Le foie est divisé; en deux* lobes j qui se terminent chacun en
pointe triangulaire. Le gauche fj$étend, iu§qy’au-delàrfle l'estomac.
Le lobe droit est plus court et donne attache à une longue vésicule
du fiel très-étroite. Sous foesophage lé foie est assez épais.
L’oesophage est large y plissé intérieurement, et se termine par
« un. estomac en §ae> obtus-assez large. La tuidque musculaire de
l’estomac n’est pas très-épaisse. On compte sept appendices eoecales
au pylore j elles sont grosses et longues, à l’exception de deux placées
à droite de l’estomac-. Le duodénum remonte vers le haut de
l’abdomen, en restant dans l’hypocondre droit. Nous n’avons%pas
. pu voiBjCQtfiKén de fois l ’intestin sereplie.it; ï
La vessie natatoire est très-grande -, ses-parois sont! minces et
argentées. Les reins sont très-gros et, s ’étendent depuis la >vessie
aérienne jusqu’auprès de l’anus. Il y-a une petite vessie urinaire.
Parmi les plècttopotnes où le bord montait du, prlo-
percule est sensiblement dentele^qit peut encore distinguer,
.ceux qui nont au bord infé/riçûr^quuujaetit nombre
de dentelures fortes, et ceux qui les ont nombreuses et;
fines.
L e Plectropome pavillon n’^ÊsPAqNE.,.
^ ( Plecirà p om à hispanum, noh. )
Nquls mettrons bp tete'dqs premiers une belle* espèce,
que l’on nomme’ à la Martiniqim,,.selon M. Plée*le ouata-
libë espagnol.
Elle h’a qué huit épùies dorsales, comme les précédentes,- mais
elle s’en distingue (.indépendamment des dentelures de soir bord
montant) parce qu’elle n’a qu’une dent sous‘Te, préopercule. Ses
cabiûôs'ÿonf très-fortés, et la pointe mitoyenne de'son opercule
èSt plus longue et plus grosse qUë dans la plupart des pleclropomês
et des serrans. Le sous-opercule est deutelé. L a , deuxième épine
anale e^làWsi'trèS-feMà'JGô’^pôïsSon1 est” remarquable par sa' belle
-ïVî'ouleuraurore. Danârifetfrais, il estméiîïe rayé de rouge et de jaune;
et c’est , ( '0 qui lu ^ p 'fà it doMueir 1 epiffiptp & espagnol,
parce qu’il^fe^sejmble au pavillon,de« cétte nation. On Ig
ctwnparé atmaremmept irnec le. séxran.npmmg ’ôwàtalibé,
qui eS^ïotigè eUsanlPra-^^j^n4eif
» Siiuirui e^aKqvÿrpune™lliapue
p. S H 9 |
h ( Pie âffrùpënid}^ £ rasklidfMm'^ ->«
./ autre qui a été rapportée du Brésil (paï*
l&lalapde?,/ -,
a, ^Ü%asf du preopeicule ,^trols oints mrtes un
”“‘-pèymoihWe à Fah^fe.’ 'SontJo^erSutë' a''irbïs tPpimésf‘Oh ■hompte
treize raÿî^rîs *épih%ux'tà^saMürs^le ,^âü-â?ss1Kt i‘ae %^uéllb bdpàVtie
nM0?e%%lè^? mkpèu. ï î Jy en%'trors?!a( l’anale J ' dom le TCBomPésL
trës-TO.ri. Sesipéelorales*,4iîri,bïMles7sb n tiles bô'ùWt^él ray<ms ùri peu
saillans hdrt^re l'a inémhrane^^ qui lles ïcnd^TOmm^^st^nees,.
“ 'Ell'éf ’paratsséht avoir -été- jaunes ^isériiès dé 'Hbimtrb. La c(OT£u'r
du5rèsîe de son GOÈps-est m m s b r u n , su r lequel il pa'ralt'y «C»oi,r
eu^quelqiie's bandes irrégulraW^hssâtres.
. 3/7,5 g,;j.Mæ j /16; yt.
I^dqbft fflimhft^ifofoiq;fdnp l e c t r o p o m e {triaugu^
, laire, assez épais et peu ^loxmé: JteJobe .dçoij est pjgs^f^)urt. L’§%-
tomac est, j de, grand euj? i n A m , j ^gs..fparx>isJ.. soûl minces,.; peu
plissées. La branche montante est s i. jaBute?. qu’ene,Lest presque
nulle. Il y a neuf appendices coecpesjtu pWore.^ ’intest^falt,plu-
„ sieurs ondulations et deux replis àsseè Swg^^jran^d^mitre’; Ses
tuniquels sont âtfôsP t^ s -n u u ® s fi y a|\me'getj.t,e vessie natatoire 7
dont les'bàFdwtfbÀraunë mikeeur extrême.