cite dans Yalentyrqet que cevo^ageur'traduit par pourpre.
Ikan-ongoe veut 'dcteifc dire p!q‘feson pburpre. En vingt
ôeèair6ns noliS’’avBns ÿû Blocli confondre japonais' et
le javants ; mjfs*én celle-çi il aftpmmis une erreur îjien
plus grave * son poisson n’est ni du Japon,’ni del'jf.ava,
mais d Amérique. M. Lichtenstein nous-ayant permi^ql’exa-
miner 1 individu même - de Blobh', nous Lavons'reconnu
identique 'av^puneve^èee que nous avons reçue en .grand:
nombre du .Brésil. Il -est facile dé* voir que Bloch asvait
achetée sqn poisson empaillé chez quelque marchand de
Hollande, et quil a 'été induit en erreur par ledroifjft que
Çft homme y, avait attaché. Nous croyonsBonc devoir
changer une épithèfe qui annoncerait une tout autre mer
que') celle qu habite vraiment l’espèce. ‘'L’enlumini||iié?t'4h
•Blpeh est àisez arbitraire, carde poissom'sëC. môïitre tout
taehteadu vgutte^que-nous observons plus facilement
sur nos individus plus frais : d’ailleurs, les peptoi-
raies et les ventrales paraissent avoir-été noires, .et noh pas
jaunea7. et on ne vèit pas de trac^â^s p ô in tÿ ou d is ligné»
quil a fart peindre sur les nageoires impaires.'. -
La forme cuf ce poisson est^céïïeyÉîCoûtes les Tespeees* voisines,
et n’pffi-ë nen detemarquable : les dentelures de son préopercule
-gspnt as&Ms.fortes, et v^ers l’angle il y en a troisëu quatre’plus fÆtes^
La caudale # 1 arrondie. Les épines dè la dorsale-sont â.dèz habtes
etipeu iflytescLfis peoturàJès-s<mtTéndes.q%jucdi&J^^rpatip^^i'l)run-,
- • traits? disposés en. ligne, interrompue squs- le Rentre« Lès
nageoires sont bordées de noir. L[n trait-noir lelong^deBa joue
borde la portion^ sou§ laquelle sereplie le maxillaire. Cp trait fait
aisément reconnaître lè poisson A .
J - Apf différens individus n’ont.pas plus 'd’un pied.
Les nombreSdEs wgêOifësSSnt : '
1 D. | f f | R j 3/8-jléî-17, etc. '
Ae'^MÉR®*#' ‘o'NniÿüÉ.
Serrcmus' undulosusj nob.) n
Les cotés du Brésil nourrissent une espece-très-voisine
de1 la précédente phr lestformës-,' mais qui* s’én distingué
facilomënt. ;
* par MP'quatre lignés brunes ou noirâtres qui. parcourent un peu
ôS'lïqüeWênt sè sy|||e’£,''èti selcontinuènt sûr le corps en .taisant des
i' ondulations. 'Eè^ri^dîs'shpénbnrës“ vdrit1 de l’oeil* àii^b b 'rd ^d ^ lb p ^'
. leuileput lai quatrième 'part Ide la pointe >âritérieurë du îMxillîaire, et
setermimç àf ïangle dirpréopercule; Le corps' -est' ’douverfe désignés
|glij^ f pâlpijj à n a ^ p ^ o |f|§ ,éntre> elles sur ■ lès d^M&gs na^-
î gepires,,spnt hséré&s^de noirâtre.
. jmLoS nombres sont ,
- D.
M'. Delaïande et MM. Quoy ^ / Gaymard en .ont rapporté un
gran'd' nontBre1 oindividus qui riet .d ^ jp s ^ ç jia s huit pouces.
Le MérqjJ a,vgrosses épxWes. .
( * % r r a n m p a c h r e e n t r Q n j nob.;) ,
'NôWayoTS’qôuve* parmi‘les poissons, desséchés du Cabinet
Bu B'oi une* e^é^^feipârquable p a r ,
: ' bordrinferieur
d f cçvos, ainsi que, celui du stubppercule^est finement .«^entelé. Lç
..Bord du préoperçjile est arrondi et très^ finement d entelé-. Les dents
canines sont, tçes-çourtes £les égaillés.pedtçjL .ciliéoeûepcelles des
c o l^ « ,éleVèés p*ar une p& tè jë ian â ^ d d n t la succession formée dé
petites striés fines1 le long de» nâncs, au îiombre d’environ trente.
La ligne latérëlè suit la courbe du dos jusqu’à la fin dé la dorsale,’