois dreenog
ou gannog %• mais« il parait i qt^ilsafe?o,mtKpgj^Æe
citélhl-dans l’Histoireddespoissons« du Holstein- 4 >èuS,ch.cè;-
nefèld, ni dans les .Eaunes,- de Danemarck, deiSubd^jd^g
Orcades, ou de Grôenland, ni dans rHistoirenatürcllebde
Livonie^ de ' Fischer, ni dans s @ep„e>idé. Russiey&def(^eorgll.
Ainsi il parait qu’il savànee>très-p eu dans, laf-^ner duMpiad.
qu’il rm pénètre pdlft dans la Blil^q^e, ^ t que ptM'Éfrêftce
il-ne dépasse la Manche jque par accident^^CleSit apparemment
ce qui a fait que, le.s,i*f^^|ains du.«K{ord fêtât
peu connu.
Linnæus l’avait nommé p è re a ja b ra x . , On ne devinerait
1; Notamment les neuf rayons de- la'prémière dorsale et les treize de la seconde.
Voyez Lacép., t. IV, p72,Si ,01.27.1 .
: r2. JPennarît, £raï. £d<j/.),- in^8y°$ t. III, p..-2î^-et $kQhi
3. Rarissime apitd nos in mari seplentrionali obçius, Gronoç. Mus-) t.I , p. 4 i , n.° g5.
pas pourquoi Gmelin ,a changé cé^nom en celui de punc-
ta ta , si une. comparaison exacte des éditions ne faisait
voir; qu^lpar une fautes d’impression des plus grossières,
il à|jfoint au nom du p erça punctata, qui ëtgit un poisson
d’Amérique, l’article.'qui suivait dans Linnæus,; et qui
appartenait au la b ra x j enrsorte’ que l’article de l’un et
le nom ded’autre 4 ^ o n t;;tsouV|és supprimés, ;;}
Bloch,u a transporté le labgjpçdans. son genre des sciènes,
parce qu’ibgssigpe,-à ce.genre pour caractère ^d’avoir la tête
écailleuse j ihais après envav©}i? donné, pl..3{%i}, sous le nom
de seioena la b ra x , une figure tr,ès-peu exacte.)! qui semblerait
même avoid^Ègg&itè d’après une espèce»différente?,
■ De reprelenfè une ^cctnd^è lbis^/pl.’S.02, plus correctement,
màÿste©B0[me un aptre poisson, et l’appelle
a l^jézÆwfl diacaniha; puis il ^ donne le j.éujaé,, pL 3of%
encore comme une espèpe-d,e plus, sous le nqm de seioena
punctata, sans faire la moindre remarque sur son identité
av$ësle labrax, \ ni même |n©usj.dire, s’il îéntend par là représenter
le p erça punctata.. dq fGmelin.
* L ’ouvrage dè Bloch* fourmille de çesqsortes d’erreurs/
naturelles dûnsi.un homme qui traivaillak, loi|ÿde la mer,
1. Le Perça punctata, n.° 4j,dgI8|î^:ï.“édition , dont le nom a passé ainsi d’une
façon,ridicule au perça labrax, qui était le n.° 5, est unesciène, la même qui
reparaît dans M[ de Lacépèdê softs le nom ae aipférodon queue jaune ; ce qui n’em-
pêfc&è jpas qnë M. dè "Lacépèdê n’ait laissé* le nom* de perça punctata pdrmi les
s^ôriÿïi|é& àtù labrax.
2|"IÇ.e partie, p. 45 , pl. 3oV t
3- Le .préopercule y est représenté comme finement dentelé tout autour, et l’on
.pipa pas marqué les'épines de, soft' bord-inférieur, l’opercule n’y a pas d’épine, etc.
U ne dit pas dîdù il,a.tiré-cette figure, et il n’a'ipas été possible d?en retrouver
l’original. A- causé de*’l'égalité et de la petitesse des; dentelures duipréoppreulê, j’ai;
supposé ummomént que .©[était le caroussé, dont nous parler.ons„plus,rbaS; mais la
-forme dè jses dorsales s’y oppose. H vaut niieu* croireIque. ©’est un mauvais dessin.
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