L e Plegtropome mélan o|æuque.
(P lec trop orna melanoleuGum, nob.)1 2
Parmi les espècéS arbora montant entier, il en est, une
très-remarquable par les larges bandes .noires qm^t 'JLes-
sinent stüf le fond argenté dè so'n'corps.
Elle a lété <ïécoùverté/par Gommerson, qui en a- laisse
dans <leV ?papïers iînë description détâilïée^sur laquelle
üt. de Lac'^^cre a 3établi son bodian pt&ari^êüfjïie. *
Mais Gommerson en avait aussi préparé un individu en
herbier, qui I^tSetr6ûytë ^ i w récemment, et’ qui nous
a fait feconnaître l’idepmfe'de ilôn àjitrés,
qui ne reposaient que1 sur dès <ïesJsifîS inexacts s a vo irle
bodian çyblï)siornî^lèt le labre lîèsè. 4
Le premier décès dessins paraître la main de Sonnerat
Il est à la plume èîcbfdH'é f fïon '^vrfit bieû lés WcWès et
t^'pbih^^QtiiTeiitès du préoperculè ; niais dl ne' ififàiifre
à la ctorsalè que neuf rayons mo|s, au lieuud^udtizè^ Le
sicôhd%ât â ë Jrissigny,1 !. la pierre’ boire.'On1 n’ÿ*Voif
aucunes pointes^ et il ƒ a "onzû’ ' épines*1m arquéd^lfbrifü-
sément à la dorsale. Ni l’un ni l’autre n este -étiquete par
5eè,il né paraît pas les ’avoit! rêvUs";1 qui
explique les dn^xàHïitudes qerr détail qu’ils 'pr^enient ;
Mèiactitudes']a.üxqùelles (Tailleurs Jossigny était fdrt'^uj^t,
fcbmiil' onr peut s’ën alsiiièr par plusieurs 'oRwes autres
dessins , qui sont plus d’un artisitè' ^ueiWun nàtürallsté.
1. Bodian mélanoleuque, Lacép. ; Bodian cyclostome, id.; Labre lisse, id.
2. T. IV, p. a8Ï et 297; — S. T. DI, pi. 20, fig. 1 , et t. IV, p. 282 et 2y5.
La ressemblance, des .figures |»fgt surtout la distribution
des bande^'lJ$ l| d’ailleurs telle, qu’il nous éèï presque
i%p,ôssible<^é!e''‘'conserver’ aucun doute que les sujets qui
ont Servi dè/^od’à e ne'tussént identiques
entre e u x ^ ) i£ avec* Tindiviçlu r â cop^erve au Çaî)|qet
dû.Roi».
^i^âdbrmfe rappelle ceïPél,d'è la perche,, mais est plus alongée. Ses
^'éeMleV so'Stf petites et êfifoncéès'dâns l’épiderme; elles s’étendent
en partie sur les ndgèbirês. Il y en à1 ÿiëlqhfe' pW sur le bout du
maxillaire et sur le mandibulaire ; mais les lèvres (ÿ lè museau n en
f M ] point. La dorsale est peh‘t lm $ presque égale sur sa longueur;
la caudale coupée à peu près càrrément ; l’anale n’a que deux
épines faibles et peu apparentes ;alè^, pectorales sopj arrondies ;-leS
ventrales peu a L n g é e ^ la x ligne latérale est parallèle au dos; les
' mâchoires ont des dents en velours et même un peu en cartes,
’ ’ sûr îaes bandes ^ rô iîe s, parmi lesquelles ^sont melees les canines,
foires et pointues, surtout en 'avant dès deux mâchoires et sur lès
■ c©t4 id'é”finférieure ;Topercule, osseux, se termine par trois pointes,
. dont la- supérieure-est moins àiguê, et il quatre ou cinq dents
dirigées en; avant, au bord inférieur ; dû préopercule; l’oeil est1 petit.
>®<yies^ notaires des .rayons, tels que nous les comptons sur
l’individu desséché :,
B. 7 ; D. 8/11; 2/8 ; C /1 5 ^ 1 1 ; V-, V%m3
Le1 fond de la couleur est ’d’on gris argenté, sur lequel le noir se
^ distribue comme il suit : une première banclç ô,ccupe le^çrân'p-entre
les yeux et un peu en( arriéré t ,4e îeuf[ orbite ; une; seeond’e , pins
‘ ‘ large,'descend de 'la nuque jusque sur l’opercule, qu’el^ef traverse
sans le dépasser; une troisième, très-largè dans le haut, prend des
'c in q 'd u six prkniières!é|liûès cle la dorsâlè, aesceîid,'en sè rétrécis-
' sant i, jusqu’aux'-pfetorales, ètf s’élargit érisuite-'dë* ûBnVèau popr
descendre aux ventrales et sur W ventre >inême, derrière elles. La
base^cf^ la ’jfeïtûrale et celle de la Ventrale sont plus ou moins
comprises dans cétte troisième bande. La quatrième part des der