2 4 4 LIVRE TRÔ^ÏÈMÈ ii PÉRîfoïlI'ES.
ToiSLp corps w Tc^âgîfôirës f$mî.*cVnjferts brunes î
«elles du corps_ ^ont^iuâ 'lardés"^VokcfêsiSl'ÉPde * mena« grosseur.
1 M. DussëSnier, <jui a vurce poissoui àux Séekeïïes, dit qoîë; frais le
fond de, sa couleur est blanc jaunâtre ; des'laches so-nt l||§ couleur
marron, et 'les nageoires., veidâtrës, sont aussi* semées de’ points
marron.
Kleitfr1 eMléba? avaient-Ce paisson dans leurs collections;
mais leursjfîgMes pe montrent pasjes^dentelures du pr,ép-
perçt f e Celle de BJoome^ plus exapje : le pnéopercu 1 c»est
seulement trop%ayrondi,_j?t il a.mis iLes .taches sunj|i partie
épjpejfôe de la dorsale, ce, qui nestkp’as dans -laënaÆuke.: ' il
n’y m a que sur'l'a paydie .molle. J 1 compt|SMlLeurs un
rayon épineux , Æ^m)ins^ à eeite,nageoire ; niais dans ^op
système posthume*, il, en marque le mente nombre que
nous. Le Japon est la patrîè quil indique pourJjjpe poisson,
ainsi qu’il l’a faît trop spuvent^ o ur deSypoissons de
rié|dc; mais, il e§t certain que habite?*,toute la mer
Orientale.
Outre le témoignage de Fûrskal, nons .rfro»?>nmir la
mer Ronge,celui dé M. Geoffroy.^VM. Quoy-et Gaymard
Font rappelée (lies des de WaigioujTet dé Timor ;
MM. ÏÆSchenault et Mathreli, de lTslé-de-France et dé,
File de Bourbon y M. Dussumier* des Séchelles." d tc.Ûa la
nomme^eif/^ aux Sépbelles ëtr à Bourbon; mais M. Dus-
sumier remarque que ce nom glt: donné, par. lllSc-olons
français à tous les poissons tachetés qui ressemblent un
peu à celui qui fait le sujet de cët article.
Un individu de Filé de Bourbon, rapporté par M. Les-
chenauit, a séf?tachés de edüïeur violette^ ce qui pour-
1* Klein, Miss.; t; V, p. 43, tabl; 8, 3; Seb., t. Hl, pi. 37, n.“ 6.
‘CHAP'. XI.’ SERRANS*. 24»
Tait bien être quelquefois5 sasYs&fi'î®!bl!i teinte a 'Fetat frais.
" ^ n e 'V a ilé É é ass^lbn^tante de-'ëette 'è'spèce, dont nous
avon^ïpç^plusieufS’ échantilldns, présenté1
^ Sàes ^ é 'sÆ ^M u p rrom p ^ eS ft'‘ftW m ^p a r la réunion plusieurs
■ laci!^ des ^ ® * % l e u r | ’^Wmëmë|poims''sur' lè in a -
et l l ^ m b r e dé leurs rayons est
v ,,lè;niême. . .
Pérôn avait Rapporté un ihdiwdù^ffe^é^^ $ e
T im c S ^ t ef^jGarnof f en pnF.trouyé t a, l’ile
K n f a K n r a . . d f ™ t e d e - c e l l e s . .celle dOualan,
1’ u n j | * | | Car olin es.
L e Mérow de P arKm s©nv
. . Ï S b r v a n u s P a r k i n s p v - u , nob. )
Nous avons vu parmiles* .dBssfns de Parkinson une
e&pèeëJqiii porte le nom de p erça maculata^ et qui doit
être bien voisiné; de notre1 merra.
Ses formés séniles ^êmes. Le-corps est jauné/tacheté, de points
rouges rembrunis. I ^ n # p o î r è s sont arrondies. La pectorale est
* «diserte de points'rùnds mais la partieLûdllé* dè la" dorsale, au
“ lieu ($’êtfÿtâbhétê%fest%y^e/pbliquement. -
Il y a douie ej&tfei a la doikaL et trois à l’anale. Le nombre des
rayons mous n’est pas indique, c I
L e , ï f e q , u ruche..
{ S e r r a n u s f a v ê a t u s , nob.) '
Nous' avons à placer ici un mérou que nous avons cru
devoir appeler serranus favêatus* Gette espèce, que nous