-Z/ApO'GON MÉACO.1 »
(uàpogon ^me/ffiQ , npB.r)^ . ,
Le spare méaco de M. de Lacégë^e (;t. IV, p. 54 et iôq),
établi sur utre descri'ptionmknuscrite-'envoyée par M. Tbun-
berg, et intitulée- m uîlusfasciatus, nous paraît devoipfise^
rapporter encore aux apogons*.
« Ce mulle, (àlit M. Thunberg) est imberbe. Son corps est ovale,
‘ « comprimé, long d’un empan, brun, avecbandes^blancÊ.^s et
« une tâche brune à la'queue. Ses écailles sont grandes , ovales,
« striées , entières • sa tête 'comprimée, lissé • 1 ses 'dfekk^'jpfftes,
« ohuisès^fës deux ariténeûresjïe chaque rïiâbh'oire^plUI grandes.
« Ses nageoires sont tachetées de brun. La caudale est fdnueiNlt a
« une grande tache brune, ronde ^dîm^ son milieu. » Il exprime les
nombres des rayons comme il'suit i ^ 9
». 9/10; À. 3/8 j G. 15 ; P. 9 ; Y; 1/5.
Ce qui ne dit pas que Impartie épineuse^ et^la partie dorsale
soient séparées; mais le, nom générique de mullus semble le dire
suffisamment.
DES i GHÉILODIPTÈRES.
Ce .sous-genre, établi par M. de Lacépède d’après une
espèce rapportée'de la merdes Indes ,plr Commerson,
esft à ‘’celui de l’apogon ce que le sandre est^à la gecçhe
proprement dite) il se compose^ (Je‘ véritables apogons,
dans les dents desquels se mêlent quelques longs ërfoV
chets pointus; du reste, il en,, a, tous ries caractères -génériques
: des dents en fin veîouii aux deux mâchoires, au-f
devant du vorner et au palatin ; le préopercule, à double
rebordi et .ttfès-fimement dentelé;, Maptrcule Rentier «et sans
aiguillons';5 dè»grândes' êcaille^Æbmbant, facilement sur la
tête et isiir* le| eüéps ; deuxéidorsalès-, bien; séparées, l’une de
l’autre, et même, plu i »séparées?quat-l’apogên.
L e Chéilod$^tèî® ’A raies..; ■;
‘ ÇCfieitodipXevus éçtoyiticàus l irolr) T* _
r\ L’espèce de Commér-spmaimêmé 'd.e&'nombres de*ày ons pareils :
, y-savoir,\sid épineux- à; la première, ’ jlpç§alq jp.ufl,• lépineuH^"|neuf
v^rameux.à la^se^n*de -fedeux épin^uxie^huiij ra^t^x^ÿanale ;ndix-
neii£,à la caudale :. dix' aux A èc|H£^k4-;,ÿet aux? ventrales,
tniijnvgre unS^meux et ctoÆcàmeuxPyf
d . 6 W 'irf y l iyTO
Il atmifee | ë chaque., çmémma aueüe, ôétte lâche ou.bandèyér-
ticalè nôiré' qui se voit dans la plupart douleur
blanchâtre), ppcfHhit bande^ l p ^ m imalès ‘n'ô|-
^ ra ^ f^ u i; se-’rendent ’depuis la ré^gîoWdfe îtfell ^ q à ’M^lafebèrfoire
- i 'de l-à-queue. Il e^aussi^fpèu plus fgranil que les^pff |I^Içohhhst,
et son. iriùkeku Wt un peu moi^isfalé^rt: l.i m.itéu'iiie ■mj.rf'rieifre
-^avance un pqu quand- las-hpuche est fermée >)fell4 ^'fro^gfmdes
dents pointues.de fçhaque côté ,, et il y en | fqi|anef à,^|<pr^|té^e
l’inférieure. Ses écailles, sont assra ^ àe |.( La,^audde,eat é^aimrée
en cfeoîssaht.
jLjÇpSe description ^ t . faite sur l’individu par
Ôommerson.tGe ^vagqur ejkrî^ aussi jjl,%fe|é un^desski;fequi
a té,té gravé dans l’ouvrage de M^déè Lae||ÿè,d5^^J^ I I I ,
pl. X X X IV , èg. J.re, et d’après*lequel M. det
qui gavait-pas, vu l’in d iv id u ^ « a établi son .esnègp^du
chéilodiptere rayé ', ib .Æ Æ m : 1)9®s lè^séns de f|u)eur,
1. Chéilodiptere rayé, Lacép j Centropome macro don, fd.
2.