1 6 6 LIVRE TROISIÈME. PERCOÏDES.
dernières s’attachent à des' apbphyses trànsverses descéridàhtësfdont
la- dëtoîèreapaSré s’ünit en une lame échanôréè; liais-skris former
d’anneau.
Ce serrai! Retient sur les fonds de.LQ.che§, et a la,,chair
très-savoureuse ; mais, il dépasse rarement le poids, d’une
demi-livre;1. On en prend toute l’annéea-, tiètosif ést'Ærès-
abondant sur les marchfe, où il se fait remarquer par Ses
belles couleurs.3 '•
Ca^Hnitéfit qui! vit * oeF*|>etits cfâbfès, de cïopOfïe’s^et
de petits poissons f*et' a^ssure^quil fait^surtout ses Idélices
l i ep ia o c to p o d ia ,jÇ i.^ qu’ij §e tient enfembns-
cadq.à feutrée du trou où tce moUusqup^ji^tire^gt.q^ie,'
pour peu qu’il en voie sortir le bout d’un tentacule^ il
s’empresse dele> saisir, d É
Le S errait PROPRÈif&Eifkyï&k8*’'
(*Serranüs emprillaynob. ; Perça. a a b rilla g L in .)5
La^seconde de nos espèce^, se reconnaît à l^bsence^el
traits sur la tête,,, à trois ou. quatre bandes qui lui t^ e r sen t
obliquement la joue et s’étendent sur.son opercule,
ou dix bandes,qui occupent verticalementda qmoitiéîsupé-.
Û Martens, Vojàge à Venise, t. H , p:ii|fe§^^XS%/Risso, a .' éHit.y^pi^/fJ
• 3. Nous l’ayons tu partout, j
Ü Carplini ,, Traité de la génération,des poissons., p.,85 <1« la traduction allemande.
6. A'en juger par les lignes longitudinales Tce- 'doi% ètre cèlui-cf que ^Alviahi j$,
réprésérité sous- le nom de j/avti'àu iüiiatula. Iï ne sérüt pas' impossible
aussi le, channa de Romdeljw, p. r83 ; C’est.très-certainément encore tepeïca cabnlla
de LniHÆns; la variété B du perça marina, de Bkcksich , Vholocentrus', vizesgins de
Bloch, pl. 233, et les holocenires jaune t\. serran de Risso, i.r* édit., p, ag3 ef2g4 j
serranüs cabrilla et flam s de la seconde, p.'5jSflét 3jè. Sonnini en a donné une
bonne figure dans son Vojage en Turquie et en Grèce, pl. i.
CflAP. XI. SERRANS. 1 6 7
rieure;.de,son corps, et à quelques antres b andes qui s’étendent
longkudinal'e;me,nt s .^ k s depitis la tête jusqu’à
queue.
êT4 E 1 1 a le museau sensiblement phlf'ëbürt; Set-fe chanfrein un peu
latq>xpcéd£n|e.< 3©n eeitl' esjAphjs» grande son préo-
perc.ule unxpeiy moi^ a i ^ ï ^ l k # 1^ .partie <4?
, l’^ n -g le ^ ^ e^ p ^ ifo rte g ., S ^ p ^ ^ ^ 'e t r^f|^iguxetîa la ^c^infé-
‘ • ^eutejdejses brapche^ djjîf, 4^••P?t^ s F ^ ts
jdejla peau. , r i . ; f >.
Daml<pfé,tat le plu|Æ|illant , le fond de lagiofflmr æst 4’un gris
’ jauhatfÿaVéc' des tem t^ ^ e ^ re s ; JÆh'and^s obliques ae latête et
« C f ‘ë s4 > lri^ sont d’un bpliJb^é 'kù rb re l ou
! vermilloripqâelqü^àis^mèkië^ce wmùïkm sfefe^tbfeâ.rÎTOUt ïe corjis.
1 Les b a n d è i ^ b ÿ ÿ |s i i |n l d'un' brun-ro,ui;f6iritïé.r »Leur partie mfé-
gieure-^lar ^ ’ebdevjent plus q a i £or<m e^g g f i | une
'^ ï ï ï f e ® ^ ,tu d in a le rd ê tachas b r u n e s ' ! " 1?â]? f Kdu
^ 'p^éop^Vule^^raT^â ïa racine su^êpieure de ^ ^ fy r^ 6
****'{ |’<$*c(Juîeur^ 'hugbîcîiïe'oc beauté &a^eertain.s ifiomêmf Æ Te^m-
' t y v a iïe s l^ pm ^ s ’ r b ù g e lllf ll^ lfe ^
la
vqntre d’un orang^lai
^ P ^ f e t S'lesmdividIl o^^ptéintes si vives“deÿennm sfom-
• bre$ ct.lie^cbangent eüiîpTbb'iPU.erLj'.qjèl^TO^ La_dégaina sanase
.^s^épaill^isç et deçlg. couloir diÿdqS^jmaispsai^oitié.|§pg§fi‘eure
adans. §?• p^fti,e épi^guse des bandqs a ï t ^ r n % û v aÙr°fPf,étalas,
et dans sa partie molle*dësttab'bes|,Èpnjtes, transparentes,
semées sïïr un *fonî^^roÊ'^p4f^a’|ausy,trbis‘ bandes aurore ét lilas
« iyb r’ l’ânklë.^è' fond d'èjïa càudâë1 estdila&^^Snê dèr t^be|:
*’ et de ^omtitransparens. Lës.,pfiejçtpj^^^n^^ur|^Fa^on^s am (^ ^ 4u
). , quelquefois jauffl.es. Les.venuale^ sont un pen .plu sp^g ;tejlgs nont
-‘.point de taches.;, • t<5 ^ J i '
,, : : V. , . D. ~&0^ G? 17 j P. 14 ; V. IjBt J«*«
<âe”serre|n h a b i^ tout |g„ba.ssin d^^la Slàfe^rr.a1^ ^ ^ e>i
I f t n le prend sur tontes l^ o 'ê t e s de cette .mer <enuaus$i