Sa couleur parait: avoir été brune, sans- taches nimarbrures, sur
; tout le jcqrps.et^sur .les ü^ganires,.,.
L’individu quç nous ayons obsejyé est long de dix pouces,
Il est impossible de netre pas frappe' de la grande ressemblance
qui existe entre'notre poisson et celui que Bloch,
a rejrfësenïé pl. 8 2 7 , sous le nom d^ tfrephéhis q fër: - ^
3 ffb^ile balancerions même kles regarder comme
identiques, si le poisson de Bloch n’avait pas la pectoiràïè
assez .courte et de couleur jaune, tandis quellefest alongée
et brune dans le serran que'M. (Geoffroy nous a donné
Bloch donne aussi un ou deux rayons mous de plus à la
dorsale.
D. 11/18j À. 8/9, etc.
il C^e Bloch hh avalt„ été 1 envoyé d’Açarâ, sur
)e§ côtes de la Guiqéq, par le docteur IserC selon lequel
lespèçé ^vient grande,- a la chair blancîxe W?^réaïrle".
et.se tient sur les bas-fonds a peu de distance{i(îe ^embouchure
des fleuves.
L e Mérou bronzé, ou Daloüze de DamiR'Eté;
(Serranu s (pneus, G eo ffjji- .
La seconde espèce, qui atteint aussi une taille a.peu
près,:égale à celle du mérou, a été de même découverte
sur les côtes d’Égypte par M. Geoffroy Saint-Hilaire. Il
l’a fait graver dans le grand ouvrage d’a p t e , et son -fils
viëttt d’en publier la descriptiona. Elle porte à Damiette
%7Ptej PÉ et Isid-. GeofE y -Poissons d’Égypte, p. ao8, in>8.°
2. Dans l'éditionin*8,° publiée par M. Paaekoneke. . ;,t . ::,,
le nom de d a îo u s e et M. Geoffroy' l’a nommée serranus
oeneus.
Son corps est un peu plus alongé qu£ celui du mérous Sa tête,
plus courte; ses épipes de l’angfeded’opereule sont plus fortes,
non aplaties, ni divisée^en dentelures. Elle a,d’ailleurs, comme le
mérou, le maxillaire dépourvu -d’écailles, tandis que la mâchoire
inférieure en est couvortsv Les» dent» sont semblables. Les nageoires
sont également écaiMcuses ; mais la eaudaLe est plus arrondie, Ses
t couleurs différent beaucoup de celles du mérou. Le dos et les
flancs sont variés de vert clair sur un fond vert foncée Le ventre - es|
blanc, Cite belle couleur de ,y^t-prp -cplotm les lèvres. La dorsale
est,, GOjfauLe lf|lfflbs, verte, assez;fondée, variée de vert plus ç ^ r ;
Les pagepjkjæjs pect/s^ates/et la caudale sont verdâtres ; l!axi^je(,est
. verte,, bordée,, de bleu ; les ventralesgnijt la base et le bord extpme
blancs, le milieu v ® éc’ l’extréinitéi'blSûè. Lë -côté de la tête est
• trayërsé par trois lignés blanches, obliques de hafdt en bas et
parallèles au bord supérieur de l'opercule. La première descend dé
l’angle du préopercule an milieu du sous-opercule. La seconde va
- dfÿjhonl a l’angle, postérieur deî l’intjeropercule;. La troisième, de
Fangl'e du maxillaire traverse le milieu de l’interoperculeî. L’iris de
l’oeil est doyé et la pupille bleue.
L’individu que M. Geoffroy a donné au Cabinet du So i, et qu’il
a rapporté de Damiette, est long d’un pied.
Ses nombres sont : 11
-■ D. 11/1«3 A.8/9;,*% Ils Ï*. 19, v .i/s: \
L e MÉEbîü' kÉ&ÉÉ[i)’Amérique.
{S erran u s M a rk ), nob.)
Les mers d’Amérique nourrissent un serran qui atteint
une taille presque .aussi considérable que notre .méjou, et
qui lui .ressemble aussi par uu'gi^nd nombre de points*,
Un individu de trente pouces de long, et que nous avons