C H A P IT R E X I Y .
Des Mésoprions.
Bloch., sons le nôfmbarbare de lu tjan , qu’il croyait
japonais et qui eè-t malaiitfjiavait réuni une foule d?’acan-
thoptérygiens, d’agrès le double caractère d’unpréoper-
ciïlé*d[fSllë>*et d ’un^jJifêùle Va&*s*épml^%t R^VTift^Ssait
pêle-mêle des poissons de la famille d é la b r e s y diréelle
desiïsctènes et clé* celle des perches. «
J ’en ai déjà, depuis long-temps/Réparé -les premiers
sous le nom “dé crénilàhres ‘et les ’s'é’conds sous^^élüi dp
pristipotnésa. Aujourd’hui je pfëlëhièrai/sb^ûls/Ie nom de
mésoprions y ceux qui, appartenant par leurs denpjt^ifié-
riennès re® p a la tS l^ à -la famille des ipetidaes; se rappïb-
chent pflAieidièrpnifent .des Serrans, par AfiS^Qg^meS
qui ste*-mêlent à leurs dpnts en veiou^ qpi. arment
le devant ou les côtés de leurs mâchoires.
Lis nom que je leur impose indique qu’ils, ont une dentelure
en formel'de scië sur le milieu dé chaque côté d§|
leur tête j de pern {m ilieu ) et de 7içiw (scie-). .
Ces mésoprions tiennent de... très-près 'aux;d.3^ ^ ^ fe r
dont nous venons de parler. Ils Ont même encore quelquefois
un léger renflement à l’interopercule, ét plus souvent
encore au préopercule une sinuqsité ou un, petit
1 , Û Pavait pris de fôâqaette iMnJutjang, attachée à un poisson sec dont il
fit là première espèce de ses lutjanus. Voyez Bl., Grande Ichtjol., part. VII, p. 85.
Ce qui est curieux ,„g[est que ce poisson (nojis avons examine le propre individu
de Bloch) a deux épines très-marquées, quoique plates, à son opercùle.
% Règne animal, t. II, p. 262 et 239.
arc'rentrant jîjqaaf ,^sltJfn.e^ o r . o u «dfimdifeë de
IMéban^URe.jbaïiâctéEilti^a.eï ■ dfe#diaeo.g,fe&,fsmaïs Vfens^ ceS
HprMÉnes?,-(àmtpfe-i»iancmre .> dlfi torafeurs .^beaucoup“ plus
prnn^g^g. T ,a ^ gbipÉlt' r^pxnblenfr ' den^tea^ par
î’^s^rfikl form^ e fe suAout p a^îmui-lêtettp t leur
mpspau un, peu distingue ^sèment
p d e s gafetins, qui manqtre|it aux
de^4^yapg8Î4âi^'que’ la ÔM^Îure du préopercum. Ces
f»fe1®|^^fer‘al |®es * p è pointées
desvlskj|^ètSi'y’aiTtf ^ ^ |^pj^^]^e(^j[up^j’ai disséquées^,
p eu? près t^ ^)14>le^^^ ,ux ' -d ^ ^ ^ ’i^p^. j
" Tm^Wpj^ p oissdnslyiépnent^d ^ i mers, d e s c l a a u d s ;
ma» B jaw^et.:eAsj^%gî3>G^.^ombre, dans.ile^J^eux
oAÇ,éji,nsr, .O nAesj|(^nn&ît.ïdftôa mos .Gcdonies ^féapeaigds| des
Indc|/4é^id&ntàileS(jS0usde nom (générique; de wivaneau ou.
vivanet ’et'/ÿj.^ celui sçfrde.
A ^^MÉgO-PRlON DONDÈAVÂ.1' *'
’ ‘ (MesçmrioA unimacuLqtus, nob.) 1
Pfffiiteurs j de leurs Jfe8p.ëfee4i®ëssenablent(msêoeè>-par les
côulmrSjaetrsnrt’out p a r la tache Mure" de' lettes *flâWé’s||,<cï
certaines diacopes«,|au ppint que ljqn puerait d outera is
n’en‘ s e ^ ie ^ pW-Hes variétés a e ^ xm .Tellei( est particu-
llêremeüt un inelop^qn de la mer Jæg^Inde^j^dpnt. nous,
aWns plusieurs indiyidps.,Âapportps ;par Çompx^rson, par
S'ounerat et par îeFeompagnons de M. Freycinet.
Quoiqute bien caractérisé* pour un vrai m^o'prion, il
est tellement semblable à notre diâeôpe rtùtata, qu’il faut
1. Mesoprion unimaculatus, Quoy et Gaym., Zool. de Freyc., p. 3o4-