ment défiguré* qùfeÿ sans les<;ï»oms,- il aurait été impossible
de le reconnaître. 1
’ 'Ros Français de Cctyetme Ont transporté à c© ppisson
lé nom *de • loubine, emprunt^^loeMjj que le bar porte
dans* quélques endroits !de nos-côtes de l’deéan.5 et:,c’est
un individu env"©y(|>Sousî,;jGe -nom au cabinet s du Roi, par
Laborde, qui*est devenu la perà'eque loubine de M. de
Lacépèdê*Tstome I-Yjlp- Bg^^4*31'
*. :Ên d’âutres de nos çolanieé^à^Saint-Dominguey à la
Martinique-, .on le nomme' brochet de mer/ Plumier l’a
désigné s oiis ce* nO-m à la Martinique^, et! déét sur une copié
delsOft dessin'par Aubiiet, intituïé'enamsi, et! ctergéb de
OOuleurs trop viafe^,t-cotarû©/ c’était-d’ordinaire de ceta®£
™ste-'i que M. dé'ËîIoépëde^ a "établi sa splvyr'ehe or vert
( t IV, p. 4 1 8 , et't.’V , pi. IV, fi^ a^ ƒ mais ’son graveur
a~ ©xa-géfëgk- saillie de. 4a mâchoire- m4^ipus^febeaueoup
plus que ne Igïcomportait le iuSsuv- original..
t ^ Aingi*le camuri, le centropame ondécimal, la spbyrëne
crrvert et.lajperseque loubine dqHen||âtre*désormais îé -
duits à une seule esEMiqe.* $
Il paraît que Émette! èsp èçéls e „ trouve .tomt autqugq!5de
l’Amérique/mérid/onale ; .^car ||qus g v o n s reçue de Iticé-
Janéiro e f même If© Lima, à-ee qu’il nous a^p'/assurë;
Elle se tient aux embouchures des Rivières / é t y remonte
1. Pison, qui, lorsqu’il s’écarte de Margrave’-, est fort sujet à1 l’erreur, distingue
des camuri de rivière et d’etang, appelés camuripi par les, indigènes, qui ressemblent
au brochet, et d’autres qui sont de.mër., ne dépassent pas les embouchures des
rivières, et ressèrrèblent davantage aux-barsj lesïidffigènes les nomment camuri
apeba, et lorsqu'ils- sont grands, camuri guazu. C’esfruWde ces dèxniers qu’il prétend
represemgr',, et sa ligure est trop mauvaise pourVue^fe safj|èfÊ6 qu’il en estj
mais sa description, empruntée deMargrave, est celle de notre cenwop&ràe actuel.