4 3 4 . '•■RTVRE' 'TROISIÈME. PERC,(ÿl%:sif f i
, «ette jpartie du s corps du poisson,, presque1- sâl^fe aucuiv obstacle.
L’estomac était rempli de pedt^Micoques.
I j6 squelette de lambasge offre, une- particularité remarquable
dans ses^ôtes, qui^compiencer.dç %yoisièi^é paire, ont leur
moitié supérieure dilatée en une plaque ovale, mince, relevée à sa
fece externe d une arête Iongitudinale| qui 'éè continue ensuite -avec
la moitié'grêle. Il y en a huit paires de cfette'forme, doutées deux
dernières joignent leur extrémité .grêle,à l’apophyse descendante'de
la première vertèbre caudale, éteignent 'ainsi èn arrière
cavité de l’abdomen. Les deux paires-antérieures sont très-petitêSf et
fines comme des cfeveux. H y a ainsi dix: vertèbres dfcéS&tës. *Le
, nombre des éàuààilès ‘est de quatorze. r
Les épines des nlgêoires, soit dorsales, soitaMles, vues à la loupe,
montrent des'krîè^ transversales, mdicës4dës‘’ai^cûlaiiit)n's dbnt la
soudure les ebmpose. Dans la nuque il* ÿ*a deux' interépimeu#%ii
nëOpo^fêm^poilit de rayons. L’épfcè ,f feôüqhée »en1 avànt, est Une
* apophyse de l’interépineux qui porte lé premier aiguillündeik première
«dorsale.
On en relrduvé beaucoup d’fexêmples', surtout dans l’a 'Ômille
dès scombres.
Z /A mBASSE d e DuSStÎMIEfi.
(Ambassis Dussum iéri, nob,)
M. Dussumier a rapporté,de la côte do Malabar un am-'
basse très-semblable par les détails à celûi de-CommersonJ
et qui a les mêmes nombres de rayons et les mêmes couleurs,mais
dont la forme est plus alongée. Sa hauteur est trois/ois et demie
dans sa longueur. Outrele noir de derrière le* deuxième trayon
de la dorsale, individus en ont aux pointes de là caudale.
D, 1— 1/9,-ob, y)yt A. 9/9, e t f ,
L’ambasse de Dussumier a eifcore le tube intestinal; plus simple
-que le commun, et n’a,, comme lui, aucune àppendice coeoale.
‘ CHAP. vra. AMBASSES. 435
'-L’oesophage se Continue peu en arrière du diaphragme en xm cul-
î .dêhstfc excessivement »eçpqt: En dessous commence l’intestin , qui
i >fâitt un premier pli aüitiers de fa longueur de l’abdomen : il re-
moriiê veryle diaphragme|passe par-dessus l’oesophage, descend
^ ^ ^ ^ i rx"deùx tiers'de l’abdomen; se reporte alors vers k crosse
’ sdh premie r .p l i0f i replie *cfe îrouveâu, et va se. rendre à l’anus,
sans'éprouver aucun» étranglement; •
1 Le foie est très-petit, lenticulaire, entièrement du côté gauche.
La*1 vessie? natatoire esfmkiGe et très-transparentè.
Le péritoine èSt àfgênté.
n a l u a . ,
( -Arrib assis nalua~, n'ôbt-)“
* Parmi les chanda de M. Buchanan, celui qui ressemble
le plus à Tespècëfide Commerson, est le ch a n d a n a lu a ,
qu’il décrit p. îd^l^TqfeTespà’te'^l. VI, fig: 36?'’
\ Ssâtfigqîre fait cependant lp eprps plusghaut, k tê|e-plus courte et
'^pkk haute, de là partie des joues; le^ront y es|yi<lus^nc^^ "et le
museau plus renflé.
L’auteur compte onze rayons mous à 1a seconde dprsale, et dix
à f anale.
I D. ; A. 3/10.
Sà coùlettr est argentée,, transparente-, glacée de verdâtre vers le
d.ps. Il y a^des |poùit^fnoirs le long^ae la base de 1a dorsale^et de
l’anale, et sur une ligne longitudinale au-dessus des pecmmles.
•- M.* Buchanan ne donne pas les dimensiops auxquelles
atteint mais sa figure est- langue décroîs
ponces ekdemi. On trouve De'îpoisson dans ksIeaLUX douces
des parties bisses du Bengale.