3 5 0 ' V&I&RE TROISEfe-MEj PERC.OÏDÏ1S,,
. ‘jlue:.cplas de la Guadeloupe dë Duhamel (Pêches, seet. 4 ,
ch. 5 , p. 6 4 et ph’ja ,, fig. i^iffeasj&mblô^jeB.©«®ëJenlièrettient
à nosp©i§st>ns paifia-forme j et,,auita^|f qu’on peuts)|peiiire
L dëSLCfiption vague -et. oibs-eure donn^^par çetlauteu^yjl
a iihSsh pMàe bande large d^â-couleur citrine *ët .dfesi tachek
jaunes à peu près-rondes 5 hu?quLfcép;oflid tout-à-fait à plu-
j^u rs de ceux que nous _.avo^Ésous les yeux. Ilbafr-rive-à
deux pieds de longueuÿ.
Enfin, cest ennorcïtoien- certainement Ywcârd pitamba
de Maigrave (p. i£>5,),-ldont Biocfed|â;')2b2-5) a fait sion
sparus chrysuruSj .et qui. est deÿenu le spqre queue,d’or
de M. de Laeépède ( t. IV, p. îiS^Marg raye en ;d4çrit
très-biep labande latérale et les tacbeS'4aune&,.ainsi que la
teinte générale pourpre et bleue. Il lui donne 'deux pieds
de longueur, et sa figure, répond sà.^efle's 'td b irru b ia e|l
du spràredemi-lune^axdàiit que la inani*èrcu dc*W‘j{|83Ur;
du princeJVfauiice ou de sôm peintre le permêttaitr
La figure originale du prioeé^LuSsez? bien t par
Dloeb, quoiqu^hCafi; grandie , 'éémme à -son ordinaire^
est peinte d’un beau rotigé nué depputpré e,t^aor^* avec deux
bandes’ dorées^ les nageoires- Verticales jaunes,' et -leS 'nageoires
paires grisas. Elle est intitulée acara pitcmgMbé.
La taille du poisson y est marquée de dix-huit poncfesrV _
Il est au reste singulier que Bldch, aprèsavoîf très-bien
reconnu dans* sa grande Histoire l’identité de -ce* acara
pitamba de Margrave avec le rabirrubia de Parra , lès ait
séparés dans son Systema, y nommant le premier,- p. i 8 7 ,
grammistes chrysurus, étf le Sèifcond, p. anthiap rar-
birrujbia. .
Duhamel assure que son colas ml en troupes et se nourrit
d’oeufs de poissons, et que sa chair estfassez bonne.
Cil 4P. ■ .‘XlfS* MÉS ORRIONS. 351
Selon.-Parra, \&érahirrubiaeèt',lLp- pltis- estimé des poissons
<te la Hav^«^©l?'Ma*gtfiVé»iddt aussi de . son acara
pitamba qu’iP èïif^Vcëllent grilléprc
Sep^' M. 'I^^P^od è n ^ ^ t de deux pieds et du poids
âè dbé lif illf B ien qu’Ü^mÉ ^P-commun ,'%t cnàir est si .
rSâèxéte^ qfru^P, vend tuujou^fe'ès-chèr. Il n’est jamais
emppis(p'pne^ M, Bic.ofd1 rappf)Æt e -..exactement les mêmes
choses) d e , la sarde-çfoiàs- <®S®ntTD®4ningue^^t M. Pley
déàfM sarde de Sàint-Thonaas.
Margjja^Éik troüsvé dans la gorge du son acara pitamba
un . crustacé pa-rillfeê» dè la faûifllë dé^ eFëjjortes, dont il
donne une .figure t^p' grossière pour qu’ôn puisse en dé-
^rminer-l’esp,èc^;
Le MÉSOPRION ARDENTS M! çhïENl
( M esoprion cyn o d o n , n ob.)1 .
Une espèce, que l’on nomme à la Martinique sarde à
dénis de chien, ’est le caballerote de P,aïra (pl. 2*5", fig;. 1 J,
.dont Schneide#Yp. 3 1 0 , n.° 2 ï ) a fait son antfiiaÉ Cabâllé-
rolê; mais elle porte tons kfc caractères.'de nos mésoprions
et non ceux des anthias.
Sqn opercule se termine en angle mousser §on préopercule,
dentelé dans sa jeunesse, perd en grand,e partie se& dentelures avec
l’âge, comme daris tous les poissons de cetié Famille^qui deviennent
très-grands. Une légère sinuogdtè s'e mOrttré if xendfoit oitfëst P i-
• çhancrure des diâcopes, et .répond à unfe- assez forté tubérosité de
Pintejççpercule. Sa tête, son museau, son sous-orbitaire, §es mâchoires,
sont reeOuvferts comme d’une espèce de cuir. Ses- épines
dprsales sont très-fortes, ainsi que ses deux canines supérieures;
1. Anthias caballerote, Scfâii