zanana. Elle a été faite au fort Dauphin ,de Madagascar,
et M. de Lacépède l’a fait grayer dans ^son- ouvrage, t. I I I ,
pl. i rj) Ÿig. i, sous te nom de labre, que l ’on doit vraisemblablement
rapporter au guaze. Il est impossible de douter,
à la setde iuspection de la figure, que ce ne soit un
serran; ;e6 qui est rendu plus'certain par le nom düaspro
que Commerson a écrit sur le dessin. • •
Ce poisson, dessiné au crayon, esf représenté’îrbuge, un peu
plombé sur le dos, avec la partie molle de la dorsale et de l’aùâle,
la caudale et les pectorales'.noirâtres. Les ventrales sopt rouges,
bordées de noir,. v_
Les'nombres défrayons fcont exprimés :
D. 9/1T; A. 3/9 j C. 13 (niais il est probable que le dessinateur en a oublié) ; P. 16.
Nous croyons que M. de Laeépèdes’est tout-à-fait trompé
quând il a rapproché ce dessin du labrus guazé&e Gmelin,
qui est établi d après Loefling. ..
Les nombres indiqués pour ce labiie^tx i
D. 11/16 j A. 3/40 15^P^16; y. 1/5.
sont bien ceux des serrans.; mais la phrase caractéristique
ne donne aucun camaère qui puisse un fibcér/Te
genre avec quelque certitude', et l'espèce*tétait des cotes
de l’Amecique.
L e M é r o u o ra n g é .
(S erran u s 'a u ran tiu s , nob.)
M. Dussumier nops a rappprté des^ Séchelles un serran
semblable aux précédens, '
biais que son préopèrcüle arrondi et sans épines rapproche du
mérou de Sonnerat. Il n’a que neuf épines à la dorsale. Son corps
- CR AP. XI. S®-E»=â^fs. 2 2 7
et ses-na’geoires s®rit-d’un ^qm'ge-orahg^ W et s.ans aucunes taches
ni bandes.‘L’individu,est feng<éfë sept'pou’ces.
Ses nombres sont
v w. 9 /if • ^ 1
* î Idepinephelüé ruber de Bldch, ph 3 3 n (serranus ruber,
ncffe.), ne diffère5 de^cet orangé que
parce" que Bloch l u compte'deux Myons épineux cfé plus ala dorsale
et.un rayon.1 :mou 'de> moins, de Sorte que les nombres sont :
• D: 11/10S -i.ré/9v>l^-Hï
Bloch lui donue pour patrie le Japon. ■**,
L e MéBlOü
- { 3 & r r a n u s tu r ç d e l u s
^ ‘Éorsier a tais^u, sôusde nom à e lp e f 'ek tirodelà, la dtés-i
eription d’un.serran pourpre d’Otaïti, dont Bloch ;>a fait
umSWiéié du hodùmm mîniatus ou p w m jnm üatu de
j^r^l^Htodà'-iicés verrons que ce poissori de Forskal est
une diatope. iÉirisiîe rapprochement dé Bloch est tout-?à-
fait itrexàct N o u s avoias'retrouvé t ë ^M ^ c le les|iece 'de
Forster -parmi «eux - que Jpufvo^^get^ a fu jifs * dans la
bibliothèque de Banks.
C’est un serran à préopercufo arrondi, d’une belle copieur samr
f gaine, un peu. pourprée; Il y a sur. la caudale deux traits obliques
convergens à la pointe, et dont lebord es| bknc.
Les, nombre» $0%:
D. 9/45 ; A. 3/8 ; G.
1. Perça urodtla, .f&rstw* Vfe. Bodiani miniati, Bl.^Sctoi., y. |33? n.° »»