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L e M é ro u , chat. '
( S e r r a n u s ç a t t y s ^ nob.; J ^ e r c a ' v i a c u l a t a ,
ti^ rù h a t 'de-la Martinique, que-nous devons -à M. Ple'e,
a feêaucoup dé rapports’ a W# le précédémffeoll
r ‘Sra^dentelurel'sôntles' imêmes ƒ sesecaiBes-^ont petites et âpres
1 à leur bord! Il en' diffère par ses:Vacnés^^^^ s ont plus ,:gptôss'es
et moipa^mori£brèüséSi®|âhs l’alcoolfpfp^ilÉfejpbraît brun, cou-
vert de taches faiblement^ pourprées* -
On voit des >taches blanches sur la ba^ç^^^'ji^çhhe^ît^ertiéales,
dqnt le bord ^st; noirâtre. Les pectorales sont&ajuhâÿres à leur base
,t, _ et noirâtres -à leur extrémité, d
On compte pour lè nombre dès rayon#: *
Dr 1 l/l"? ; A. 3/9j C. n ; P. i6 :/V t / 5 . ,
P lé e r^ tK ’appréndique., pendant la
ressemble beaucoup faut coturonnej^amais. qû(il'.£%f, plus
S€¥®b®% et .que ses taches . sontn rosées?, «Sjjâius ■ pchsdnsp
d’aprè&'ces rënseignemens, que c^îd@jt-êtite le ip e rc a lfp ^
eixlàta que Bloch a ; représentera* la plan cFïjzîb-i cd|u<l
mi dfëssinde Plumier^ dont nous avx>nsÇ'nous^meM©s ^üne
copie laite par AubrietULâ- couleur est rou^eâtrn;)
de nombreux points|rouges, noirs--da®s,leur centre. Bloch
h enlumine émjaune le fond ides la cpnfet%yiejr sa tQf^g,r
Gepondant Plumier avait "écrif^iëtte note sur son dessin:
Turdus alius niger•, maculis purpureis odilatus. '
C’est ç|e la copie d’Àubriet .que M. de" Lacépèdë a fait
son spare atlantique. Il la fait graver'it. IV, pl. £x, fig. i.
Plumier- ayant oublié de représenter les piquans et les
1. Spare atlantique, Lacép., t. IV, p. i58, pl. W, fig. î.
>eHAP. XI/ s e r r a i : . - J 2 8 1
•dentelüèës des-lopmfeulesîpMïfdë 'La,c^»îàdré a dû, dans sa
méthode§ plàcëfefÿsfctjé ’-espèc^ p a r«na$;s'es : spares-j mais nous
sommesiaujourdbur à(p©rtée de r^ptififeiï^ette erreur.
labLoeÉiôMoà 'qu’® m c k <a p risl^^^'^ë d Ascension, èt
q u ila im dm m & trè sdm p iiq p ré b a -e n t, traehirçus .Ascensionis,
est une xnéyou’ t^Ghe^^'ent^les nombres de
ra^o(x®|e|i|apnrp(^ent de. eçùx cfe’ la- précédente. ®
D. 18.
On ne.-.pgAa-fe^n^evoir élèye de
Linnsms;,y*js^pas■ plâcéde; p,€|ïss>ôn qu’il venait de trouver
dainsdë.'g^nrëi petca. Bonnatèrre* a laissé-cetteïespëese d'ans
iô^%ëm$$trachine r et la apptelfê trachine ponctuée $ et
il aiTébé».suivi en cela p a r^ B d c ,Lampè(|e. ( ,
L e 'MÉftOrûi’ pkfit^ é'gre.
,( S è r r a n u S f t f i i s r i g u l ü s , nob, ) ’ 1
M. Plée^nbtis^^^frë ehvjj^ë'd’ê l'a Martinique,/.sous
les nëPÉfe Ôe p etit nègre, de grande gueul^M, de v ie ille ,
emté-nWvelles 4plcë/^d^ehdai!ssaM'ç(Vi'
S ses' yeux-saillans, â lâ^finèssè\des dentelures‘de son| pfeojb&cure
^âfdm'di et a la faiblesse' des: ëBines‘ de l^ e fcm ë . Sttr ùn' fôiid qui
paraît aVoié'été viélet'pëndaiïtfla VÈèîj'dtf voitMe* nombreuses'‘taehés
pl^es, qui probablement étaïèiîtfe)®^^'trè's-Fôndes,‘§eÈi^Ss mîême'
; sur lés < sourcils m su d les lèvres et shuvles nageoires verticales.'‘Sur
la partie postérieure; ’dp -tqqSps.fd^, a|[cu§%jâevitone$t, plqs -n.ua-
, geûses et sont marquées d’un point brun dMS leur1, centre. Les
^pectorales et lé s ventrale s s onyc (Myeites a e p dants Bppus. Les na-
gedlefes scmt arrondies, et les BOîéiïes dé’ lém d râ y é® ééht les
mêmes..qûe dans le c h a t .
L’espècédëvient grande.
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